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Une autre distinction pour Tanière⁠3

Une autre distinction pour Tanière⁠3

La Presse2 days ago
Tanière ⁠3 se distingue à nouveau en remportant le prix « Art of Hospitality » du palmarès 50s Best pour l'Amérique du Nord.
Décidément, 2025 semble être l'année de la consécration pour le restaurant Tanière⁠3. Après ses deux étoiles Michelin – les seules de la province – l'établissement de la ville de Québec se distingue en recevant le prix « Art of Hospitality » du palmarès 50s Best pour l'Amérique du Nord.
En mars dernier, 50s Best avait annoncé que l'Amérique du Nord aurait désormais droit à son propre palmarès des 50 meilleurs restaurants, à l'instar d'autres régions à travers le monde (Amérique latine, Asie, Moyen-Orient/Afrique du Nord). En amont du dévoilement de cette liste, prévu le 25 septembre à Las Vegas, l'organisation a dévoilé quelques distinctions, dont celle qui récompense l'excellence du service (« hospitality »).
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« La réinterprétation unique en trois actes de Tanière⁠3 emmène ses clients dans un voyage multisensoriel à travers la tradition, le terroir et le temps », a jugé 50s Best, qui a publié un long portrait du restaurant en mettant l'emphase sur son directeur de salle et co-propriétaire, Roxan Bourdelais, sur sa plateforme web 50s Best Stories.
PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE TANIÈRE⁠3
Roxan Bourdelais, directeur de salle et copropriétaire.
Un prix de bon augure pour le restaurant de fine gastronomie qui met à l'honneur les produits souvent méconnus de notre terroir dans des créations de haute voltige élaborées par le chef François-Emmanuel Nicol et son équipe (dont les mixologues Simon Faucher et Alexis Lemay). Tanière⁠3 se taillera-t-il une place dans le top 50 des meilleurs restaurants en Amérique du Nord ? À suivre !
Relisez notre article « Une liste des 50 meilleurs restaurants d'Amérique du Nord en 2025 »
Consultez l'article « Passcodes, poems and putting on a good show : the magic of Tanière⁠3 » (en anglais)
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Le Village numérique renaît
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time8 hours ago

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Le Village numérique renaît

Jeanne Dompierre, de Xn Québec, et Mikaël Frascadore, de MUTEK, ont mené l'équipe de programmateurs qui ont conçu le parcours du Village numérique, présenté jusqu'au 28 août dans le Quartier des spectacles. Le succès incontesté de ce parcours d'art numérique à ciel ouvert commandait une suite. L'aventure se poursuit donc cette année, jusqu'au 28 août, dans le Quartier des spectacles. Cette fois, MUTEK a fait équipe avec Xn Québec pour nous présenter cette deuxième mouture qui compte 28 installations multimédias. La Presse a vu huit de ces œuvres. Opal, de Gentilhomme PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Gentilhomme a conçu Opal en 2023. Le Village numérique nous permet de découvrir des artistes multimédias, mais aussi, bien sûr, des studios de création – ici Gentilhomme – qui conçoivent des environnements interactifs vraiment intéressants. Le projet Opal s'active grâce à la lumière qui provient d'une lampe torche que le visiteur manipule et pointe sur des animations visuelles organiques. 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Photomode : cadrer le jeu est une exposition – extérieure – de photographies virtuelles prises dans les univers créés par Ubisoft. Des visuels en très haute définition, tirés par exemple du jeu Assassin's Creed Odyssey, qui ont été agrandis et exposés sur de grands panneaux installés sur le parterre du Quartier des spectacles. Les photographies, soumises par des gamers, posent évidemment la question de la frontière entre réalité et fiction, de la place de l'art dans le monde du jeu vidéo et du photomode dans le monde de l'art. Sur le parterre du Quartier des spectacles. I'm Not a Robot, de Cadie Desbiens-Desmeules PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE I'm Not a Robot est une expérience interactive qui s'apparente à un coup de pied envoyé aux GAFAM. Voilà une installation artistique qui exprime un point de vue critique sur l'intelligence artificielle. L'artiste québécoise Cadie Desbiens-Desmeules s'intéresse aux systèmes de type reCAPTCHA, qui demandent aux utilisateurs d'identifier des images pour faire la preuve qu'ils ne sont pas des robots… Ces exercices permettent aux GAFAM de numériser des archives à grande échelle, nous explique-t-on. Google aurait ainsi bénéficié plus de 7,3 milliards de fois de ce travail bénévole. Pour mettre du sable dans l'engrenage, l'artiste alimente une IA conçue pour générer des voitures avec des images de chats… On vous laisse deviner le résultat. Sur le parterre du Quartier des spectacles. Astronomical Water, de Martin Messier PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Martin Messier mêle les arts multimédias avec la matière. Dans ce cas-ci avec des gouttes d'eau. Martin Messier est toujours très intéressant à suivre. L'an dernier, il nous avait hypnotisés avec Cycles, une chorégraphie de fils de nylon activés par des moteurs de machines à coudre. Cette année, l'artiste multimédia qui mêle arts multimédias et matière a conçu une structure composée d'une centaine de goutteurs disposés sur trois grands panneaux. Le visiteur peut donc apprécier la chorégraphie de ces gouttes d'eau qui tombent tantôt doucement, tantôt de manière accélérée, en même temps, ou les unes à la suite des autres. Des mouvements qui s'apparentent à de la jonglerie, qui répondent à des calculs mathématiques. À la Société des arts technologiques (SAT). Nest : Colony, d'Iregular PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Nest : Colony est une installation ingénieuse qui s'active au rythme de nos pas. Cette installation est à la fois ludique et ingénieuse. L'équipe du studio Iregular, fondé par Daniel Iregui, a créé un réseau de petites tuiles numériques disposées au sol. Sur chacune de ces tuiles, on peut voir de petits points qui représentent un essaim d'abeilles. Mieux : à mesure qu'on se promène à travers les tuiles, les haut-parleurs disposés au plafond nous traquent et diffusent des bourdonnements qui nous prennent pour cible. Le dispositif peut « attaquer » neuf personnes en même temps. S'il y a plus que neuf personnes, l'essaim d'abeilles va changer de cible après quelques secondes. Une installation qui interroge notre rapport à la nature. À l'Agora du Cœur des sciences. La porte du Refuge, de Normal Studio PHOTO FOURNIE PAR MUTEK La porte du Refuge se trouve place de la Paix, en face du Monument-National, dans le Quartier des spectacles. Conçue l'an dernier à l'occasion du 35e anniversaire du Refuge des jeunes, cette installation interactive qui se trouve place de la Paix, dans un secteur où l'on retrouve malheureusement beaucoup de personnes en situation d'itinérance, fait appel à notre sentiment d'empathie. Les participants sont en effet invités à « tendre les mains vers une porte entrouverte ». 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Le nouvel âge d'or de la chanson francophone
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time8 hours ago

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« Sacramant que c'est un âge d'or en ce moment ! » Ces mots sont venus du fond du cœur d'Ariane Moffatt vendredi soir lors de l'ouverture de la quatrième édition de la SuperFrancoFête. Elle a dit cela avant de faire lever la foule avec L'amour, le danger. C'est vrai qu'en regardant les 16 artistes rassemblés sur l'immense scène (brillamment mise en lumière et en images) de l'Agora du Port de Québec, on se disait qu'Ariane avait parfaitement raison. Pendant deux heures, il n'y a eu aucun signe inquiétant, aucune enquête alarmante. Juste de la beauté, de l'émotion, des décibels et de l'espoir. Il y avait aussi une jeunesse solide, décidée, inspirée. Le segment rassemblant Naomi (Hot Ex), Pierre Kwenders (La bohème), Ariane Roy (Tous mes hommages) et Lou-Adriane Cassidy (Dis-moi, dis-moi) fut particulièrement convaincant à cet égard. On peut compter sur eux pour porter le flambeau. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Lou-Adriane Cassidy Pendant la chanson de Lou-Adriane, deux jeunes filles sont montées sur les épaules de leurs amis pour brandir une grande banderole sur laquelle était écrite : « Vive le Québec libre ! » Il n'y a pas de doute, il se passe quelque chose en ce moment… Le concept de cette soirée, appelée L'été de mes chansons (qui reprenait celui de l'an dernier lors de l'évènement Plaines de chansons), reposait sur la rencontre entre de jeunes artistes et d'autres plus chevronnés. Tout ce beau monde était là pour chanter ! Chanter ses chansons, celles des autres, ceux qui étaient présents ou absents. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Mara Tremblay, Pierre Kwenders, Hubert Lenoir, Rau_ze, Damien Robitaille et Matiu sur la scène de la SuperFrancoFête Des exemples de ça ? Mon Doux Saigneur (Émerik Saint-Cyr Labbé), appuyé par Ariane Moffatt et Rose Perron, a fait Chante encore de Daniel Bélanger. Michel Rivard et Matiu ont offert un savoureux Jack Monoloy. Quant à Mara Tremblay, Les Louanges et (encore) Mon Doux Saigneur, ils semblaient littéralement portés par Le dôme de Jean Leloup. Les filles se sont amusées en reprenant quelques bombes (C'est zéro, Vivre dans la nuit, T'oublier, Chats sauvages). Le pot-pourri d'été (J'ai un amour qui ne veut pas mourir, Vivre en amour, Les chemins d'été, etc.), malgré quelques faiblesses, fut charmant. Bref, ce qui aurait pu être un casse-gueule a été l'une des forces de ce spectacle qui a osé mélanger toutes les facettes de la chanson québécoise tout en demeurant cohérent. Dès la première chanson (Paruline, paruline de Damien Robitaille), on a pu savourer l'excellente qualité sonore. On était là pour entendre des voix et une dizaine de musiciens, dont un quatuor à cordes qui a bien servi Pierre Lapointe dans Hymne pour ceux qui ne s'excusent pas. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Ariane Roy était accompagnée de danseurs. Comme il fallait s'y attendre, Ariane Roy a galvanisé la foule. En compagnie de huit danseurs, elle a fait monter la chaleur de cette soirée d'été exquise avec Agneau. Les Louanges a réussi à faire chanter les milliers de spectateurs avec La nuit est une panthère. Et puis, caché derrière ses éternelles lunettes noires et enfoui sous un fichu, Hubert Lenoir est venu chercher une énorme dose d'amour auprès du public. Il a dit que ça faisait trois ans qu'il vivait dans son studio, mais que la soirée de vendredi soir lui donnait le goût de retrouver la scène. Le directeur artistique et metteur en scène Benoit Landry et le directeur artistique et directeur musical Alex McMahon étaient aux commandes de cette soirée mémorable. Ces deux habitués de la SuperFrancoFête occupaient les mêmes postes l'an dernier. Ce spectacle a été retransmis en direct sur le web. La réalisation a été confiée à Daniel Laurin. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Michel Rivard La finale du spectacle a joué avec nos sentiments. Michel Rivard a interprété sa monumentale Je voudrais voir la mer. Les artistes féminines ont alors fait les chœurs qui épousent le son des vagues. Frissons et ovations ! On ne pouvait clore ce spectacle sans rendre hommage au plus grand disparu de l'année de notre chanson, Serge Fiori. Michel Rivard, Pierre Lapointe, Lou-Adriane Cassidy ont offert une interprétation très personnelle de Depuis l'automne, du disque Si on avait besoin d'une cinquième saison. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Pierre Lapointe, Michel Rivard et Lou-Adriane Cassidy lors de la chanson hommage à Serge Fiori. « Une chanson pour ici / Pour nous dire qu'on a refroidi / Une chanson en souvenir / Du temps qu'on voulait détruire / Un accord qui nous donne / Ce qu'on attend de l'automne / Quand y a plus rien à personne » Qu'ajouter de plus ? L'an dernier, j'ai titré la chronique qui accompagnait mon compte rendu de l'évènement Plaines de chansons « Enfin, une vraie célébration de notre chanson ». C'est vrai plus que jamais cette année. Montréal a ses Francos, Paris a sa Fête de la musique et Québec a dorénavant sa SuperFrancoFête, pour la transmission, pour tenir la flamme allumée. Consultez le site de la SuperFrancoFête

Cinq questions, cinq réponses
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time9 hours ago

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Cinq questions, cinq réponses

Nouveaux collaborateurs dans des émissions phares, mise en ondes de de nouveaux rendez-vous le week-end, rivalité des stations musicales ; voici quelques réponses à quelques questions entourant la rentrée radio 2025. Qui sont les nouvelles têtes le matin ? PHOTO FOURNIE PAR COGECO MEDIA Jean-Michel Bourque La matinale d'ICI Première animée par Patrick Masbourian, qui reprendra lundi, voit le retour de ses collaborateurs, dont Pierre-Yves McSween et Chantal Hébert. Claudia Hébert devient officiellement la chroniqueuse culturelle de l'émission, après avoir pris le relais d'Eugénie Lépine-Blondeau, qui, à compter du samedi 23 août, à 14 h, sera à la barre d'Admission générale, la nouvelle émission culturelle d'ICI Première. Du côté du 98,5 FM, on note aussi peu de changements dans la matinale de Patrick Lagacé. Valérie Lebœuf se joint à l'équipe aux actualités. Jean-Michel Bourque, qui a quitté TVA au début de l'été, assurera quant à lui la chronique sportive. Jonathan Trudeau sera prochainement de retour. D'ici là, Louis Lacroix le remplace dans le bloc politique de 7 h. … Et le week-end ? PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Monic Néron Dès le samedi 23 août, à 7 h, Monic Néron sera à la barre de Mimosa !, le nouveau rendez-vous du samedi matin sur ICI Première. Cette ancienne du 98,5 remplace Franco Nuovo. Celui-ci conserve son émission le dimanche matin sur ICI Première, qui domine outrageusement les cotes d'écoute en fin de semaine. Le 98,5 espère profiter de ces changements pour améliorer son sort le week-end. La saison dernière, la matinale de la fin de semaine était coanimée par Dave Morissette et Élisabeth Crête. Il a d'ores et déjà été annoncé que Dave Morissette ne sera pas de retour. Quant à Élisabeth Crête, son avenir au 98,5 FM paraît incertain. La composition de la nouvelle équipe du week-end n'a pas encore été dévoilée. Le retour en ondes est prévu pour le 30 août. La deuxième année de radio parlée du 99,5 FM… ou de QuB ? PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Isabelle Maréchal Le 99,5 FM reconfigure sa grille horaire pour sa deuxième année en tant que radio parlée. L'émission de Sophie Durocher en après-midi n'a pas été reconduite. En matinée, Mario Dumont gagne 30 minutes. Même chose pour Benoît Dutrizac sur l'heure du midi. Isabelle Maréchal se voit confier les rênes d'une émission d'après-midi, entre 13 h et 15 h. La nouvelle programmation du 99,5 FM entre en ondes le lundi 25 août. Le 99,5 FM, propriété de Leclerc Communication, diffuse en semaine les émissions de Qub, la radio numérique de Québecor. L'entente qui lie les deux entreprises est contestée par Bell et Cogeco. Les deux principaux acteurs de la radio privée au Québec ont porté plainte au CRTC et soutiennent que cette manière de faire contrevient à la réglementation actuelle. L'organisme fédéral doit rendre une décision prochainement. Rythme restera-t-elle au sommet ? PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Véronique Cloutier Rythme, qui n'a pas ménagé ses efforts l'an passé pour rajeunir son image de marque, a consolidé sa première place de radio musicale dans le Grand Montréal lors de la dernière saison. La station dévoilera lundi sa grille horaire de l'automne. Sa rivale Rouge a dévoilé cette semaine sa programmation, qui comporte très peu de changements par rapport à l'année dernière. Véro et les fantastiques est bien en selle dans le créneau du retour à la maison. Cette année, Véronique Cloutier sera entourée de deux nouveaux « fantastiques » : José Gaudet, un transfuge de Rythme, et Nicolas Pham, anciennement journaliste à Rad. CKOI et Énergie conservent aussi pour le moment grosso modo la même programmation qu'avant la pause estivale. Un horaire chargé, vous dites ? PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE Jean-Sébastien Girard La journée (est encore jeune) revient en ondes le 1er septembre, deux semaines après le reste de la programmation d'ICI Première en semaine. Jean-Sébastien Girard reste aux commandes du rendez-vous humoristique de 13 h, alors que la pause professionnelle de Jean-Philippe Wauthier se prolonge. À compter du 7 septembre, Jean-Sébastien Girard hérite aussi d'une heure de plus avec son émission du week-end, rebaptisée Le beau dimanche de Jeannot, qui se veut un 5 à 7 festif enregistré devant public. Autre nouveauté à ICI Première le dimanche : Isabelle Craig animera dès le 7 septembre, à 15 h, La folle aventure, que l'on décrit comme « une nouvelle fenêtre sur des histoires humaines étonnantes et touchantes ».

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