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La Bourse de Toronto retraitait de plus de 100 points en fin de matinée

La Bourse de Toronto retraitait de plus de 100 points en fin de matinée

La Presse20 hours ago
La Bourse de Toronto retraitait de plus de 100 points en fin de matinée
(Toronto) La Bourse de Toronto reculait de plus de 100 points mardi, en fin de matinée, en raison de pertes dans les secteurs de l'énergie et des finances, pendant que les grands indices américains étaient en ordre dispersé.
La Presse Canadienne
L'indice composé S&P/TSX du parquet torontois chutait de 140,58 points à 27 058,27 points.
À New York, la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles déclinait de 237,04 points à 44 222,61 points, tandis que l'indice élargi S&P 500 montait de 1,24 point à 6269,80 points. L'indice composé du NASDAQ s'appréciait pour sa part de 133,35 points à 20 773,68 points.
Sur le marché des devises, le dollar canadien se négociait à 72,84 cents US, en baisse par rapport à son cours moyen de 73,03 cents US de lundi.
À la Bourse des matières premières de New York, le cours du pétrole brut perdait 32 cents US à 66,66 $ US le baril, pendant que celui de l'or retraitait de 4,70 $ US à 3354,40 $ US l'once.
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Le PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec expose la position de l'institution sur les questions éthiques et humaines qui guident ses choix Charles Emond Président et chef de la direction, Caisse de dépôt et placement du Québec Alors que plusieurs allégations circulent sur les choix d'investissement de La Caisse dans le contexte du conflit à Gaza, nous souhaitons exprimer clairement notre position sur des questions qui, bien que légitimes mais très complexes, peuvent mener à de fausses interprétations. Nous prenons très au sérieux nos responsabilités envers les Québécois et Québécoises pour qui nous investissons et nous respectons nos engagements en matière de droits de la personne. D'abord, nous nous préoccupons de la crise humanitaire à Gaza et du sort de la population palestinienne dans l'ensemble du Territoire palestinien occupé (TPO) par Israël. C'est pourquoi nous avons agi. Aucun nouvel investissement en Israël et dans le TPO n'est actuellement autorisé à La Caisse. À travers le monde, peu de fonds institutionnels ont pris un engagement similaire. La Caisse l'a fait parce qu'elle a des principes qui la distinguent et parce que c'est ce qui s'impose dans le contexte actuel. Aujourd'hui, c'est moins de 0,05 % de notre portefeuille qui y est investi et il s'agit d'investissements détenus par une poignée de nos gestionnaires externes. Au début du mois, nous avons été l'un des deux seuls fonds de pension ciblés dans un rapport affirmant que nous investissons délibérément dans des sociétés qui contribuent à la destruction du peuple palestinien. C'est faux et regrettable qu'on nous prête ces intentions et qu'on nous distingue de la sorte. Il est plutôt question d'investissements dans des multinationales telles que Airbnb et Google, qui ont des activités partout dans le monde, dont une infime partie dans cette région. Il faut se rappeler que ces titres sont détenus par essentiellement tous les grands investisseurs et des particuliers dès qu'ils placent leur argent à la Bourse. Aussi, il serait beaucoup trop simple d'insinuer qu'une famille utilisant Airbnb pour ses vacances ou une entreprise qui a recours à Google encourage et finance ce qui se déroule à Gaza. Quant à une entreprise comme Lockheed Martin pour laquelle La Caisse a une exposition de 0,025 %, on ne finance pas la société puisqu'on achète des actions déjà en circulation sur les marchés, qui font partie de paniers de titres standards. Un rôle d'influence Notre responsabilité va bien au-delà de simplement maximiser des rendements. Nous tenons compte d'un ensemble de facteurs dans nos décisions d'investissements, et nous exprimons clairement nos attentes en matière de droits de la personne. Nous sommes conscients que, pour des multinationales où nous sommes un investisseur parmi des milliers d'autres, cette influence est limitée. C'est pourquoi nous allons plus loin. Lorsque La Caisse ne peut influencer seule une société pour qu'elle améliore ses pratiques, nous utilisons les services d'une firme externe mondialement reconnue, Federated Hermes, qui s'active auprès des entreprises sur ces questions au nom de plusieurs actionnaires pour en maximiser l'impact. Au Québec, comme à l'international, La Caisse se fait toujours un devoir de tirer vers le haut les sociétés dans lesquelles elle est investie. Et cette approche est plus constructive que de désinvestir au profit d'investisseurs peu préoccupés par ces questions. Nos investissements mènent nécessairement à des débats internes, sains et nuancés, pour prendre les meilleures décisions possible dans un monde devenu infiniment complexe. Le monde évolue, La Caisse aussi Aujourd'hui, les chaînes d'approvisionnement sont profondément intégrées et il est extrêmement difficile de tracer une ligne entre les entreprises qui ont des politiques pourtant claires et l'utilisation finale de leurs produits par leurs clients. C'est ce qui rend compliquée la notion de désinvestissement de certaines sociétés, telles que Caterpillar, qui fabrique des machines pour usage dans la construction, dont de grands projets d'infrastructures. La géopolitique évolue rapidement et les enjeux qui touchent nos sociétés et les investisseurs aussi. Dans ce contexte, le secteur de la défense chez nous et nos alliés est appelé à se redéfinir et à croître. Alors que la sécurité des populations est au cœur des préoccupations internationales, nous croyons qu'il est nécessaire d'élargir nos horizons et de voir comment nous pourrons appuyer les entreprises au Québec, notamment dans notre secteur de l'aéronautique, le troisième en importance au monde, ou celui des technologies de pointe. La Caisse a comme double mission de faire fructifier le bas de laine des Québécois et de participer au développement économique du Québec. Il est bien possible que le secteur de la défense, qui contient plusieurs segments, en fasse partie. Est-ce que cela veut dire de faire tout et n'importe quoi ? Évidemment, non. Soyez assurées et assurés qu'au-delà de nos obligations légales, nous serons toujours guidés par notre sens des responsabilités et nos principes, et nous n'oublierons jamais pour qui nous travaillons : les 6 millions de Québécois et de Québécoises qui nous font confiance pour leur retraite. Face à des enjeux changeants, complexes et sensibles, qui suscitent des débats dans la société, nous devrons continuer d'avoir un dialogue constructif et d'évoluer, ensemble. Nous travaillons sans relâche pour vous rendre fiers de notre organisation, de nos implications et de nos réalisations. Vous pouvez compter sur nous. Lisez « On a posé la question pour vous : La Caisse finance-t-elle un génocide à Gaza ? » Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue

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timea day ago

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L'Étude sur le prix des maisons et les prévisions du marché de Royal LePage est publiée ce mardi. Les prix de l'immobilier baissent à Vancouver et Toronto, mais montent à Montréal. Le monde à l'envers pour les plus de 40 ans. Les baby-boomers, qui veulent vendre leur maison pour aller dans une RPA (résidence privée pour aînés) ou ailleurs seront ravis, de même que ceux qui travaillent à commission. Les premiers acheteurs, eux, grinceront des dents. Dans la région du Grand Montréal, le prix médian de toutes les propriétés s'est accru de 3,5 % au deuxième trimestre de 2025 comparativement à celui de 2024. Ce qui contraste avec les marchés de Toronto et de Vancouver, qui ont reculé de 3,0 % et de 2,6 %, révèle l'Étude sur le prix des maisons et les prévisions du marché de Royal LePage publiée ce mardi. « C'est le retour du balancier. J'ai été en finances pendant 25 ans et à l'époque, on était toujours l'enfant pauvre, observe le porte-parole Marc Lefrançois, courtier immobilier chez Royal LePage Tendance. Les marchés de Toronto et de Vancouver surperformaient tout le temps le marché de Montréal. Puis là, c'est un peu l'inverse. Il y a des raisons à ça. Pendant la pandémie, puis un peu après, l'accroissement des prix a plus touché le marché de Toronto, de Vancouver et d'Ottawa comparé à celui du Québec. Marc Lefrançois, de Royal LePage Tendance Il y a aussi une baisse des transactions dans les métropoles ontarienne et britanno-colombienne et surtout une augmentation du nombre de propriétés à vendre. À Vancouver, les acheteurs ont maintenant le gros bout du bâton. Ce qui n'est pas le cas au Québec, où le prix médian de toutes les propriétés a grimpé de 5,4 %. Les unifamiliales y goûtent En analysant les données par catégories, on observe que le prix médian d'une maison unifamiliale détachée a grimpé encore plus, soit de 7 %, passant de 645 200 $ au deuxième trimestre de 2024 à 690 100 $ au deuxième trimestre de 2025. L'augmentation est plus faible du côté des condos. Le prix médian a progressé de 3,6 %. Au deuxième trimestre de 2024, un acheteur espérait le payer 456 100 $ tandis qu'en 2025, le prix médian atteint 472 300 $. C'est la ville de Québec qui a connu la plus forte hausse des prix de tous les types de propriétés (13,5 %), tandis que Trois-Rivières (11,3 %) et Saint-Jean-sur-Richelieu (11,4 %) ont aussi connu des marchés plus dynamiques que la moyenne provinciale. Bien que le contexte économique et politique soit incertain, qu'on ait subi le recul des marchés boursiers et des pertes d'emploi dans certains secteurs, les deux réductions consécutives du taux directeur par la Banque du Canada, en janvier et en mars, ont incité les acheteurs hésitants à faire le saut dans le marché immobilier. Le problème de l'offre de logement à travers la province est un enjeu qui ne sera pas réglé de sitôt. L'étude de Royal LePage rappelle les prévisions de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) pour Montréal. La construction de 48 888 unités additionnelles par an est nécessaire pour répondre à la demande d'ici 2035 et rétablir un niveau d'abordabilité, c'est-à-dire où les prix des habitations ne dépassent pas 30 % du revenu brut moyen des ménages. Le marché du luxe en baisse Pendant ce temps, le marché des propriétés luxueuses, celles de 1,5 million de dollars et plus, a ralenti. « On a une augmentation assez substantielle de l'inventaire sur l'île de Montréal, qui nous ramène à peu près au niveau de 2016. Les acheteurs dans cette catégorie, notamment les gens d'affaires qui ont un lien avec l'économie américaine, ne veulent pas prendre de risque dans un contexte d'incertitude économique. « Avec le télétravail, il n'y a pas d'urgence à venir se replacer dans le luxe à Montréal, poursuit-il. Le luxe, c'est du luxe, personne n'est obligé de se payer du luxe. » Malgré le contexte économique incertain, Royal LePage ne prévoit pas de baisse des prix en 2025, bien au contraire. D'ici le quatrième trimestre de 2025 par rapport à la même période en 2024, le prix d'une propriété devrait atteindre au Québec 635 472 $, une hausse de 8 %, selon ses prévisions. La demande est toujours plus élevée que l'inventaire et les taux d'intérêt rassurent les acheteurs, analyse l'entreprise.

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