
Marseille : un homme tué à l'arme blanche par l'ex-concubin de sa compagne
Un homme a été mortellement blessé à l'arme blanche dans la nuit de mercredi à jeudi à Marseille par l'ex-compagnon de sa petite amie, lequel s'est ensuite rendu à la police, a appris l'AFP de sources policières.
Coup de couteau au thorax
Peu après minuit, dans le centre-ville de Marseille, un homme a été atteint d'un coup de couteau au thorax, selon ces sources. Il est décédé dans les heures suivantes à l'hôpital.
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Selon une des sources policières, une femme se présentant comme la compagne de la victime a indiqué qu'après une altercation son ex-petit ami avait porté un coup de couteau à son compagnon actuel, avant de prendre la fuite à pied. L'auteur des faits s'est ensuite rendu au commissariat, où il a été interpellé et placé en garde à vue, a ajouté la même source.

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2 minutes ago
- Le Parisien
Guerre au Proche-Orient : à Paris, les bureaux de la compagnie aérienne israélienne EL Al vandalisés
Un acte de vandalisme a été commis dans la nuit du 6 au 7 août. Ce jeudi matin, de la peinture a été découverte sur la devanture du 45, rue de Turbigo (IIIe arrondissement), un bâtiment qui abrite les bureaux parisiens de la compagnie aérienne israélienne El Al. La porte d'entrée a été maculée de peinture rouge et d'inscriptions qui accusent la plus importante compagnie d'Israël d'être une « compagnie génocidaire », révèle le média i24 News. Sur place, des journalistes de l'AFP ont constaté jeudi matin des inscriptions « Palestine vivra, Palestine vaincra », « Fuck zionism » ou encore « El Al Genocide Airline ». « Aujourd'hui c'est El Al, demain ce sera Air France » « Je condamne avec la plus grande fermeté les actes de vandalisme visant les locaux de la compagnie israélienne El Al la nuit dernière, à Paris, a réagi le ministre chargé des Transports Philippe Tabarot sur X ce jeudi matin. J'apporte tout mon soutien aux équipes d'El Al. Les actes de haine et d'antisémitisme n'ont pas leur place dans notre République. » Son homologue israélienne, Miri Regev, a elle aussi réagi sur le réseau social face à ces actes attribués à des militants propalestiniens. « Aujourd'hui c'est El Al, demain ce sera Air France », écrit la ministre des Transports. « Lorsque le président français Macron fait des déclarations qui reviennent à offrir des cadeaux au Hamas, voilà le résultat », appuie l'élue, en référence au projet du président français de reconnaître l'Etat de Palestine lors de l'Assemblée générale des Nations Unies au mois de septembre. À voir aussi La ministre israélienne a ordonné le rapatriement immédiat du personnel au sol de la compagnie, et appelle les autorités françaises à « agir rapidement et avec fermeté » pour identifier les auteurs de ces actes, écrit-elle sur X. אזרחי צרפת תתעוררו! היום זו אלעל מחר זו אייר פרנס. כשנשיא צרפת מקרון יוצא בהכרזות שנותנות מתנות לחמאס זו התוצאה. אני מגנה את המעשה הברברי והאלים נגד אלעל ומצפה מרשויות החוק בצרפת לאתר את הפושעים ולנקוט נגדם ביד קשה. — מירי רגב (@regev_miri) August 7, 2025 D'après i24 News, la compagnie aérienne a aussi condamné fermement ce « grave incident » tout en affirmant collaborer avec les autorités françaises et israéliennes. El Al rappelle par ailleurs qu'elle « porte fièrement le drapeau d'Israël sur ses avions » et qu'elle condamne « toute forme de violence en particulier celle motivée par l'antisémitisme ». Selon la compagnie, relayée par plusieurs médias israéliens, « l'incident s'est produit alors que le bâtiment était vide ». « Criminels antisémites » En milieu de journée, l'ambassadeur d'Israël en France, Joshua Zarka, s'est rendu devant les bureaux d'El Al à Paris, vandalisés « par des criminels antisémites, cherchant à faire passer des messages violents à la population israélienne hors de son pays, pour lui signifier qu'elle n'est pas la bienvenue », déplore-t-il. Je me suis rendu ce matin devant les bureaux d'El Al à Paris, qui ont été vandalisés cette nuit par des criminels antisémites, cherchant à faire passer des messages violents à la population israélienne hors de son pays, pour lui signifier qu'elle n'est pas la bienvenue. Le… — Joshua L. Zarka (@yzarka) August 7, 2025 Entre janvier et mai 2025, un total de 504 actes antisémites a été recensé sur le sol français d'après les derniers chiffres du ministère de l'Intérieur.


Le Figaro
2 minutes ago
- Le Figaro
Yeux crevés et lacérations profondes sur des chevaux en Normandie : le suspect dit avoir «obéi à des pulsions»
Dans la voiture du jeune homme, les gendarmes ont découvert un cutter ensanglanté ainsi que des cordes et des biscuits pour chevaux. Son sang a également été retrouvé sur un des lieux des faits. Il sera jugé le 26 septembre. En à peine trois mois, quinze chevaux ont été victimes de graves mutilations dans la région du Havre, en Normandie. Certains ont eu les yeux crevés, d'autres des fractures et des lacérations profondes, pouvant aller jusqu'à 8 centimètres. Cinq équidés sont morts des suites de ces blessures qui, selon l'enquête, ont été causées par la main de l'homme. Un élément déterminant à permis à la gendarmerie de remonter à un potentiel suspect, interpellé le 4 août : une trace de sang humain laissée dans l'enclos d'un animal à Saint-Martin-du-Manoir. «Le prélèvement a été analysé et un homme, enregistré au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), a été identifié», a indiqué ce jeudi la procureure de la République du Havre, Soizic Guillaume précisant qu'il était blessé à la main au moment de son arrestation. Il sera jugé le 26 septembre prochain pour «sévices graves ou actes de cruauté infligés à un animal», certains ayant entraîné la mort. Il encourt jusqu'à cinq ans de prison. Le prévenu, placé en détention provisoire, est un jeune homme d'une vingtaine d'années condamné par le passé pour des faits de violences. Il habite à proximité des lieux des faits qui se sont déroulés entre le 6 mai et le 31 juillet, à chaque fois la nuit, à Angerville-l'Orcher, Fauville-en-Caux, Saint-Martin-du-Manoir, Notre-Dame-du-Bec et Saint-Vaast-Dieppedalle. Dans sa voiture, les gendarmes des brigades de recherches ont découvert un «cutter portant des traces de sang séché, une clé à griffe et des vêtements avec des taches rougeâtres ainsi qu'un monoculaire à vision nocturne et des biscuits pour chevaux», a déroulé la procureure. Des cordes «achetées à proximité de la date des faits» ont également été retrouvées, correspondant aux traces de serrage sur les cous des animaux. De plus, l'exploitation de son téléphone a mis en évidence des recherches internet sur l'ensemble des événements relayés dans la presse. Publicité Des mutilations au «procédé similaire» Lors de sa garde à vue, le mis en cause, présenté comme un homme inséré socialement et professionnellement, a expliqué avoir «obéi à des pulsions» sans être en mesure d'apporter plus de détails. Il a reconnu sa présence sur les lieux pour deux des sept agressions retenues contre lui par l'accusation. «Il n'explique pas clairement les sévices mais il admet qu'il était présent dans l'enclos pour deux des sept faits imputés. Ce n'est pas une reconnaissance totale, il donne peu d'explications de manière générale», a précisé Soizic Guillaume soulignant qu'il n'a pas avancé de «mobile fiable pour se dédouaner sur le reste». Une expertise psychiatrique a été demandée afin d'éclairer la personnalité de cet homme «qui n'a aucun lien avec le milieu de l'équitation» et que sa petite amie décrit comme «bagarreur». Cette série d'attaques rappelle la psychose qui s'était répandue sur l'ensemble du territoire au printemps 2020 quand plusieurs chevaux avaient été mutilés. Leurs oreilles semblaient prélevées comme des trophées. Le ministre de l'Intérieur de l'époque, Gérald Darmanin, avait dénoncé des «actes ignobles» tandis que des propriétaires de chevaux effectuaient des rondes de nuit avec leur fusil afin de les protéger d'obscurs mouvements sectaires ou de fétichistes. Finalement, la majorité des cas s'est avérée être liée à des morts naturelles, des charognards étant les auteurs des mutilations. Sur les 524 cas ayant fait l'objet d'enquête, seuls 80 ont été reliés à des agissements malveillants. «Compte tenu de l'âge du mis en cause actuel, il est peu probable qu'il soit impliqué dans les affaires de 2020», a insisté le colonel Pierre Egret, du groupement de la gendarmerie de Seine-Maritime. Et la procureure d'ajouter : «La difficulté est de différencier l'accident des actes de cruautés. Donc on reste très prudent, mais sur chacun des faits retenus, nous avons des éléments qui permettent de caractériser les agissements qui à chaque fois présentent un procédé similaire.»


Le Figaro
33 minutes ago
- Le Figaro
Guerre en Ukraine : l'Europe «doit participer» aux négociations de paix, exhorte Volodymyr Zelensky
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky enchaîne les réactions, louant les efforts de Donald Trump et rappelant le rôle que l'Europe doit tenir dans les négociations de paix entre l'Ukraine et la Russie. L'Europe «doit participer» aux négociations de paix entre l'Ukraine et la Russie, a affirmé jeudi 7 août le président Volodymyr Zelensky, alors que Donald Trump et Vladimir Poutine doivent se rencontrer dans les «prochains jours» selon le Kremlin. «La guerre se déroule en Europe et l'Ukraine fait partie intégrante de l'Europe (...) L'Europe doit donc participer au processus» en vue de mettre fin à la guerre qui se poursuit depuis 2022, a déclaré le président ukrainien sur les réseaux sociaux. Publicité «Louer les efforts de médiation» Dans le même temps, le chancelier allemand Friedrich Merz et le président ukrainien Volodymyr Zelensky ont «loué» lors d'un appel téléphonique «les efforts de médiation» de Donald Trump, selon un communiqué de Berlin publié après l'annonce d'une rencontre prochaine entre ce dernier et Vladimir Poutine. Les deux dirigeants ont souligné que la Russie devait «mettre fin à sa guerre d'agression contraire au droit international», a indiqué le gouvernement allemand, l'un des plus fervents soutiens de l'Ukraine.