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Adrien Cachot sort les abats du purgatoire

Adrien Cachot sort les abats du purgatoire

Le Figaro21-07-2025
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LES TOCS DES TOQUÉS (1/6) - Chaque jour, Le Figaro met à l'honneur un chef à la cuisine radicale mais délicieuse. Pour ce premier épisode, rendez-vous avec la toque de Vaisseau, à Paris.
« Un imbécile me déclara un jour : 'Je ne mange jamais d'abats, il me faut du muscle, à moi.' Il lui fallait du muscle à ce pauvre type qui était incapable de différencier un morceau de filet d'un morceau de bavette. Vous, mes amis, qui êtes fines gueules, vous savez les morceaux de choix que sont rognons, ris, cervelles, foie et autres viscères si précieux en gastronomie, et vous les goûtez souvent, j'en suis bien sûr, plus que beefsteaks, rosbeefs et autres mets aux noms barbares. »
Ainsi parlait Maurice Edmond Sailland, alias Curnonsky, dans La Table et l'Amour. Nouveau traité des excitants modernes, ouvrage écrit avec André Saint-Georges (La Clé d'or, Paris, 1950). Par opposition aux mets « barbares », les auteurs y présentent les abats comme le régal des honnêtes gens. Conformément à la thématique de ce manuel truffé de recettes à la sauce gauloise, nos deux gastronomes leur prêtent, comme à pratiquement tout ce qui se mange en France, à part peut-être les nouilles et…
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Les acteurs de la série ont rivalisé d'audace et de style au photocall de l'avant-première, ce mercredi, à Londres. Leurs looks n'ont laissé personne indifférent. Des allures dans le juste thème. À une semaine de la sortie très attendue par les fans, de la saison 2 de Mercredi sur Netflix, l'équipe de la série était réunie à Londres, ce 30 juillet, pour une grande avant-première. Les acteurs et actrices de la fiction gothique de Tim Burton ont tous opté pour des looks en parfait accord avec son esprit joyeusement sombre. Catherine Zeta-Jones, Emma Myers ou encore Jenna Ortega étaient presque méconnaissables avec le maquillage ultratravaillé et leurs robes spectaculaires. Le tapis rouge ultramode de l'avant-première de la série Mercredi En images Voir les 14 photos Voir les 14 photos Gothique chic Ensembles texturés, chapeaux décorés, collants brodés et dentelles assumées ont été arborés par le casting de la série à succès. Les hommes ont choisi des costumes extravagants, parfois bicolores et les femmes ont préféré les robes, courtes, longues ou parfois à traînes. Quant à Jenna Ortega, qui incarne l'héroïne, elle a présenté une longue robe près du corps, à la taille marquée et aux tissus découpés aux extrémités. L'influence des personnages de la Famille Adams se ressentait dans absolument toutes les tenues choisies par leurs interprètes. La saison 2 promet un univers aussi gothique et drôle que la précédente et ce n'est pas pour déplaire à ses nombreux amateurs.

«Je ne sais pas où mon fils va habiter» : sur le point d'accoucher, Agathe Auproux partage son inquiétude
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Ce jeudi 31 juillet, la chroniqueuse a partagé avec ses abonnés dans une story Instagram, la situation compliquée à laquelle elle fait face, alors que son accouchement est imminent. «S'il n'y a pas de complications d'ici là, je sais donc exactement quand je vais rencontrer mon fils. C'est imminent», annonce Agathe Auproux, enceinte de huit mois, sur son compte Instagram ce jeudi 31 juillet. Alors que la chroniqueuse, révélée dans «Touche pas à mon poste !», s'apprête à accueillir son premier enfant, elle traverse également une période trouble. Déjà, le stress de la grossesse et des problèmes auxquels les jeunes mères en devenir sont confrontées, n'aide pas à la sérénité. «J'ai la date de mon accouchement (depuis un petit moment maintenant). La mauvaise position de mon placenta empêche un accouchement par voie basse, le bébé ne peut littéralement pas sortir tout seul : donc césarienne programmée avant le terme. Plus précisément : avant le début du travail spontané, pour nous protéger et éviter une grosse hémorragie», confie la journaliste, en proie à l'inquiétude. Publicité Mais si la jeune femme de 33 ans a ressenti le besoin de se témoigner de sa situation à ses abonnés, c'est qu'elle traverse une passe difficile. «Je ne sais en revanche toujours pas où mon fils va habiter. Ceux qui me suivent depuis le début de cette grossesse ont normalement suivi les déménagements successifs, et à plus de 8 mois, on est toujours dans ce marasme immobilier, toujours ces retards, toujours ces déceptions, toujours ces angoisses, toujours cette urgence, toujours cet inconfort. Alors que je vous promets qu'on fait tout bien, dans les règles», a-t-elle notamment assuré. À lire aussi «Je vous présente officiellement mon futur mari» : Agathe Auproux révèle l'identité de son fiancé à ses abonnés Et de poursuivre : «Je loge chez la famille de mon mari et pour plein de raisons il faut absolument qu'on ait un chez nous très vite. À 33 ans mdr, à deux doigts d'accoucher, je vis dans des sacs, je ne sais même plus où sont stockées mes affaires, je n'ai aucune visibilité. Ce contexte participe largement à mon état dépressif. Et les insomnies n'aident pas». Un contexte particulier donc pour la future maman, qui peut compter sur le soutien des personnes qui la suivent. En partageant ses problèmes quotidiens sur sa chaîne YouTube, dans une série de vidéos hebdomadaires intitulée «Oui, mais», la journaliste s'est créé une véritable communauté. Et c'est justement dans l'épisode 5 de la saison 2, sorti ce lundi 28 juillet, que l'ancienne plume des Inrockuptibles a évoqué ses problèmes de logement, conjugués au débordement d'hormones de femme enceinte. Un témoignage qui a suscité nombre de réactions en commentaires.

Intervilles : la société de production de Nagui assigne les arènes d'Arles en justice pour «parasitisme»
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La directrice des arènes d'Arles a reçu une assignation en justice pour parasitisme, accusée d'avoir organisé dans les arènes un jeu proche du programme télévisé Intervilles produit par la société de Nagui, Banijay Production Média. La société gestionnaire des arènes d'Arles, dans les Bouches-du-Rhône, est assignée en justice par la société de production de Nagui qui l'accuse de parasitisme, a affirmé au Figaro sa directrice Lola Jalabert, confirmant une information initiale de La Provence. Le 21 juillet dernier, Lola Jalabert a organisé pour Ludi Arles Production un spectacle, «Le choc des arènes», durant lequel deux villes s'affrontaient au cours de différentes épreuves. L'événement, initialement baptisé «Intervill's», avait changé de nom après un premier courrier mécontent de Banijay Production Media, la société de production de Nagui qui avait relancé cette année le célèbre jeu télévisé. L'événement s'est tenu dans les arènes d'Arles dans les Bouches-du-Rhône Manuel Cohen / AFP Publicité Vachettes et châteaux gonflables «J'ai fait bien attention de proposer un spectacle qui n'a rien à voir avec ce que propose le jeu télévisé, notamment dans les épreuves, fait valoir Lola Jalabert. On proposait des vachettes, ce qu'Intervilles ne faisait plus, mais aussi des épreuves dans des châteaux gonflables ou encore du ventriglisse.» Banijay Production Media aurait envoyé cette assignation le 18 juillet pour une audience prévue le 9 octobre. Elle demanderait par ailleurs 270.000 euros de dommages et intérêts selon Lola Jalabert. Au début du mois de juillet, le célèbre jeu télévisé a fait son retour sur le petit écran après seize ans d'absence, non sans succès. La finale d'«Intervilles», remportée par la ville de Gap (Hautes-Alpes) face à Coulanges-lès-Nevers (Nièvre) et Saint-Amand-les-Eaux (Nord), a attiré près de 2,4 millions de téléspectateurs sur France 2, selon les chiffres de Médiamétrie.

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