
« On ne sait plus quoi faire des cadavres » : Soueïda, ville syrienne toujours ravagée par le chaos
Le 11 juillet, un homme druze a été battu et dépouillé par des bandits bédouins sur l'autoroute reliant Damas à
Soueïda
, une ville à majorité druze au sud de la Syrie. Son camion de légumes, ainsi que ses biens, ont été volés. En réponse, des groupes armés druzes locaux ont arrêté le lendemain plusieurs membres des tribus bédouines.
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12 hours ago
- Le Figaro
Bretagne : il tue son ex-compagne avant d'être abattu par un gendarme
Un homme de 38 ans a donné un coup de couteau à son ex-conjointe, dans une rue de Saint-Jouan-des-Guérets. Il aurait ensuite menacé les forces de l'ordre. Un homme de 38 ans a tué son ex-conjointe dans la nuit de vendredi à samedi à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine) et a ensuite pris la fuite avant d'être abattu par balles par un gendarme dans les Côtes-d'Armor, a-t-on appris samedi de source proche du dossier. D'après cette source, l'homme a tué sa conjointe d'un coup de couteau dans la rue de cette commune proche de Saint-Malo et a pris la fuite, se rendant jusqu'à son domicile à Taden. Il s'y est muni d'une machette, menaçant les forces de l'ordre. Un gendarme a alors utilisé son arme à trois reprises, le touchant mortellement au niveau de l'abdomen, selon cette source.


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Les haut-parleurs de la Corée du Sud avaient été retirés quelques jours auparavant. Contrairement à son prédécesseur, le nouveau président sud-coréen cherche à apaiser les tensions entre les deux pays. L'armée sud-coréenne a déclaré samedi avoir détecté des mouvements de troupes nord-coréennes en train de retirer des haut-parleurs de propagande utilisés pour diffuser des bruits perturbants le long de la frontière, quelques jours après que le nouveau gouvernement sud-coréen a effectué le même geste. «Les militaires sud-coréens ont détecté des troupes nord-coréennes en train de démonter des haut-parleurs de propagande dans certaines zones le long de la ligne de front depuis ce matin», a déclaré samedi l'État-major interarmées sud-coréen dans un communiqué. «Il reste à confirmer si ces dispositifs ont été retirés dans toutes les régions, l'armée continuera à surveiller les activités connexes», ont-ils ajouté. Publicité Les deux pays avaient déjà cessé les émissions de propagande le long de la zone démilitarisée, après l'élection du président Lee Jae Myung, qui cherche à apaiser les tensions avec Pyongyang. Lundi, le ministère sud-coréen de la défense a déclaré que le pays avait commencé à retirer les haut-parleurs comme une mesure pratique destinée à calmer les tensions avec le Nord. «La paix est préférable à la guerre» Arrivé au pouvoir début juin, le président a promis de tendre la main à Pyongyang, arguant que, «quel qu'en soit le coût, la paix est préférable à la guerre». Son prédécesseur Yoon Suk Yeol, qui maintenait une ligne dure vis-à-vis de Pyongyang, avait commencé à diffuser de la K-pop et des bulletins d'information en réponse à une série de ballons remplis de déchets envoyés vers le Sud par Pyongyang. En représailles, le Nord avait peu après commencé à diffuser des bruits inquiétants le long de la frontière. En juin, Séoul avait cessé d'émettre de la propagande anti-Pyongyang. La Corée du Nord a dès le lendemain arrêté de diffuser les bruits qui perturbaient jour et nuit les habitants du Sud proches de la ligne de séparation. Les deux pays sont techniquement encore en guerre, la guerre de Corée de 1950-1953 s'étant terminée par un armistice et non par un traité de paix.


Le Parisien
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- Le Parisien
« Je voulais juste le secouer » : dans l'Oise, un homme étrangle un enfant de 7 ans avant d'agresser ses parents
Au tribunal de Beauvais (Oise), Salim B. fait face aux juges ce mercredi 6 août. Vêtu d'un ensemble de sport noir, le prévenu conteste les faits qui lui sont reprochés. « Je ne l'ai pas étranglé », se défend-il. « Ce n'est pas ce que dit l'audition des victimes », rétorque la juge. « Je ne voulais pas lui faire du mal. Juste le secouer », assure cet homme de 43 ans. A Mouy, le 3 août dernier, et après une journée arrosée, Salim B. décide d'aller acheter du café. En état d'ébriété sur la voie publique, les gendarmes lui demandent, après un passage à la brigade, de retourner chez lui. C'est sur le chemin qu'il croise la route d'un garçon de 7 ans qu'il connait bien, accompagné par sa sœur. D'un coup, et « sans raison apparente », il se jette sur l'enfant, lui tire le t-shirt puis l'étrangle jusqu'à ce que la jeune victime se mette à vomir. Le petit devient rouge, hurle puis se fait plaquer par Salim B. contre une vitre. Le garçon de 7 ans aura d'importantes lésions cervicales. « C'était pour me défendre » Les raisons de son geste demeurent floues. Le prévenu explique avoir été insulté par l'enfant. « Il voulait que je lui achète un maillot du Maroc, explique-t-il. Je pense qu'il a été frustré que je ne l'ai pas fait. » Une version que dément la sœur du garçon. L'histoire aurait pu s'arrêter là. Mais vers 2 heures du matin, les parents du petit rentrent de soirée et apprennent la nouvelle. Voulant s'expliquer avec Salim B., ils décident de se rendre en bas de chez lui. Le prévenu, toujours alcoolisé, descends et la situation dégénère. Il frappe le père du garçon et « gaze » toute la famille avec une bombe lacrymogène. Les quatre victimes se réfugient alors dans leur véhicule, ce qui n'arrête pas Salim B., qui continue de les asperger. « C'était pour me défendre », lance-t-il. A la suite de cette altercation, les quatre membres de la famille sont hospitalisés. Le garçon, lui, est « traumatisé ». Les jours suivants, le prévenu continue de les solliciter. Il explique notamment avoir toqué chez eux pour s'excuser. L'alcoolisme de Salim B. interroge mais le prévenu assure vouloir vaincre son addiction. « Je suis tombé dedans quand je me suis séparé de ma femme », explique-t-il, les larmes aux yeux. Il a été condamné à 21 mois de détention et est parti en prison à l'issue de son procès.