
Un policier américain condamné à près de trois ans de prison pour la mort d'une femme noire
Une réquisition qualifiée d'«insulte» par les avocats de la victime. Breonna Taylor avait été tuée d'au moins huit balles par la police, dans son appartement, à Louisville, dans le Kentucky , le 13 mars 2020. Les policiers y avaient fait irruption en pleine nuit dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants visant son ancien petit ami. Son nouveau compagnon les avait pris pour des cambrioleurs et avait tiré un coup de feu avec une arme détenue légalement. Les policiers avaient riposté en tirant plus de trente coups de feu, touchant mortellement Breonna Taylor.
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Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
« Panamas Playlists » : One Direction, Taylor Swift… les goûts musicaux de la garde rapprochée de Donald Trump révélés
Après les Panama Papers , place aux Panama Playlists . Un site internet au nom provocateur, lancé discrètement cette semaine, expose les habitudes musicales de plusieurs figures de la vie publique américaine. Parmi elles : le vice-président J. D. Vance , la procureure générale Pam Bondi , la porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt et même le gouverneur de Floride et ex-candidat au présidentiel Ron DeSantis . Derrière cette opération : un internaute anonyme, qui affirme avoir mené depuis l'été 2024 un travail de recherche pour identifier les véritables comptes Spotify de ces personnalités grâce à des données publiques ou source ouverte « Beaucoup utilisent leur vrai nom. Avec un peu d'investigation, j'ai pu être quasiment certain de leur identité », explique-t-il sur son site. Premier nom qui se démarque : J. D. Vance, le vice-président américain . On retrouve sur ses playlists des morceaux de boys bands , dont « What Makes You Beautiful » de One Direction et « I Want It That Way » des Backstreet Boys. Sa playlist intitulée Making Dinner contient aussi « One Time » de Justin Bieber . Quant à Pam Bondi , elle semble nostalgique des années 1980 et 2000 : « Girls Just Wanna Have Fun » de Cyndi Lauper, « I Gotta Feeling » des Black Eyed Peas ou encore « Hello » d'Adele figurent parmi les sélections dans son playlist intitulé « Pam » , qui contient également plusieurs morceaux de Michael Jackson et de Taylor Swift . Un indice a permis d'authentifier le compte de la procureure générale des Etats-Unis : une vieille playlist partagée avec un certain John Wakefield, le nom de son compagnon de longue date. Le site ne s'arrête pas à la sphère politique. Sam Altman, PDG d'OpenAI , y figure aussi : sa playlist My Shazam Tracks inclut « Fly » de Nicki Minaj et « Faire Et Refaire » d' Ascendant Vierge . Du côté de Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison Blanche , sa playlist Baby Shower , créée peu avant son accouchement, contient des hymnes féministes comme « Run the World (Girls) » de Beyoncé et « Respect » d'Aretha Franklin. Mais c'est Ron DeSantis, gouverneur de Floride et ancien candidat aux élections présidentielles , qui offre le plus surprenant mélange. Selon le site, il aurait écouté « Cocaine Blues » de Johnny Cash, l'incontournable « Party in the USA » de Miley Cyrus , mais aussi « Voulez-Vous » du groupe ABBA.


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- Le HuffPost France
Elon Musk continue d'investir massivement pour le parti républicain, malgré sa brouille avec Donald Trump
ÉTATS-UNIS - Elon Musk n'en voudrait-il finalement pas tant que ça à Donald Trump? Le PDG de Tesla et X a fait un don total de 15 millions de dollars en juin à des Super PAC (Political Action Committees) républicains, ces entités créées avec pour seul but de participer financièrement à une élection, en vue des midterms aux États-Unis l'année prochaine, les élections de mi-mandat. Un investissement qui s'est effectué alors même qu'Elon Musk était en conflit avec le président américain au sujet de la législation fédérale sur les dépenses publiques, et quelques jours seulement avant que l'homme le plus riche du monde n'annonce la création de son propre parti politique. Trois dons de 5 millions de dollars chacun ont été faits en date du 27 juin à MAGA Inc., au Senate Leadership Fund et au Congressional Leadership Fund, selon la presse américaine qui rapporte l'information ce vendredi 1er août, dont CNN et NBC. Par ailleurs, les rapports de campagne de la Commission électorale fédérale montrent qu'Elon Musk a investi cette année plus de 45 millions de dollars de sa poche dans America PAC, le Super PAC qu'il supervise. Cela alors qu'il s'efforçait, sans succès, d'influencer début avril sur le résultat d'une élection à la Cour suprême du Wisconsin. Fâcherie publique et création de parti Au total, Elon Musk a contribué à hauteur de plus de 270 millions de dollars à la campagne de Donald Trump pour la Maison Blanche. Habitué du Bureau ovale, il a aussi piloté la Commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge) destinée à réduire drastiquement les dépenses fédérales. Il a quitté Doge en mai pour reprendre en main ses entreprises et, en particulier, Tesla dont l'image et les ventes ont souffert dans le monde du fait de cette collaboration. Peu après, lui et le président ont durement et publiquement commencé à ferrailler au sujet du projet de loi budgétaire de Donald Trump. Fermement opposé à ce texte, dont il dénonce l'impact sur les finances publiques, Elon Musk avait promis de lancer son propre parti politique si le texte était adopté. Ce qu'il a fait au début du mois de juillet avec la création du « parti de l'Amérique » pour dépasser, selon lui, la situation de « parti unique » aux États-Unis. Une initiative jugée... « ridicule » par Donald Trump. Malgré tout, si Elon Musk fait courir un risque aux républicains, les obstacles sont nombreux et les chances de succès de ce parti restent faibles.


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Donald Trump déploie des sous-marins nucléaires, furieux après des propos « provocants » de la Russie
INTERNATIONAL - Pour Donald Trump, les mots ont de la valeur. Dans un message posté sur son réseau Truth Social ce vendredi 1er août, le président américan a annoncé le déploiement de deux sous-marins nucléaires après des propos de l'ancien président russe Dmitri Medvedev. « Suite aux déclarations hautement provocatrices de l'ancien président russe Dmitri Medvedev, aujourd'hui vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j'ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les zones appropriées, au cas où ces déclarations insensées et incendiaires seraient plus graves », écrit-il, comme vous pouvez le voir ci-dessous. « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences inattendues. J'espère que ce ne sera pas le cas. Merci de votre attention ! », ajoute-t-il. Dans un message récent sur X, l'ex-dirigeant russe avait écrit que chaque nouvel ultimatum fixé par Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine « était une menace et un pas vers la guerre » avec les États-Unis. Le républicain menace d'imposer de dures sanctions économiques contre la Russie si son homologue russe Vladimir Poutine ne cesse pas les hostilités en Ukraine d'ici la fin de semaine prochaine. Menaces de sanctions Le président américain envisage en particulier des sanctions dites « secondaires », c'est-à-dire infligées aux pays qui achètent notamment du pétrole russe, dans le but de tarir cette source de revenus essentiels pour la machine de guerre russe. Le républicain de 79 ans avait opéré peu après son retour au pouvoir en janvier un rapprochement spectaculaire avec Vladimir Poutine, persuadé que sa bonne relation avec le dirigeant russe lui permettrait d'arrêter rapidement la guerre en Ukraine, déclenchée par l'invasion russe de février 2022. Cette promesse a fait long feu et laissé place chez Donald Trump à une frustration grandissante envers le maître du Kremlin.