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Des manches blanches sur le maillot domicile de Saint-Étienne pour la saison 2025-2026

Des manches blanches sur le maillot domicile de Saint-Étienne pour la saison 2025-2026

L'Équipe8 hours ago
L'AS Saint-Étienne a dévoilé mercredi son maillot domicile pour la saison 2025-2026, conçu comme un hommage à la Cité du design et à l'histoire de la ville. Le club délaisse (un peu) le vert, sa couleur emblématique, avec des manches et un col blanc.
Il y a du vert, forcément, sur le nouveau maillot de l'AS Saint-Étienne, mais pas seulement. Le club a dévoilé mercredi son maillot domicile pour la saison 2025-2026, conçu « en hommage au territoire stéphanois ». Sur la tunique, une nouveauté saute aux yeux : les manches blanches, en référence aux « motifs architecturaux de la Platine, bâtiment emblématique de la Cité du design », d'après la communication officielle.
Cinq lignes de pictogrammes ornent par ailleurs l'avant et l'arrière du nouveau maillot et retracent l'histoire de la ville, « de la rubanerie, savoir-faire emblématique de Saint-Étienne, à la mine, pilier de l'histoire collective, en passant par les bâtiments de la Cité du design, installée sur le site de l'ancienne manufacture d'armes, les transports et les cycles, en lien avec l'histoire industrielle, et, bien évidemment, le club étoilé ».
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L'Équipe

time20 minutes ago

  • L'Équipe

« J'ai toujours perçu la France comme une force » : Sarina Wiegman, sélectionneuse de l'Angleterre, analyse le foot français

Début mai, la sélectionneuse de l'Angleterre a évoqué le choc très attendu face aux Bleues, mais aussi son rapport au foot hexagonal et à ses figures marquantes, de Wendie Renard à Didier Deschamps. S'il y a une personne qui s'est réjouie de la mise à l'écart de Wendie Renard des Bleues, c'est bien Sarina Wiegman. Début mai, on avait en effet interrogé en visio la sélectionneuse double championne d'Europe en titre (avec les Pays-Bas en 2017 et l'Angleterre 2022), dans le cadre d'un entretien réservé aux médias hexagonaux, à propos des principaux atouts de la France, en vue du choc programmé samedi à Zurich (21 heures). Et la Néerlandaise de 55 ans avait spontanément évoqué la Lyonnaise, avant que celle-ci ne soit donc écartée par Laurent Bonadei : « Ce que Wendie Renard a accompli comme joueuse, c'est tellement impressionnant, et ce qu'elle a fait comme leader aussi. Elle est plus qu'une joueuse de football. La manière dont elle représente son pays et son club, c'est sensationnel. » Au-delà de Renard, Wiegman ne tarissait pas d'éloges au sujet de ces Bleues qu'elle avait affrontées deux fois en qualifications, avec à la clé une défaite 1-2 à Newcastle (le 31 mai 2024) et un succès décroché sur le même score à Saint-Étienne, le 4 juin 2024 : « La France est très puissante, avec des joueuses athlétiques. Les deux rencontres que l'on a disputées face à elle se sont révélées très différentes. (...) J'avais adoré notre première mi-temps à Saint-Étienne, une des meilleures que l'Angleterre ait disputées depuis que je suis en poste (en janvier 2021). » Puis, on a sollicité l'ancienne milieu de terrain internationale (1987-2001) et sélectionneuse des Pays (2017-2021), à propos d'un affrontement face aux Françaises qui l'aurait particulièrement marquée. « C'était une rencontre que j'avais disputée dans votre pays (France - Pays-Bas 2-1 le 15 avril 2000, à Castanet-Tolosan), lors de laquelle je suis devenue la joueuse la plus capée des Pays-Bas (Wiegman a terminé sa carrière avec 99 sélections). Sandrine Soubeyrand avait joué ce match. À cette époque Sonia (Bompastor) évoluait aussi en équipe de France, je me rappelle très bien d'elle en tant que joueuse, car elle était très forte... Je lui en reparlé récemment, mais elle n'avait aucun souvenir de m'avoir affrontée. Bon ça va, je ne le prends pas mal (elle sourit). J'apprécie beaucoup son travail aujourd'hui en tant que coach (à Chelsea). » « La France favorite ? Oui. Avec les qualités dont dispose votre équipe, oui » Sarina Wiegman Au final, malgré le palmarès vierge des Françaises, Wiegman associe celles-ci à une menace constante : « Depuis que je fréquente le football international, j'ai toujours perçu la France comme une force, même si elle n'a pas toujours progressé jusqu'en demi-finales des grands tournois (une seule disputée depuis 2013). » Dès lors, considère-t-elle que la formation entraînée par Bonadei comme l'une des favorites pour remporter cet Euro ? « Oui. Avec les qualités dont dispose votre équipe, oui. » Un constat qui l'incite à anticiper que le match de samedi sera « totalement équilibré ». On se risque alors à comparer la situation actuelle de l'équipe de France à celle de l'Angleterre avant l'Euro 2022, à savoir une sélection qui n'avait alors jamais remporté de titre majeur et dont la victoire finale lors de cette compétition a permis de renforcer outre-Manche l'intérêt pour le foot féminin. Un scénario comparable serait-il envisageable dans l'Hexagone en cas de triomphe des Bleues en finale le 27 juillet ? À écouter la réponse prudente de notre interlocutrice, on subodore, en creux, qu'elle n'est pas convaincue par les structures actuelles du foot pro féminin français : « Il y a trois ans, l'Angleterre était prête à gagner. L'infrastructure était là. On sentait que si on gagnait, tout pouvait s'enclencher. Notre victoire a été un incroyable stimulant pour le football féminin (...) mais les clubs étaient déjà prêts. Le Championnat était déjà aussi d'un niveau très relevé ». En guise de conclusion, on suggère à Wiegman deux potentielles sources d'inspiration françaises pour la suite de sa carrière : serait-elle de tentée de faire « une Deschamps », en s'installant sur le long terme sur le banc d'une sélection à succès, ou de faire « une Corinne Diacre », en tentant sa chance dans le management masculin, comme l'avait cette dernière à Clermont (2014-2017) ? La seconde hypothèse ne la tente guère : « Cette idée m'a traversé l'esprit... parce que vous journalistes me la posez tout le temps ! (...) Mais est-ce qu'y songe sérieusement ? Non. » Quant à la perspective de rester quatorze ans sélectionneuse de l'Angleterre, pour égaler la longévité de « DD » à la tête des Bleus, elle refuse de l'envisager, en dépit de la prolongation l'an dernier de son contrat avec la fédération anglaise jusqu'en 2027 : « Faire une Deschamps ? (elle rit) Il a fait un travail formidable. Mais pour être honnête je n'ai jamais eu de plan de carrière. Et si j'en avais eu un, il n'aurait pas été dans le foot, car, quand j'étais jeune il n'y avait aucune opportunité pour une femme d'entraîner (...). Aujourd'hui le foot féminin change si vite que je me demande souvent à quoi il va ressembler dans 5 ou 10 ans... ». En attendant de se projeter aussi loin, Wiegman a minutieusement préparé ce match déjà crucial face aux Françaises. Une rencontre que la Néerlandaise aborde, au vu de son CV et de celui de son équipe, en position de force, même si elle n'a cessé, face à nous, de prétendre le contraire. À lire aussi Les Bleues ont lancé leur préparation en public A Liverpool, des larmes et de la sidération Jota, un footballeur de plus fauché en pleine gloire Le PSG lui aussi meurtri par le décès de Jota

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Réservé aux abonnés La marque, qui exploite plus de 800 clubs dans l'Hexagone, devient partenaire de la Grande Boucle. Une bonne façon de rappeler que les salles de sport sont loin d'être cantonnées aux métropoles ou aux grandes villes. Un nouveau partenaire fait ses premiers pas sur le Tour de France. Il s'agit de Basic-Fit, le spécialiste du fitness, qui exploite quelque 1600 clubs en Europe, dont plus de la moitié dans l'Hexagone. Jusqu'à présent, le groupe international, coté à Euronext Amsterdam, ne s'était jamais aventuré dans le cyclisme. Mais il possède déjà une expérience du sponsoring sportif : avant de contractualiser avec ASO (la société organisatrice du Tour), Basic-Fit a accompagné pendant quatre ans le judoka Teddy Riner, qui a enrichi son palmarès de deux médailles d'or lors des Jeux de Paris 2024. Quatre ans : c'est également la durée de cette association inaugurale entre l'enseigne et le Tour. Caravane publicitaire Les discussions entre les deux parties ont duré plusieurs mois avant que le partenariat ne soit officialisé. Fabien Rouget, business-manager et porte-parole chez Basic-Fit, en détaille le contenu: tout d'abord, quatre véhicules aux couleurs de la marque (orange et gris) font partie de la caravane publicitaire…

« On est sur les bons rails » : Rinderknech, des beaux jours sans fin sur le gazon de Wimbledon
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Vainqueur d'Alexander Zverev puis de Cristian Garin en quatre jours et dix sets, Arthur Rinderknech est au troisième tour de Wimbledon sans s'être arrêté un instant. Et il revient encore sur le pré ce vendredi face à Kamil Majchrzak, pour une place en huitièmes de finale. C'est un Grand Chelem qui va laisser de précieux et jolis souvenirs à Arthur Rinderknech, quoi qu'il se passe dans son tournoi maintenant. Il y a quatre mois encore, le Français s'emmêlait dans les cogitations. Le plaisir de jouer l'avait un peu fui. À 29 ans, après une arrivée tardive sur le circuit, le Varois était en panne d'épanouissement, d'émotions rudes, d'instants vibrants. À Wimbledon, depuis quatre jours, la mélodie a sacrément changé et le 72e mondial s'offre une belle tranche de vie sur le plus beau gazon du monde. Après une entrée fracassante sur le Centre Court face au numéro 3 mondial allemand, Alexander Zverev, le Français a fini par plier en deux temps le Chilien Cristian Garin, quart-finaliste au All England en 2022. Dans un schéma identique, des victoires en deux temps et cinq manches, comme s'il fallait étirer le plaisir, se blottir dans les beaux jours sans fin. Rinderknech est au troisième tour d'un Grand Chelem pour la deuxième fois de sa vie, après un 16e de finale perdant à l'US Open 2023. Et pour le cinquième jour de suite à Wimbledon, une rareté en Grand Chelem, il trace vendredi encore son chemin face au Polonais Kamil Majchrzak, de retour à la lumière après treize mois de suspension pour dopage en juin 2023. La vie est belle pour Rinderknech, porté par un souffle nouveau et convaincu par son nouvel homme de coin, Lucas Pouille, que les délices et le salut sont dans le grand galop, le jeu vers l'avant, l'agressivité. « Encore plus sur une surface comme le gazon, qui est très lent vu de l'extérieur, mais où les passings restent toujours durs à tirer. Quand on a une qualité de balle comme la sienne, une balle qui va vite dans l'air, avec un rebond délicat à contrôler, s'il se met vers l'avant, c'est encore plus dur pour les adversaires. Les joueurs qui sont très bons sur gazon sont malgré tout ceux qui sont agressifs et vont vers l'avant », notait jeudi Pouille, à la sortie de la deuxième partie de match de son élève, dont il avait apprécié l'entame de cinquième set, parfaitement dans le tempo et le style prônés. « Quand on gagne, on récupère mieux » Arthur Rinderknech N'empêche, tout cela est certes bien bon, mais c'est en apnée ou presque ! Jusqu'ici, peu d'instants pour se poser, se projeter, savourer. Depuis le début du tournoi, Rinderknech et son clan sont dans le tambour. « Les quatre derniers jours, on a été au club de 9 heures à 23 heures, j'avoue que j'ai pas eu beaucoup de temps pour faire autre chose. Aujourd'hui, toute l'énergie est sur Arthur », convenait Pouille, qui a même dû freiner son travail personnel de rééducation pour un retour au jeu prévu en février prochain. Dans ce contexte, son joueur, lui, fait « all in » sur la récupération. « Ce n'est pas facile, il faut le gérer. Je suis bien entouré, j'ai de la chance, j'ai mon physio, Olivier Choupeau, qui est mon référent sur l'année, avec moi ici. On fait le maximum, on le fait bien », assure le Français, qui peut aussi compter, si besoin, sur les installations de la maison FFT, posée au bord du stade et bien utile. « Il y a le doc, Vincent (Guillard) qui est là. Pour d'éventuels petits compléments, avis, check », note Rinderknech. Le nez dans le gazon, le Français n'en était donc pas jeudi à voir plus loin que le bout d'un premier soir enfin paisible. « Déjà je vais avoir la soirée pour récupérer mes deux jambes et mes deux bras, après je regarderai demain (vendredi) après-midi mon adversaire en face. Mentalement, je puise aussi pour gagner deux fois en cinq sets, mais quand on gagne, on récupère mieux », avisait Rinderknech, qui sait forcément que sa partie de tableau est ajourée et que le rêve peut se glisser. Il n'est désormais plus qu'à un match d'une deuxième semaine en Grand Chelem. Si Lucas Pouille récuse poliment l'idée de l'avoir transformé en quatre semaines, ces quatre premiers jours londoniens valident déjà une collaboration réussie. « Ça prouve qu'on est sur les bons rails avec Lucas, c'est cool. Il n'y a pas de limite à avoir », envisageait simplement le Français, au milieu des beaux jours sans fin. À lire aussi Zverev, une passivité chronique et coupable On a visité le camp de base des Bleus à deux pas des courts Raducanu plus forte que la pression Pourquoi le slice de revers est-il aussi efficace sur gazon ?

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