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La sélection du Figaro Live : les vidéos qu'il ne fallait pas rater ce mercredi 6 août

La sélection du Figaro Live : les vidéos qu'il ne fallait pas rater ce mercredi 6 août

Le Figaroa day ago
Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l'actualité ainsi que ses émissions quotidiennes, et ceci, en quelques clics seulement.
ACTUALITÉ EN VIDÉOS
Aude: les images impressionnantes de l'incendie meurtrier qui ravage le massif des Corbières
Dans l'Aude, le gigantesque incendie a parcouru 16 000 hectares et continue de progresser. Le dispositif mis en place est colossal : 1900 pompiers et 500 véhicules sont mobilisés.
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Le Figaro
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Inde: les images impressionnantes d'un torrent d'eau boueuse qui emporte des immeubles d'habitation
L'armée indienne recherche mercredi 6 juillet une centaine de personnes portées disparues au lendemain d'une crue subite meurtrière qui a touché une localité de l'Himalaya. Au moins quatre personnes ont été tuées après que des eaux boueuses mélangées à des débris ont envahi la vallée de la localité de Dharali, dans l'Etat septentrional d'Uttarakhand.
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Le Figaro
Japon: la commémoration des 80 ans du bombardement d'Hiroshima
80 ans après l'attaque nucléaire menée par les États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale à Hiroshima, le Japon a rendu hommage aux victimes ce mercredi 6 août. «Nous ne devons jamais répéter la dévastation qui s'est abattue sur Hiroshima et Nagasaki», a déclaré Shigeru Ishiba, le premier ministre japonais.
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Incendie dans l'Aude : comment les vignes arrêtent les flammes
Incendie dans l'Aude : comment les vignes arrêtent les flammes

Le Parisien

time8 minutes ago

  • Le Parisien

Incendie dans l'Aude : comment les vignes arrêtent les flammes

C'est un petit îlot vert au milieu d'un paysage entièrement noirci, calciné par le puissant incendie qui ravage l'Aude depuis mardi soir. Ces quelques arpents de vignes désherbés, dont les pieds bien espacés ne se touchent pas, sont les seuls espaces de végétation à avoir résisté aux flammes. « Ce sont des pare-feu naturels, observe Anaël Payrou, directeur de la coopérative du Cellier des demoiselles, à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse. Les pouvoirs publics devraient se dire que, grâce à nos exploitations, la vigne peut sauver les gens… »

Pas d'acétamipride, rôle de l'Anses, élevage intensif... ce qu'il faut retenir des points clés de la loi Duplomb
Pas d'acétamipride, rôle de l'Anses, élevage intensif... ce qu'il faut retenir des points clés de la loi Duplomb

Le Figaro

time8 minutes ago

  • Le Figaro

Pas d'acétamipride, rôle de l'Anses, élevage intensif... ce qu'il faut retenir des points clés de la loi Duplomb

Le Conseil constitutionnel a censuré notamment la mesure visant à réintroduire sous conditions l'acétamipride, un pesticide interdit, l'estimant contraire à la Charte de l'environnement, mais a validé d'autres dispositions-clé de ce texte. La nouvelle est tombée ce jeudi en fin de journée. Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi la mesure phare de la loi Duplomb qui visait à réintroduire un pesticide interdit de la famille des néonicotinoïdes mais a déclaré conformes les autres dispositions clé sur les ouvrages de stockage de l'eau et les bâtiments d'élevage. Pas de réintroduction de l'acétamipride La mesure la plus décriée par les défenseurs de l'environnement mais aussi de nombreux scientifiques et médecins était la réintroduction encadrée et à titre dérogatoire de cet insecticide de la famille des néonicotinoïdes, interdit depuis 2018 mais autorisé en Europe jusqu'en 2033. Elle était réclamée par la FNSEA et la Coordination rurale (2e syndicat), notamment pour les producteurs de betteraves sucrières qui affirment n'avoir aucune solution pour protéger efficacement leurs cultures. Les producteurs redoutent la concurrence d'importations de sucre produit avec des pesticides interdits en France. Publicité Le texte adopté au Parlement prévoyait (article 2) une réintroduction «pour faire face à une menace grave compromettant la production agricole», sans limite dans le temps ni de restriction sur les produits concernés, mais avec une clause de revoyure «à l'issue d'une période de trois ans, puis chaque année». Les Sages ont estimé que «faute d'encadrement suffisant» sur la durée, le type ou la technique de traitement et sur les filières concernées, cette mesure était contraire à la Charte de l'environnement. Cette dernière a valeur constitutionnelle et affirme notamment «le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé» ainsi que le «devoir de prendre part à la préservation et à l'amélioration de l'environnement». Ils ont en revanche déclaré conforme l'article 1 qui acte la fin de la séparation entre la vente de produits phytosanitaires et le conseil quant à leur utilisation dispensée par les distributeurs aux agriculteurs. À lire aussi Loi Duplomb : ce que dit l'UE sur l'acétamipride, interdit en France mais toujours autorisé par Bruxelles Le rôle de l'Anses Le texte prévoyait initialement la possibilité pour le gouvernement d'imposer des «priorités» dans les travaux de l'agence sanitaire, mandatée depuis 2015 pour évaluer la dangerosité des pesticides, mais aussi autoriser leur mise sur le marché. Élus de gauche comme scientifiques avaient dénoncé une atteinte à l'indépendance de l'Anses. Les parlementaires ont trouvé un compromis en évacuant largement les dispositions les plus irritantes du texte final. Ce dernier précise (article 2) que l'Agence, lorsqu'elle examine la mise sur le marché et l'utilisation de produits phytopharmaceutiques, devra tenir compte «des circonstances agronomiques, phytosanitaires, et environnementales, y compris climatiques qui prévalent sur le territoire national». Le Conseil constitutionnel n'avait pas été saisi sur ce point. Un autre article (article 6) stipule que les agents de l'Office français de la biodiversité (OFB), chargé de la police de l'environnement, sont à présent équipés de «caméras individuelles» et peuvent procéder à «un enregistrement audiovisuel de leurs interventions». Celui-ci a été adopté «selon une procédure conforme à la Constitution», indique le Conseil constitutionnel. Publicité Irrigation et stockage Le texte initial visait à faciliter le stockage de l'eau pour l'irrigation des cultures, dans un contexte de raréfaction liée au dérèglement climatique. Si tous les agriculteurs sont d'accord pour dire qu'il n'y a pas d'agriculture possible sans eau, ils sont divisés sur les réserves, leur taille et leurs usages. Des associations ont mis en garde contre «l'implantation de méga-bassines», ces immenses réserves constituées en puisant dans la nappe phréatique ou les cours d'eau, «qui accaparent» les ressources en eau «au profit de l'agriculture intensive». L'article 5 prévoit une présomption d'«intérêt général majeur» pour les ouvrages de stockage, dans l'intention de faciliter les procédures pour obtenir des autorisations de construction. Le Conseil constitutionnel a validé cet article émettant deux réserves: les mesures en découlant ne doivent pas permettre de prélèvement dans des nappes inertielles - qui se vident ou se remplissent lentement - et devront pouvoir être contestées devant un juge. Élevage intensif Le texte (article 3) facilitant l'agrandissement ou la création de bâtiments d'élevage intensif a été déclaré conforme par les Sages. Il permet notamment, lors de l'enquête publique, de remplacer la réunion publique par une permanence en mairie. À partir de certains seuils, les élevages sont considérés comme des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) et doivent être enregistrés ou obtenir une autorisation pour les plus grands cheptels. Ces seuils étaient alignés sur la directive européenne relative aux émissions industrielles. À la demande de la FNSEA, le texte les aligne sur une autre directive, plus permissive, mais seulement à partir de fin 2026. Un poulailler ne devra demander une autorisation qu'à partir de 85.000 poulets contre 40.000. Pour une porcherie, le seuil passera de 2000 à 3000 cochons.

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