
« Quand tu joues au PSG, c'est difficile d'avoir une vie normale » : de Paris à Doha, les confidences de Julian Draxler

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L'Équipe
33 minutes ago
- L'Équipe
Ngapeth, un retour au meilleur moment pour se tester avant le Championnat du monde
Avec le retour du taulier des Bleus Earvin Ngapeth avant une double confrontation avec la Serbie à vingt-cinq jours de leur entrée en lice au Championnat du monde, tous les voyants sont au vert chez les Bleus. À l'entraînement, à Cannes, l'acharnement est tel que certains vont jusqu'à tricher pour gagner un point. Excellente nouvelle, c'est un signe de bonne santé chez les champions olympiques. Une énergie qu'ils auront l'occasion de mettre à profit ce soir, devant près de 3 500 spectateurs au Palais des victoires, puis demain, à huis clos, face à la Serbie. Les deux derniers tests avant la sélection, attendue vendredi, des quinze protagonistes qui s'envoleront pour l'île d'Okinawa, au Japon, puis disputeront leur premier match du Championnat du monde, le 14 septembre, aux Philippines. Pour le moment, ils sont encore dix-sept, et tous les voyants sont au vert. « C'est de très loin la meilleure semaine depuis le début de l'été, se réjouit Laurent Lecina, le préparateur physique des Bleus, à propos du stage sur la Côte d'Azur. J'ai monté le curseur sur le travail physique dès le premier jour, en me demandant comment ils allaient réagir, et pour le moment je n'ai pas besoin de revenir en arrière. Ils continuent de pousser fort, et malgré ça l'après-midi on a des entraînements de plus en plus longs, où ça se bat sur chaque ballon. » Déjà satisfait du travail effectué en Ligue des nations, malgré le coup de froid de la défaite en quarts de finale contre la Slovénie (1-3, le 31 juillet), le sélectionneur Andrea Giani salue quant à lui la qualité technique et l'état d'esprit de ses joueurs. Cerise sur le gâteau : Earvin Ngapeth a enfin rejoint ses coéquipiers, après un mois consacré à soigner une tendinopathie du genou droit, en passant notamment par le centre de rééducation de Capbreton, dans les Landes. S'il devrait se contenter d'encourager ses partenaires depuis le banc face aux Serbes, le facteur x de l'équipe de France intégrera les oppositions en six contre six à l'entraînement vendredi. En attendant, il ronge son frein en bossant son physique, pas vraiment son activité favorite, et s'entraîne un peu avant le reste du groupe, avec, en alternance, les centraux Joris Seddik et Quentin Jouffroy, de retour de blessure, et le réceptionneur-attaquant Kévin Tillie, en reprise. « Earvin (Ngapeth) va permettre à l'équipe d'être encore plus forte, il met une énergie positive. » Andrea Giani, le coach des Bleus « Techniquement, il est au-dessus de tout le monde, mais le travail physique est très important au plus haut niveau, et c'est une responsabilité pour le staff, estime Giani. C'est une typologie de blessure difficile, et tu ne peux pas revenir en une semaine quand il en faut quatre, c'est mathématique. Mais je le ferai rentrer dans les oppositions en fin de semaine, en limitant son nombre de sauts, pour lui c'est important, ça le stimule, et ça donne de l'énergie au groupe. » Victime à plusieurs reprises de pépins physiques dans les semaines précédant les grands rendez-vous (dos avant l'Euro 2017, abdos avant le Mondial 2018, genou avant l'Euro 2023, mollet droit avant les JO 2024), Ngapeth a une nouvelle fois donné des sueurs froides à ses coéquipiers et au staff. « Au début de l'été, quand le diagnostic est tombé, on a senti que tout le monde était un peu inquiet, à la fois pour sa participation au Mondial et le reste de sa carrière, se souvient Laurent Lecina. Là il n'y a aucun doute, on sait qu'il sera là. » Le contre-la-montre de Ngapeth, blessé à quelques semaines de son ultime objectif avec les Bleus Sa présence même est un atout pour le groupe. « Le fait qu'il partage les séances de prépa physique, qu'il soit dans le groupe à l'hôtel, même sans s'entraîner avec les autres, change la dynamique, poursuit le préparateur physique. Il a une telle confiance en lui qu'il rassure et la transmet. » La saison dernière a pourtant changé la donne. « C'était une année intéressante pour notre groupe, observe Andrea Giani. On a joué beaucoup de matches sans lui, certains joueurs ont accepté de prendre des responsabilités. L'équipe a besoin de lui, il l'a encore montré aux JO, mais elle a de larges épaules. En 2023, on ne pouvait pas gagner sans lui, en 2024, ce n'était plus le cas. » La star des Bleus reste un précieux vecteur de beau temps. « Earvin (Ngapeth) va permettre à l'équipe d'être encore plus forte, il met une énergie positive », assure Giani. Mais Ngapeth n'est plus le seul baromètre des Bleus. « On doit recréer notre bulle collective » : Benjamin Toniutti fixe le cap en vue du Championnat du monde


L'Équipe
6 hours ago
- L'Équipe
Jeff Strasser, ancien joueur de Metz et Strasbourg, nommé sélectionneur du Luxembourg
L'ancien Messin et Strasbourgeois Jeff Strasser a été nommé mardi sélectionneur du Luxembourg en remplacement de Luc Holtz, démissionnaire après 15 ans passés sur le banc de sa sélection. Jeff Strasser a été nommé mardi sélectionneur de l'équipe du Luxembourg, une semaine après la démission de son compatriote Luc Holtz, a indiqué à l'AFP la Fédération luxembourgeoise, confirmant une information du site local L'ancien sélectionneur était en poste depuis 15 ans et détenait la deuxième longévité mondiale à la tête d'une sélection, derrière Koldo Alvarez, qui entraîne Andorre depuis le 2 février 2010. Strasser, 50 ans, a été connu comme joueur pour avoir porté les maillots du FC Metz (1993-1999, 2007-2009) et de Strasbourg (2006-2007) en France, ainsi que du FC Kaiserslautern (dont il a ensuite été le coach en 2017) et du Borussia Mönchengladbach en Allemagne. Après sa carrière de joueur, qui l'a vu cumuler 98 capes en sélection, record à l'époque (battu depuis), Strasser a essentiellement occupé des postes d'entraîneur au Grand-Duché. Après le retrait de Luc Holtz, qui va s'engager avec la formation allemande de Mannheim (D3), il reste 15 jours à Strasser pour préparer son rendez-vous face à l'Irlande du Nord le 4 septembre, trois jours avant d'en découdre avec la Slovaquie. Les deux matches s'inscrivent dans les qualifications pour la Coupe du monde aux États-Unis, au Mexique et au Canada en 2026.


L'Équipe
7 hours ago
- L'Équipe
Placé sur la liste des transferts par l'OM, combien vaut Adrien Rabiot sur le marché ?
Placé sur la liste des transferts après la bagarre l'ayant opposé à Jonathan Rowe vendredi à Rennes, Adrien Rabiot se retrouve sur le marché. Mais à 30 ans, l'international français conserve une certaine cote en Europe, tout comme l'Anglais de 22 ans. L'histoire, débutée en septembre 2024, n'a duré que onze mois. Impliqué dans une bagarre avec Jonathan Rowe après la défaite de l'Olympique de Marseille à Rennes (0-1), vendredi lors de la 1re journée de Ligue 1, et mis à pied par le club lundi, Adrien Rabiot est instantanément devenu indésirable chez les Phocéens. Coupable d'un « comportement inadmissible dans le vestiaire » selon son club, l'international français (53 sélections, 6 buts), a disputé, sans le savoir, son dernier match avec l'OM puisqu'il a été placé sur la liste des transferts par ses dirigeants. Alors qu'il s'était engagé pour deux saisons (une année et une autre en option), Rabiot se serait retrouvé libre à l'été 2026, après la Coupe du monde. Au moment de la signature, il avait convenu avec ses patrons que s'il n'était pas satisfait, il pouvait partir libre en juin. Très heureux, il avait logiquement choisi de rester et une prolongation était même dans les tuyaux. « Je ne me voyais pas partir au moment où je pense que le plus beau arrive. On a mis quelque chose en place avec le coach, le staff et tous les gens qui travaillent au club. Je voulais faire partie de la suite. [...] Des clubs sont venus, mais j'avais donné ma parole au président, à Medhi (Benatia) et on est resté là-dessus. (...) Des clubs avec des offres alléchantes, mais ce n'est pas ce qui m'attire », lançait-il dans la Provence il y a 10 jours. Au moins 15 M€ Au sortir de cette affaire, certains prêtent à l'OM une volonté de rentrer dans ses frais en utilisant « l'affaire rennaise » pour pouvoir vendre le Français avant la fin du mercato, et ainsi réaliser une opération financière. « Ce sera à nos conditions », lâchait-on à l'OM en parlant d'un futur transfert. Le club en espère au moins 15 M€, mais ne s'est pas placé dans la meilleure position pour négocier. L'AC Milan de Massimiliano Allegri, ancien entraîneur du Français à la Juventus Turin, a déjà montré son intérêt, tout comme des clubs saoudiens. Au micro de RMC ce mardi soir, son avocat Romuald Palao a pris la parole : « Le club a indiqué qu'il souhaitait se séparer du joueur, mais on ne peut pas indiquer vouloir se séparer d'un joueur et venir réclamer des sommes hallucinantes, 15 M€ c'est énorme. Oui, forcément qu'on va regarder ce qu'il se passe. Il y a des clubs qui sont venus dans le courant de l'été, certains se sont manifestés ces derniers jours et un peu plus aujourd'hui. Il va y avoir des propositions ». De son côté, Jonathan Rowe, qui dispose d'une cote en Angleterre, pourrait s'en aller pour 20 M€. L'international anglais (10 sélections, 3 buts), débarqué l'été dernier en provenance de Norwich (Championship), était arrivé sur La Canebière contre 14,5 M€. Insultes, coups échangés : ces instants qui ont mené à une bagarre dans le vestiaire de l'OM