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Légende américaine du catch, Hulk Hogan est mort à l'âge de 71 ans

Légende américaine du catch, Hulk Hogan est mort à l'âge de 71 ans

24 Heures4 days ago
La star américaine du catch serait décédée des suites d'un arrêt cardiaque à son domicile en Floride, selon le média «TMZ». Publié aujourd'hui à 18h10
Hulk Hogan à Milwaukee, 18 juillet 2024
AFP
Légende américaine du catch, Hulk Hogan est décédé à l'âge de 71 ans des suites d'un arrêt cardiaque survenu chez lui en Floride, selon le média américain «TMZ».
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Autres newsletters Laura Manent est journaliste au sein du Digital Desk de Tamedia. Diplômée en relations internationales et développement humain, elle est également titulaire d'un master de l'Académie du journalisme et des médias de l'Université de Neuchâtel. Elle a notamment travaillé pour la RTS et La Région Nord vaudois. Plus d'infos @lauramntb
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La santé mentale de Tadej Pogacar au coeur de préoccupations
La santé mentale de Tadej Pogacar au coeur de préoccupations

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time10 hours ago

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La santé mentale de Tadej Pogacar au coeur de préoccupations

Malgré sa victoire éclatante, le quadruple champion du Tour de France apparaît lassé. Le prodige de 26 ans s'interroge déjà sur sa retraite. Publié aujourd'hui à 14h36 Tadej Pogacar en maillot jaune sur le podium après la 19e étape du Tour de France 2025 entre Albertville et La Plagne. AFP Coup de mou passager ou début d'un ras-le-bol généralisé? Sous le microscope depuis des années, Tadej Pogacar émet des signaux d'une grande lassitude que la joie d'avoir remporté un quatrième Tour de France avait du mal à masquer dimanche. Pendant toute la dernière semaine de la Grande Boucle, le Slovène a dégagé une impression étrange, laissant penser qu'il était soit malade ou très fatigué, soit qu'il s'ennuyait. Agacé parfois, apathique souvent, il a expédié interviews et podiums, sur lequel il lui est arrivé de faire franchement la tête. Le champion du monde a donné le change dimanche en passant à l'attaque sur les pavés détrempés de Montmartre lors d'une dernière étape exceptionnelle. «De la course à l'état pur, j'ai adoré», a-t-il commenté. Tadej Pogacar après la dernière étape du Tour de France 2025. AFP Mais à peine redescendu de son vélo, le champion du monde a adopté à nouveau un ton quasi crépusculaire. «Plus je grandis, plus l'enfant en moi disparaît et plus la pression devient surréaliste. Je commence à me dire que je ne vais pas faire ça toute ma vie», a-t-il répondu en zone mixte à un journaliste d'ITV lui demandant comment il gérait toute cette attention. Passant ensuite en conférence de presse, il a été incapable de se projeter sur les prochaines éditions, alors qu'il sera en mesure d'égaler le record de cinq victoires dès 2026. «Pas un objectif», a-t-il dit. Il a en revanche longuement évoqué les questions de santé mentale et de surmenage qui ont conduit plusieurs coureurs, comme le Néerlandais Tom Dumoulin, à mettre une fin abrupte à leur carrière. «Je trouve que nous, les cyclistes, nous sommes trop obsédés par l'entraînement, a-t-il dit. Il y a beaucoup de burn-out. Je n'en suis pas là, mais ça pourrait m'arriver aussi.» Star du cyclisme Pogacar a beau n'avoir que 26 ans, il est sur le devant de la scène depuis la Vuelta 2019. Au cours de ces années, il est devenu une superstar du cyclisme, puis du sport tout court après une saison 2024 sensationnelle qui l'a fait basculer dans une autre dimension et fait exploser les sollicitations. Tadej Pogacar, portant le maillot jaune, roule avec le peloton devant l'Arc de Triomphe lors de la dernière étape du Tour de France 2025. AFP «Sa vie n'est pas facile. Il descend au petit-déjeuner et il y a vingt personnes qui réclament son attention. Il sort et il y en a trente autres qui attendent, et même chose devant le bus. Il est constamment sous pression. C'est normal que ça lui pèse mentalement», explique le Belge Tim Wellens, coéquipier de Pogacar chez UAE et son voisin à Monaco. A chaque course, Pogacar est happé de toutes parts, tout le temps, à la sortie de l'hôtel, au départ, en route pour le podium, au retour. En chemin, il s'arrête pour un selfie ou un autographe mais doit souvent fendre la foule, le regard fixé droit devant lui, pour ne pas y passer sa journée. Ca lui pèse, estime Stephen Roche, vainqueur du Tour en 1987: «c'est un gentil, il a dû mal à dire non.» Encore plus précoce, Remco Evenepoel dit souvent que le cyclisme est devenu tellement exigeant que «les carrières longues vont disparaître». Une fatigue qui mène à la retraite? Sous contrat jusqu'en 2030 avec UAE, Pogacar dit dans un entretien au journal L'Équipe qu'il «ne pense pas arrêter tout de suite». Mais il ne se voit «pas non plus poursuivre trop longtemps», évoquant les JO de Los Angeles 2028 comme échéance pour réfléchir à sa retraite. Cela lui laisserait trois ans pour battre le record de victoires sur le Tour de France, la plus grande course du monde qu'il devrait continuer à disputer même si, là aussi, il lui arrive de distiller le doute. Andy Schleck, vainqueur du Tour en 2010, est sceptique: «il surfe sur une vague énorme mais cette vague peut se briser. Il y a plein de jeunes qui arrivent et qui roulent avec passion. Le cyclisme change très vite. Je ne crois pas qu'il battra le record.» Tadej Pogacar , qui a déclaré dans les Pyrénées qu'il était «au pic» de sa carrière, doit annoncer cette semaine s'il participe à la Vuelta qui démarre le 23 août. Il est très probable que non. «Pour l'instant je n'ai pas de buts clairs, peut-être les Championnats du monde (en septembre) et le Tour de Lombardie (en octobre). Pour le reste je ne sais pas», a-t-il déclaré dimanche soir, pressé d'en finir. Tour de France 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Le football bouffe tout, à commencer par nos préjugés
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time2 days ago

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Le football bouffe tout, à commencer par nos préjugés

Accueil | Opinion | Éditorial | Opinion Grâce à cet Euro en Suisse, le football a conquis de nouveaux territoires. À commencer par nos foyers. Éditorial Publié aujourd'hui à 10h05 Qui de mieux que Smilla Vallotto pour résumer en quelques mots cet Euro? AFP C'est un ogre qui dévore tout ce qui lui passe sous la dent. Jusque-là, le football s'était contenté de mastiquer à peu près la moitié de la population mondiale – environ 5 milliards de personnes ont suivi la dernière Coupe du monde. N'écoutant que son insatiable appétit, il est en passe de croquer un nouveau public, recalé sinon rebuté jusque-là par l'entre-soi viriliste du sport roi: les femmes. Sur ce dernier Euro, le ballon a roulé sur les gazons jadis maudits, écrasant au passage les préjugés et forçant la faune établie à reconsidérer ses codes séculaires: des supporters qui défilent et trinquent ensemble dans l'adversité, des figures d'identification qui n'ont que faire de rouler en Lamborghini, des pissoirs sans file d'attente. Une certaine idée du bonheur? Assurément. Quoique, les vieux réflexes ont la vie dure. Les matches décisifs verrouillés par la peur de perdre, les secondes tuées sur l'autel du dieu antisportif, les arbitres qui sont accusés de tous les maux, à croire que l'instinct de compétition est tellement humain qu'il s'en «balek» du genre, pour reprendre l'expression consacrée par Smilla Vallotto . Il en va de même pour le pouvoir d'attraction du football: il embrasse et embrase dans le même mouvement. Jusqu'à désintégrer toutes les formes de concurrence. Le foot permet de partager si simplement et si follement des émotions cristallines qu'il est difficile de se satisfaire ensuite d'un autre divertissement. À croire que cela explique pourquoi les hommes s'étaient bien gardés d'élargir leur chasse gardée aux femmes jusque-là. Il va bien falloir. Car oui, cet Euro en Suisse a marqué un tournant. Pas seulement en tribunes ou sur le terrain, mais aussi dans nos vies conjugales, familiales, professionnelles: cette fois, les garçons et les filles vont être obligés d'admettre que c'est quand même beaucoup plus sympa de jouer dans la même équipe. À lire également sur l'Euro 2025 Florian Müller est journaliste et chef de la rubrique sports de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Après des études de Lettres à l'Université de Genève, il rejoint les rédactions du groupe Tamedia en 2010. Plus d'infos @FloMul Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Faut-il se réjouir de voir autant de femmes se mettre au foot?
Faut-il se réjouir de voir autant de femmes se mettre au foot?

24 Heures

time2 days ago

  • 24 Heures

Faut-il se réjouir de voir autant de femmes se mettre au foot?

Accueil | Sports | Euro 2025 | Dans le sillage d'un Euro enthousiasmant, il est espéré que le nombre de footballeuses double en Suisse d'ici à 2027. Mais l'effet de cannibalisation du sport par le ballon rond interroge. Publié aujourd'hui à 10h03 Avec le succès du tournoi et le parcours magnifique de l'équipe de Suisse, à quoi ressemblera le boom post-Euro annoncé? AFP En bref: Au royaume parfois absurde du football, l' Euro 2025 s'est imposé comme symbole de bon sens. Il est un élan de fraîcheur incarné par des joueuses à la reconnaissance infinie vis-à-vis de ce qui leur arrive, encore capables de distinguer le caractère irréel du moment lorsque leur tir fait se lever des centaines de milliers de personnes. Il restera comme un tournoi à «taille humaine», pas parfait mais conscient de la réalité écologique du monde. Il aura été porté par des foules passionnées pacifiques, qui n'ont pas besoin de l'escorte de fourgons blindés pour se déplacer d'un point A à un point B. Bref, l'Euro 2025 représente un exemple. Un exemple perfectible, sans doute trop enclin à faire la promotion de boissons alcoolisées ou gazeuses. Mais à l'échelle du football, un bon exemple. Dans un monde idéal, les 40'000 nouvelles footballeuses attendues sur les terrains suisses d'ici à 2027 seront animées de ces valeurs positives et de ce sens des responsabilités. Cela répondrait au souhait de l'UEFA et de l'Association suisse de football (ASF), dont le programme d'héritage, soutenu par une somme de plus de 10 millions de francs, prévoit une hausse de 100% du nombre de licenciées. Elles atteindraient ainsi la barre des 80'000. En comparaison, environ 300'000 footballeurs ont été recensés en 2024. En Suisse, l'ASF est la fédération sportive comptant le plus de membres. Les valeurs aperçues et partagées lors de l'Euro 2025 n'avaient souvent rien à voir avec celles retrouvables dans le foot masculin. Peuvent-elles durer? Le football avance sur le territoire de l'égalité des genres. «Aussi parce que les sponsors se rendent compte qu'ils ne peuvent pas négliger 50% de la population. Dans une logique d'image, cela devient difficile pour eux de valoriser des sports uniquement ou largement masculins», note le sociologue du sport Fabien Ohl. C'est par ce biais que les participantes à l'Euro 2025 ont chacune pu toucher une prime de plusieurs dizaines de milliers de francs, établie en fonction des résultats de leur sélection. Renvoyant autour d'elles l'idée qu'il est désormais possible de gagner sa vie, parfois confortablement, en tant que footballeuse. Le football, sport aux multiples vertus Le champ des possibles semble enfin s'ouvrir pour les femmes dans le football. Même s'il convient de se méfier de l'effet «parenthèse enchantée» de l'Euro. «Des pics de popularité s'observent après de grands tournois. Mais on remarque qu'ils sont éphémères dès lors qu'il n'existe pas une politique solide pour surfer sur la vague», détaille encore Fabien Ohl. Celle de la Suisse sera rapidement mise à l'épreuve. Dans la réalité suisse actuelle, 10'000 jeunes ne peuvent pas pratiquer le foot malgré leur désir, faute de places, selon une estimation de l'ASF. Des milliers de femmes pourraient venir allonger la liste d'attente. Celle-ci leur laissera sans doute le temps de se poser une question: au fond, le ballon rond a-t-il tant à leur apporter? En Suisse, des listes d'attente existent déjà pour certaines et certains nouveaux joueurs. Getty Images «Le football fait courir, sauter, changer de direction, vivre en groupe. Comme les autres sports d'équipe, il présente un avantage intéressant: celui de réfléchir pour plusieurs», analyse Boris Gojanovic, médecin du sport à l'Hôpital de La Tour. Fabien Ohl lui emboîte le pas. «Il est question d'une discipline inclusive au niveau de sa population et des classes sociales qu'elle représente. Elle a la capacité d'attirer des immigrés qui se tourneraient difficilement vers d'autres sports. Et donc de transmettre à ses pratiquants des valeurs de vivre-ensemble.» À tout âge, le football peut aussi faire office de lieu d'échange et de rencontre entre femmes, que celles-ci ne retrouvent pas ou plus ailleurs. Tout comme il favorise le développement cognitif et les capacités d'échange. «C'est là l'une des dérives du foot: il a tendance à s'approprier les bienfaits du sport. Tout effort cardio stimule l'activité cérébrale, mène à des effets positifs sur la mémoire et diminue le déclin cognitif lié à l'âge. Ce n'est pas propre au football», pose le Dr Gojanovic. Le goût du foot, c'est oui. Le goût du sport, c'est trois fois oui «En revanche, on constate que le foot après 40 ans, c'est compliqué. Parce que les gens ont tendance à le pratiquer de manière épisodique. Avec moins de trois entraînements par semaine, il est délicat de préparer son corps aux imprévus de la discipline.» Un danger auquel il faut ajouter le risque accru pour une joueuse de se déchirer le ligament croisé du genou. «On parle de trois à huit fois plus d'occurrences que chez les hommes, et d'une blessure grave. Qui mène à des répercussions sur la santé de la personne, mais aussi à des coûts pour la société», reprend le spécialiste. Sans doute faut-il considérer ces risques comme un moindre mal, en comparaison avec l'ensemble des bienfaits physiques et mentaux amenés par une pratique sportive. «Bien sûr. Et il est important de surfer sur la popularité de grands événements comme l'Euro pour mettre la population en mouvement. Seulement, l'enjeu n'est pas tant que les femmes se lancent dans le football, mais de leur donner le goût de l'activité physique.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. En 2025, un déclin de la pratique sportive des jeunes filles continue de s'observer vers l'âge de 14 ans. Dans sa montée en puissance, le football a-t-il les épaules pour endiguer le phénomène? «On constate aussi que les femmes ont moins d'esprit de compétition», souligne Fabien Ohl. Le «sport roi» peut participer à combler ce manque… pour autant qu'il s'agisse d'un manque. La question ici est de savoir si l'on souhaite tendre vers une société toujours davantage mue par l'esprit de compétition. «La base du football est nourrie de valeurs intéressantes. Mais à l'autre bout de la pyramide, on a créé certains modèles désirables qui n'ont rien à voir. Pour le dire crûment, l'idée est de faire fortune, puis de faire n'importe quoi de son argent. Voyages en jet privé, fêtes, abus de pouvoir…» rappelle Fabien Ohl, appuyé dans son propos par l'actualité et l'insensé 18e anniversaire de la star de Barcelone Lamine Yamal. Quand le ballon rond roule sur le terrain d'un autre sport Jeudi matin, c'est un autre discours qu'a voulu faire entendre la capitaine de l'équipe d'Italie au président de la République, Sergio Mattarella. « Le sport n'est pas seulement un jeu , c'est une culture, c'est une éducation, c'est un avenir. Investir dans le sport, dans le football féminin, ne signifie pas soutenir un secteur, mais croire en un pays plus sain, plus juste et plus conscient. Chaque terrain où une fille peut se sentir libre de rêver, chaque école qui reconnaît le sport comme un langage universel, chaque société qui place l'humain au centre sont un pas de plus vers une nation meilleure.» Les mots de Cristiana Girelli résonnent comme abîmés d'un larsen en Suisse, où la Confédération vient d'annoncer une baisse des aides Jeunesse+Sport de 20% pour 2026 . «Si beaucoup de femmes se mettent au foot après l'Euro, j'en suis ravi, c'est une super nouvelle pour la politique que je défends, lance Sergei Aschwanden, député au Grand Conseil vaudois. Mais je doute que cela se passe vraiment comme ça.» «Il faudrait de l'argent, mais les budgets concernant la promotion du sport sont coupés. Il faudrait également de l'espace, mais la loi sur l'aménagement du territoire ne permet pas de faire pousser des terrains n'importe où.» L'ancien judoka a largement porté l'initiative vaudoise pour une politique sportive ambitieuse, adoptée en juin et qui dote le Canton de moyens importants pour développer le sport au cours des prochaines années. Dans un panorama où le football peut avoir tendance à cannibaliser la pratique sportive, le péril existe que le ballon se taille une bonne part du butin. «Le risque, c'est que les dépenses dépendront des projets, reprend l'ancien judoka. Une fédération active pourrait recevoir plus de moyens du Canton parce qu'elle propose plus de projets. Dans le cadre d'un sport aussi populaire que le football, cela me paraît cohérent que beaucoup de moyens lui soient destinés.» Le prix à payer pour que les hommes gardent leur place sur le terrain et que les femmes puissent les rejoindre. D'autres articles sur l'Euro 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Florian Vaney est journaliste au sein de la rédaction sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Formé dans la presse régionale, il suit de près le football suisse, des divisions «des talus» à la Super League. Il s'intéresse aux événements du terrain, mais plus encore aux histoires – belles et moins belles – qui naissent autour. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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