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Mercato : Kingsley Coman (Bayern Munich) bien parti pour rejoindre l'Arabie saoudite

Mercato : Kingsley Coman (Bayern Munich) bien parti pour rejoindre l'Arabie saoudite

L'Équipea day ago
Selon plusieurs médias, l'international français Kingsley Coman pourrait quitter le Bayern Munich pour Al-Nassr, le club saoudien de Cristiano Ronaldo.
Kingsley Coman serait proche d'un départ. Selon des informations de Fabrizio Romano confirmées par plusieurs médias dont Bild et RMC Sport, l'international français (58 sélections) pourrait rejoindre Al-Nassr, en Arabie saoudite.
L'attaquant de 29 ans, sous contrat avec le Bayern Munich jusqu'en 2027, aurait déjà donné son accord. Le club saoudien, lui, aurait soumis une première offre d'environ 30 millions d'euros et proposerait à l'ancien ailier du PSG un salaire annuel compris entre 20 et 25 millions d'euros.
Arrivé en 2015 en Bundesliga, le Français a enchaîné les titres avec le Bayern Munich tant en Championnat (9) qu'en Coupes nationales (3). En 2019-2020, il avait également marqué de son empreinte le sacre bavarois en Ligue des champions, en inscrivant le seul but de la finale face au PSG.
Depuis le début du mercato, l'équipe de Cristiano Ronaldo a notamment recruté le Portugais João Félix pour 30 millions d'euros et le défenseur barcelonais Inigo Martinez.
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Publicité Débuts internationaux contre la France Clin d'œil du destin, c'est à quelques encablures du Parc des Princes qu'il a fait ses débuts internationaux, le 7 octobre 2020, au Stade de France, un mois seulement après son premier match en pro. Un mauvais souvenir pour l'intéressé, titulaire en charnière centrale, sachant que les Bleus de Kylian Mbappé avaient écrasé l'Ukraine (7-1). La première de ses 49 sélections (3 buts). Il a même porté le brassard lors du dernier match en date de l'équipe nationale ukrainienne, le 10 juin, une victoire 2-1 contre la Nouvelle-Zélande, à Toronto. Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce France-Ukraine n'était que le sixième match d'Illya Zabarny chez les professionnels ! Pressé. À lire aussi Les notes des Bleus face à l'Ukraine (7-1) en octobre 2020 : Giroud historique, Camavinga culotté Déjà une expérience européenne Avec le Dynamo, Illya Zabarnyi a déjà disputé une trentaine de matchs européens, 21 en Ligue des champions (dont 9 lors des tours préliminaires) et neuf en Ligue Europa. Débuts en C1 à 18 ans. Ce n'est évidemment pas à Bournemouth qu'il a eu l'occasion de faire grimper ce total en Europe… Zabarnyi est déjà un cadre de l'équipe nationale ukrainienne. SUSA / Icon Sport Très fiable En deux ans chez les Cherries, le néo-Parisien a disputé 86 rencontres. Une seule blessure, à la malléole, dans ses premières semaines en Angleterre. Entre ce pépin inaugural et l'adaptation, Zabarnyi a eu du mal à s'imposer tout de suite sous les ordres de Gary O'Neil. Dès son arrivée, à l'été 2023, Andoni Iraola en a fait un titulaire. «Je ne sais pas si nous avons décidé de le changer une seule minute depuis que je suis ici, a raconté le coach basque. Ça en dit long sur la confiance que nous avons en lui, sur sa fiabilité et sa robustesse, et le fait que c'est le genre de joueur très facile à entraîner.» Et d'ajouter : «Il est attentif, il vient tous les jours à l'entraînement avec une excellente attitude et j'apprécie également son évolution, car à mon arrivée, c'était un excellent joueur, mais assez timide. Il ne parlait pas beaucoup. Et maintenant, on le voit tout gérer depuis l'arrière, criant aux joueurs de devant et demandant aux autres. Je l'aime en tant qu'homme et comme joueur». Solide dans les duels, appliqué à la relance Zabarnyi, c'est un beau bébé (1,89 m). Il en impose dans les duels et par son agressivité, même si ce n'était pas sa nature au départ. «Quand j'ai commencé à jouer, j'étais trop gentil sur le terrain. Mon entraîneur, Mircea Lucescu, m'a dit : "Tu dois être fort, tu dois faire peur". J'ai dû arrêter d'être trop gentil», a-t-il raconté au Telegraph . Moins en vue que son ancien coéquipier et néo-Madrilène Dean Huijsen à la relance, il n'en reste pas moins fiable dans ce registre, notamment le jeu long. Un défenseur moderne, puissant, rapide et qui brille par son sang-froid. Complet. Publicité Van Dijk comme inspiration À défaut de parler de modèle, Ilya Zabarnyi avoue s'inspirer de Virgil van Dijk, le roc néerlandais de Liverpoool. «J'adore son jeu. J'observe ses déplacements sur le terrain. Quand je joue contre quelqu'un, j'observe sa communication et j'en tire des leçons. J'ai une marge de progression. J'essaie de tirer de chaque match quelque chose qui me fait progresser. Je suis jeune, mais j'en veux plus, car au fond de moi, je suis un leader. Je veux diriger», a-t-il expliqué, toujours dans cet entretien au Telegraph. Et de poursuivre, pour le Times cette fois : «Van Dijk est le meilleur grâce à son positionnement, sa façon de parler à ses coéquipiers et son bon état d'esprit. C'est un leader. Dans le sport, quand les choses ne se passent pas toujours comme on le souhaite, il faut se ressaisir, se réveiller, et chaque équipe a des joueurs comme lui.» «I Wanna Dance with… Zabarnyi» C'est une habitude chez nos cousins anglais. Les fans de Bournemouth ont dédié un chant à Zabarnyi, sur l'air de I Wanna Dance with Somebody de Whitney Houston, qui est devenu «I Wanna Dance with Zabarnyi». «Quand je l'ai entendu pour la première fois, je n'arrivais pas à y croire. Ce n'était même pas un rêve, car quand j'ai commencé à jouer, c'était sans public, pendant la Covid. Puis la guerre a éclaté, et j'ai rejoué sans public», explique celui qui a été élu joueur de la saison par les fans de Bournemouth lors de la saison 2023-24, sa première année complète sous les couleurs des Cherries. Ambassadeur de la cause ukrainienne Difficile de tirer le portrait de Zabarnyi sans évoquer la guerre en Ukraine. Il évoluait encore au Dynamo lorsqu'elle a éclaté. Son départ pour l'Angleterre ne l'a évidemment pas éloigné de sa terre natale, où la majeure partie de sa famille vit toujours. Rappelons que le Paris Saint-Germain a dans ses rangs un joueur russe, le gardien Matfey Safonov, recruté l'été dernier. Ambiance. Illya Zabarnyi a formé une belle charnière avec le néo-Madrilène Dean Huijsen. SPI / Icon Sport «C'est difficile quand j'arrive sur le terrain et que je viens de regarder les infos, qu'une roquette vient de tomber sur un bâtiment. Des gens, mon peuple, meurent tous les jours. J'étais à Kiev quand ça a commencé. Je sais ce que c'est que d'entendre une alerte et qu'il faut se mettre en sécurité. Je sais à quel point c'est effrayant pour tout le monde. Alors je me demande ce que je peux faire de mieux pour mon pays ? J'ai pensé à retourner me battre. Je peux juste prendre une arme et apprendre. Je peux dire : "Stop, je ne veux pas jouer au football", mais non, je dois jouer. Les Ukrainiens ont besoin que je le dise au monde entier», a expliqué Zabarnyi dans une interview accordée au Times . … Et généreux donateur Un rôle d'ambassadeur, mais pas que. «Quand la guerre a éclaté, j'ai donné beaucoup d'argent pour notre armée, pour notre peuple, pour mes amis qui partent à la guerre et défendent notre pays, a-t-il raconté. J'ai de la nourriture, une maison, la sécurité, mais les autres n'en ont pas. Je dois aider. Si les Ukrainiens n'aident pas les Ukrainiens, pourquoi les Européens, les Américains ou les Anglais le feraient-ils ?». Jamais aussi bien servi que par soi-même. À lire aussi «Vous devez être reconnaissant», «Manque de respect», «Vous avez assez parlé» : l'échange lunaire entre Trump et Zelensky à la Maison-Blanche Publicité Donald Trump, un «enfoiré» Personne n'a oublié l'échange lunaire entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, début mars, à la Maison blanche. 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Sur les terrains de région parisienne, l'engouement pour le PSG est de plus en plus palpable. Le logo « PSG Academy » attire l'oeil en bordure de la route nationale longeant Gennevilliers, en Hauts-de-Seine. Il est apposé sur un bâtiment qui abrite un UrbanSoccer, l'enseigne de foot à 5, et la décoration est reprise un peu partout à l'intérieur, des murs aux terrains. Ouvertes depuis 2005, les académies du Paris Saint-Germain ont connu leur essor au milieu des années 2010. « En 2013-2014, on devait avoir 100 à 200 enfants, puis on est vite passés à 400-500 sous l'effet Zlatan et ça a vraiment explosé avec Neymar-Mbappé », retrace Didier Manin, directeur marketing d'UrbanSoccer, partenaire depuis 2010. La saison passée, 15 000 inscrits étaient comptabilisés en France. « Des parents mettent beaucoup d'économies pour avoir la tenue, la photo » Victor Dutot, superviseur d'un UrbanSoccer partenaire d'une académie du PSG Les centres sont ouverts aux garçons et filles dès 4 ans, sans principe de sélection et sur simple inscription. Pendant l'année scolaire, une formule comprend 32 séances, et, pour les vacances, des stages de cinq jours sont organisés. Une expérience qui a un certain coût : ici, entre 319 et 449 euros à l'année et à partir de 279 euros en stage, tenue et visite du Parc des Princes comprises. À Gennevilliers, les responsables voient passer un public mixte. « On reçoit des jeunes issus de familles aisées comme de quartiers sensibles, explique Manin. Voir un enfant avec le logo, ça a de la valeur, même si on leur rappelle qu'on n'est pas le PSG et qu'il n'y a pas de passerelle. » « Des parents mettent beaucoup d'économies pour avoir la tenue, la photo, ajoute Victor Dutot, superviseur du site. Certains font une demi-heure de route plutôt que d'aller dans le club de leur ville. » Entre le Paris FC et le PSG, l'ère de la cohabitation a commencé Ce matin-là, deux groupes, nés entre 2012 et 2019, s'entraînent séparément, les plus jeunes à l'air libre, sous le soleil. En apparence épuisés à la pause fraîcheur, les apprentis footeux retrouvent toute leur énergie à l'idée d'évoquer leurs chouchous, Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Vitinha et Nuno Mendes. « Ils sont forts, marquent beaucoup et ne dribblent pas tout seul », apprécie Martin, rejoint par Giovanni et Enzo. « Ils sont jeunes et gagnent tout », retient Milan. Anis embraye : « Moi, j'aimerais jouer à Paris ». Des « moi aussi, moi aussi » pleuvent. « Et qui mérite le Ballon d'Or ? », renchérit leur entraîneur, Rijkaard. Un débat Ousmane Dembélé - Achraf Hakimi s'installe. « On est contents de voir le PSG là où il est, mais notre quotidien est incomparable, face à la délinquance, au décrochage scolaire, aux violences... » Zizek Belkebla, formateur au FCM Aubervilliers Une heure plus tard, une petite dizaine de kilomètres à l'est. Le calme règne au stade André-Karman d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Les agents s'affairent au nettoyage. « D'habitude, c'est l'effervescence », glisse Zizek Belkebla depuis les gradins. L'homme connaît les lieux par coeur. Il y est né, a grandi, découvert le foot, jusqu'en D3, avant de reprendre le FCM Aubervilliers en famille et d'accompagner, entre autres, Warren Zaïre-Emery de ses 5 à 8 ans. Ces derniers jours, le club enregistre les inscriptions. « Après la Ligue des champions, on croule sous les demandes mais on doit limiter à 200. On reste un club de cité... » En cinquante-trois ans, Belkebla a été un témoin privilégié de la percée du PSG en banlieue. « Mes grands frères étaient plutôt pour Saint-Étienne et, nous, c'était la génération OM, mais à distance. La différence, c'est qu'on le vit aujourd'hui, on touche le truc, compare-t-il. On ne peut pas passer à côté. Le spectacle est au rendez-vous et l'équipe représente la France des périphéries. Il y a des Brésiliens, des Portugais, des Antillais, des Africains... » Pourquoi le PSG et le Paris FC ne se sont jamais détestés Le formateur a senti une bascule en 2020, après la première finale de C1. « Depuis, les gamins portent plus le maillot, observe-t-il. On a aussi des éducateurs abonnés qui font découvrir le Parc à leurs enfants. Quand on obtient des places, on emmène un groupe de 10-15 jeunes. Ils sont émerveillés ! » Mais lui veille à ce que les rêveries ne se transforment pas en désenchantement : « On est contents de voir le PSG là où il est, mais notre quotidien est incomparable, face à la délinquance, au décrochage scolaire, aux violences... Si on vante le modèle Zaïre-Emery, on ment aux jeunes. Au contraire, je m'en sers en leur disant qu'on avait 200 gamins à son époque et, pour moi, le plus important, c'est de savoir ce que sont devenus les 199 autres. » Des jeunes inspirés par « le collectif et la jeunesse » du PSG Ce discours résonne à Éragny. La cité en lisière du Val-d'Oise est déserte au coeur de l'été. Au pied des premières tours d'immeuble, un trio de jeunes en détente indique le terrain du coin. « Nous, c'est l'OM, tu connais, mais tu vas en trouver des Parisiens là-bas... » Si le city-stade le plus proche est désert, la pelouse synthétique de la Butte, près du quartier des Dix Arpents, où Presnel Kimpembe a grandi et repasse souvent, encore récemment, fait effectivement des heureux. gés de 15 à 18 ans, Enzo, Curtis, Oumar et Bakary enchaînent les reprises sous le soleil de midi, en attendant la reprise de l'entraînement avec leur club de Saint-Ouen-l'Aumône. Le premier a sa carte d'ultra au Parc depuis quatre ans. Les trois autres suivent à distance mais avec le même intérêt. « Franchement, Luis Enrique y est pour beaucoup, analysent-ils encore essoufflés. Il a fait gagner de la maturité aux joueurs connus déjà présents et a privilégié des recrues jeunes, qui font les efforts et jouent pour l'équipe. » Ces valeurs les animent, jurent-ils, davantage que les figures des stars précédentes : « Le collectif et la jeunesse, ça nous parle. Et on a vu que, pour une fois, on n'a pas abandonné dans les gros matches. Mbappé était fort mais on se reposait trop sur lui. Aujourd'hui, tout ne dépend pas d'un joueur. Si Dembélé n'est pas là, il sera remplacé. C'est bien mieux de ne pas miser sur l'individualisme. Même nos entraîneurs nous incitent à nous inspirer de leur jeu ! »

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