
Inde : le premier ministre indique avoir eu un «bon» échange avec son «ami» Poutine
Le premier ministre indien Narendra Modi a indiqué vendredi 8 août qu'il avait eu un «bon» échange avec son «ami», le président russe Vladimir Poutine, réaffirmant leur engagement mutuel à renforcer les relations bilatérales entre leurs deux pays.
Narendra Modi a précisé qu'il se réjouissait «d'accueillir le président Poutine en Inde, plus tard cette année», selon un communiqué publié sur les réseaux sociaux.
Publicité
Plus d'informations à venir...
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Avant sa rencontre avec Poutine, Trump évoque un futur « échange de territoires » dans le cadre d'un accord Russie-Ukraine
Le président américain, Donald Trump, a confirmé ce vendredi qu'il rencontrera son homologue russe, Vladimir Poutine, « très prochainement », dans le cadre de sa médiation pour mettre fin à la guerre en Ukraine. « Cela aurait pu se faire plus tôt, mais je suppose qu'il y a malheureusement des mesures de sécurité à prendre, sinon je l'aurais fait beaucoup plus rapidement », a-t-il affirmé en précisant qu'il ferait l'annonce du lieu du sommet un peu plus tard ce vendredi. « Il y aura des échanges de territoires au bénéfice de chacun, mais nous parlerons de ça plus tard ou demain », a-t-il déclaré à la Maison-Blanche, toujours ce vendredi. « C'est compliqué, c'est vraiment pas facile, a-t-il ajouté. On parle d'un territoire sur lequel les combats font rage depuis plus de trois ans et demi. (…) Nous allons en récupérer une partie », a-t-il conclu sans donner plus de détails. Selon le Wall Street Journal, Vladimir Poutine a présenté une proposition à l'administration Trump cette semaine en l'échange d'un cessez-le-feu : d'importantes concessions de territoire - et leur reconnaissance - contre la fin des combats.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
L'Arménie et l'Azerbaïdjan signent un accord de paix et disent soutenir Donald Trump pour le prix Nobel
Le président américain désormais faiseur de paix ? Donald Trump a déclaré vendredi que l'Arménie et l'Azerbaïdjan s'étaient engagés à instaurer une paix permanente, alors qu'il accueillait à la Maison Blanche les dirigeants des deux pays du Caucase du Sud, qui se livrent une guerre depuis des décennies. « L'Arménie et l'Azerbaïdjan s'engagent à mettre fin à tous les combats pour toujours, à ouvrir le commerce, les voyages et les relations diplomatiques, et à respecter la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'autre », a affirmé Trump, qui a également annoncé la levée des restrictions sur la coopération militaire entre les États-Unis et Bakou. « Nous établissons aujourd'hui la paix dans le Caucase du Sud », a déclaré le président azerbaïdjanais Aliyev. Le Premier ministre arménien, Pashinyan, a ajouté que cet accord représentait « l'ouverture d'un chapitre de la paix ». Un peu plus tard, Ilham Aliev et Nikol Pachinian ont dit soutenir Trump pour le prix Nobel de la paix. Fin juillet, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, avait estimé qu'« il est plus que temps que Donald Trump reçoive le prix Nobel de la paix », évoquant plusieurs médiations menées depuis son retour à la présidence en janvier. Un conflit de plus de trente ans Le Haut-Karabakh, reconnu internationalement comme faisant partie de l'Azerbaïdjan, a été contrôlé pendant trois décennies par des séparatistes arméniens à la suite d'une guerre au début des années 1990. Ce conflit avait entraîné l'exode de la quasi-totalité des Azéris qui y vivaient. Bakou a repris partiellement l'enclave lors d'une guerre en 2020, puis entièrement en septembre 2023, provoquant la fuite de plus de 100 000 Arméniens. En mars, Bakou et Erevan s'étaient entendus sur un projet de traité de paix, mais l'Azerbaïdjan exige que l'Arménie modifie sa Constitution pour renoncer officiellement à toute revendication territoriale sur le Karabakh. /LP


Le Parisien
4 hours ago
- Le Parisien
Gaza : la France condamne le plan israélien qui risque de mener à « une impasse absolue »
À l'image dans la plupart des réactions de la communauté internationale, la France, via sa diplomatie, a condamné ce vendredi soir le plan israélien pour « prendre le contrôle de Gaza » et « vaincre » le Hamas.