
Une ex-compagne de Cédric Jubillar sera auditionnée en France
Publié aujourd'hui à 14h13
Une affiche avec la photo de Delphine Jubillar et un texte demandant justice et vérité pour elle, affichée à Cagnac-les-Mines, en France.
AFP/Charly TRIBALLEAU
La présidente de la Cour d'assises du Tarn a ordonné lundi matin l'audition d'une ex-compagne de Cédric Jubillar , qui lui aurait confié avoir tué son épouse Delphine, disparue depuis fin 2020, a indiqué à l'AFP le procureur général de la Cour d'appel de Toulouse.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
Confirmant une information du Parisien, le procureur général Nicolas Jacquet a déclaré à l'AFP que la magistrate Hélène Ratinaud avait demandé à la section de gendarmerie de Toulouse de conduire cette audition avant le 31 juillet, alors que le procès de Cédric Jubillar pour meurtre par conjoint s'ouvre le 22 septembre pour quatre semaines à Albi.
Comprendre l'affaire Jubillar Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
AFP
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


24 Heures
2 hours ago
- 24 Heures
Au moins 26 morts dans un naufrage au large de Lampedusa
Le naufrage d'une embarcation de migrants a fait plus d'une vingtaine de morts mercredi. Autant de personnes sont toujours portées disparues. Publié aujourd'hui à 16h03 Mis à jour il y a 4 heures Les naufrages d'embarcations de migrants arrivent régulièrement en mer Méditerranée (image d'archives). AFP Un naufrage au large de l'île italienne de Lampedusa a fait une vingtaine de morts au moins, avec encore une dizaine de disparus, selon plusieurs sources. D'après un porte-parole de la Croix-Rouge italienne interrogé par l'AFP, 22 personnes au moins ont perdu la vie, tandis qu'un communiqué des Garde-côtes parle d'«au moins 26». D'après un porte-parole de la Croix-Rouge italienne interrogé par l'AFP, 22 personnes au moins ont perdu la vie, tandis qu'un communiqué des Garde-côtes parle d'«au moins 26». «Profonde angoisse après le énième naufrage au large de Lampedusa, où le HCR assiste les survivants», a écrit Filippo Ungaro, un porte-parole du Haut-Commissariat pour les réfugiés de l'ONU, le HCR, sur son compte X, ajoutant qu'il semble y avoir «20 cadavres retrouvés, et autant de disparus». À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Un journaliste de Radio Radicale, Sergio Scandura, indique sur X que l'embarcation transportait 97 personnes quand elle a fait naufrage à environ 20 kilomètres du sud-ouest de Lampedusa. La chaîne RaiRadio1 fait état de 12 à 17 migrants disparus, et affirme que 60 rescapés ont été ramenés en sécurité sur l'île. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Les migrants qui tentent de rejoindre l'Italie par Lampedusa depuis l'Afrique du Nord font souvent la traversée dans des bateaux surchargés ou qui fuient, par la route maritime au centre de la Méditerranée, particulièrement dangereuse. «Il y a eu 675 morts depuis le début de l'année en Méditerranée centrale», écrit Filippo Ungaro dans son message sur X, appelant à «renforcer les voies légales» d'immigration. D'après le ministère italien de l'Intérieur, 38'263 migrants sont arrivés en Italie cette année par la voie maritime. La Méditerranée, mer d'exil Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
7 hours ago
- 24 Heures
La police évacue un campement de 300 sans-abri devant la mairie de Paris
Un campement de 300 sans-abri devant l'Hôtel de Ville de Paris a été démantelé par la police. Derrière cette opération se cache une crise du logement d'urgence, aggravée par les fermetures estivales et les pressions politiques. Publié aujourd'hui à 14h33 En été, les centres d'hébergement d'urgence ferment à Paris: environ 300 personnes, principalement des femmes et des enfants, ont campé pendant une semaine devant l'Hôtel de Ville. AFP À l'arrivée de la police, beaucoup avaient déjà pris la fuite. Ils s'étaient volatilisés dans les rues de la ville, conscients de ce qui les attendait. Mardi matin, une scène désormais familière s'est rejouée devant l'Hôtel de Ville de Paris . Sur ordre du préfet, un important dispositif policier a évacué un campement d'environ 300 sans-abri qui occupaient le parvis depuis une semaine. Installés sous des tentes, ils protestaient contre leurs conditions de logement. Le camp rassemblait principalement de jeunes femmes accompagnées d'enfants en bas âge, des migrants et des demandeurs d'asile. L'opération s'est déroulée sans violence, dans une atmosphère de routine désespérée. Des bus quasi vides Trois bus sont également arrivés avec les forces de l'ordre pour emmener les personnes vers des centres de transition régionaux: à Marseille, Toulouse ou Besançon, donc loin de Paris. Mais rares sont ceux qui acceptent de quitter la capitale. «Tout au plus une trentaine» ont finalement accepté de monter dans l'un des bus, a constaté «Le Parisien» sur place. Paris leur offre en effet davantage de possibilités pour se construire une existence, même précaire. Certains travaillent en ville et envoient leurs enfants à l'école. Mais ils ne disposent pas d'un logement fixe: le marché immobilier parisien représente un défi pour tous. Les plus chanceux trouvent une place dans un centre d'hébergement d'urgence de l'État, mais ces structures sont régulièrement saturées à Paris. En été, elles ferment leurs portes car les bénévoles partent en vacances. Les personnes hébergées en urgence durant l'année se retrouvent alors de nouveau à la rue. L'État et la Ville se rejettent mutuellement la faute L'association Utopia 56 , une ONG de défense des droits des migrants et des demandeurs d'asile, a décidé une fois de plus de rendre visibles ces personnes que l'État français veut, selon leur interprétation, transformer en «invisibles». C'est pourquoi elle a organisé cette action de protestation devant un symbole important de la ville, à un carrefour des grands flux touristiques. Ses tentes en plastique bleu sont devenues le symbole d'une lutte. L'organisation entend mettre face à leurs responsabilités l'État et la Ville, qui se renvoient volontiers la faute de cette situation. Les actions d'Utopia 56 suscitent pourtant une opposition croissante. Sur les réseaux sociaux, des commentaires haineux et racistes fleurissent régulièrement sous leurs publications. Des passants s'en prennent aux personnes qui campent. Cette fois, un incident particulièrement grave s'est produit devant la mairie, largement relayé par les médias français: deux jeunes hommes d'une vingtaine d'années ont pénétré dans le campement dans la nuit de samedi à dimanche et ont uriné sur une femme enceinte et ses deux enfants en bas âge pendant leur sommeil. Le préfet a d'ailleurs évoqué cet incident pour justifier l'arrêté d'expulsion. Rendre les invisibles visibles: c'est l'objectif de Yann Manzi, le fondateur de l'ONG Utopia 56. AFP Mais pour les ONG, il s'agit d'une question de fond. En France, soulignent-elles, il manque des places pour les personnes qui attendent une décision sur leur demande d'asile: elles sont 120'000. Or comme l'État français est confronté à une dette importante, il doit réduire la capacité de 6500 places cette année. C'est aussi un choix politique: le gouvernement centriste subit la pression de l'extrême droite, qui prône un traitement plus sévère des immigrés et dépasse les 30% dans les sondages. Le pays compte 208'000 autres lits dans des hébergements d'urgence généraux. Cependant, face au manque de places dans le système d'asile, ces structures doivent fournir des milliers de lits supplémentaires aux demandeurs d'asile. «C'est tout le système qui se mord la queue», a récemment déclaré Vincent Beaugrand, le directeur de l'association France terre d'asile, dans une interview au «Monde» . Le journal enquêtait sur les dix centres d'accueil régionaux que l'État avait créés en 2023 pour soulager la pression sur Paris. Mais les autorités et ministères compétents ont refusé de s'exprimer. Cela n'a rien de surprenant puisque ces centres font l'objet d'une polémique embarrassante. Polémique disgracieuse autour des JO d'été On disait alors que les autorités voulaient éloigner de Paris tous les sans-abri et les migrants, pour éviter que ces personnes en détresse ne ternissent l'image rayonnante de la capitale. L'expression «nettoyage social» a fait son apparition. Le gouvernement s'est défendu contre cette interprétation, mais sans grande conviction. Les recherches menées par «Le Monde» ont révélé que les dix centres sont sous-utilisés. Sur les 6400 personnes qui ont séjourné temporairement dans l'un de ces centres d'hébergement au cours des deux dernières années, seuls 19% étaient des immigrés sans papiers. 32% étaient des étrangers en possession d'un permis de séjour valable, mais confrontés à des difficultés de logement. Enfin, 49% étaient des demandeurs d'asile. Traduit de l'allemand par Olivia Beuchat. La France et ses sans-abri Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Oliver Meiler est correspondant en Italie. Il a étudié les sciences politiques à Genève. Il est l'auteur du livre «Agromafia» (2021). Plus d'infos @OliverMeiler Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
a day ago
- 24 Heures
Brésil: Explosion dans une usine d'explosifs: 9 disparus
Un site de production de matériaux explosifs a été détruit près de Curitiba. Les secours recherchent six hommes et trois femmes. Publié aujourd'hui à 00h20 Mis à jour il y a 7 minutes La destruction causée par l'explosion d'un entrepôt d'explosifs à Quatro Barras, Curitiba, le 12 août 2025. AFP Une forte explosion accidentelle dans une usine de matériaux explosifs dans le sud du Brésil a fait mardi neuf disparus, ont annoncé les autorités. Six hommes et trois femmes sont portés disparus dans cet accident qui s'est produit vers 6 heures du matin, heure locale, dans la région métropolitaine de Curitiba, capitale de l'État du Paraná, selon la porte-parole des pompiers, Luisana Guimaraes. Les forces de sécurité, aidées par des chiens, participent aux recherches pour retrouver les victimes. Plusieurs personnes ont également été blessées et ont été prises en charge dans des hôpitaux voisins. «La zone de l'explosion a été détruite. Dans un rayon d'environ 1,5 km, des maisons ont été touchées, avec des vitres brisées, des structures endommagées, une énorme onde de choc», a expliqué la porte-parole. Les images diffusées par les pompiers du Paraná après avoir maîtrisé l'incendie montraient un immense terrain jonché de débris. Enquête Les causes de l'accident font l'objet d'une enquête, ont déclaré les dirigeants de la société Enaex Brasil, propriétaire de l'usine, lors d'une conférence de presse. La société met en œuvre un plan d'urgence pour apporter un soutien psychologique aux victimes et à leurs familles, ont-ils ajouté. Selon les autorités, les habitants de plusieurs localités voisines ont entendu la détonation. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.