
La Bourse de Toronto avance, les marchés américains reculent
(Toronto) La Bourse de Toronto avançait mardi, en fin de matinée, soutenue par la vigueur des secteurs des métaux de base et des technologies de l'information, pendant que les grands indices américains reculaient.
La Presse Canadienne
L'indice composé S&P/TSX du parquet torontois grimpait de 426,23 points à 27 446,66 points.
À New York, la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles retraitait de 142,46 points à 44 031,18 points, tandis que l'indice élargi S&P 500 déclinait de 27,46 points à 6302,60 points. L'indice composé du NASDAQ se dépréciait pour sa part de 85,98 points à 20 967,61 points.
Sur le marché des devises, le dollar canadien se négociait à 72,52 cents US, en baisse par rapport à son cours moyen de 72,53 cents US de vendredi.
À la Bourse des matières premières de New York, le cours du pétrole brut, pour livraison en septembre, laissait 80 cents US à 65,49 $ US le baril.
Le prix de l'or, pour livraison en décembre, gagnait 15,80 $ US à 3442,20 $ US l'once.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


La Presse
26 minutes ago
- La Presse
Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet En pleine période propice aux déménagements, les ventes résidentielles ont continué de progresser dans la région métropolitaine de Montréal par rapport à la même période l'an dernier. La Presse Canadienne L'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a indiqué que 3731 résidences ont changé de propriétaires dans la région en juillet. Il s'agit d'une hausse de 10 % par rapport à juillet 2024, en plus d'être l'activité transactionnelle la plus élevée depuis l'effervescence de la pandémie en 2021. « Malgré le contexte économique empreint d'incertitude, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif », a noté Hélène Bégin, économiste experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Le marché montréalais s'est par ailleurs distingué favorablement de ceux de Vancouver et de Toronto, « dont les ventes et les prix ont fléchi au début du printemps en raison des perturbations liées à la première vague de tarifs douaniers américains », a constaté Mme Bégin. Les plex ont été particulièrement prisés par les acheteurs en juillet, puisque leurs ventes ont augmenté de 31 % par rapport à la même période l'année précédente, passant de 313 à 410. Ce sont également 1935 unifamiliales qui ont été vendues dans la région métropolitaine le mois dernier, ce qui représente un bond de 11 %, tandis que 1385 copropriétés ont changé de mains, soit une hausse de 3 %. Le prix médian des logements dans la région de Montréal n'a pas non plus fléchi, même si l'APCIQ a remarqué un petit essoufflement par rapport à juillet 2024. « La croissance du prix médian d'une maison unifamiliale de 7 % en juillet s'éloigne graduellement du rythme de 10 % observé au début de 2025 », a précisé Mme Bégin. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). L'APCIQ a aussi souligné que le contexte de surenchère demeure bien présent dans la région métropolitaine de Montréal, même s'il est encore loin d'être généralisé. Pour qu'une vente soit considérée comme une surenchère, il faut qu'elle ait été conclue après que plusieurs promesses d'achat ont été déposées pour la même propriété dans une courte période et que le prix final soit d'au moins 5 % plus élevé que le prix affiché lors de la mise en vente. Ainsi, en juillet, 11 % des vendeurs ont réussi à obtenir un prix supérieur d'au moins 5 % à celui affiché au départ lors de la mise en vente. Quelque 5148 nouvelles inscriptions ont été recensées dans la région le mois dernier, soit une hausse de 9 % par rapport à l'année précédente. Les inscriptions actives ont progressé de 2 % pour atteindre 17 395.


La Presse
26 minutes ago
- La Presse
Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet à Montréal
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet à Montréal En pleine période propice aux déménagements, les ventes résidentielles ont continué de progresser dans la région métropolitaine de Montréal par rapport à la même période l'an dernier. La Presse Canadienne L'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a indiqué que 3731 résidences ont changé de propriétaires dans la région en juillet. Il s'agit d'une hausse de 10 % par rapport à juillet 2024, en plus d'être l'activité transactionnelle la plus élevée depuis l'effervescence de la pandémie en 2021. « Malgré le contexte économique empreint d'incertitude, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif », a noté Hélène Bégin, économiste experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Le marché montréalais s'est par ailleurs distingué favorablement de ceux de Vancouver et de Toronto, « dont les ventes et les prix ont fléchi au début du printemps en raison des perturbations liées à la première vague de tarifs douaniers américains », a constaté Mme Bégin. Les plex ont été particulièrement prisés par les acheteurs en juillet, puisque leurs ventes ont augmenté de 31 % par rapport à la même période l'année précédente, passant de 313 à 410. Ce sont également 1935 unifamiliales qui ont été vendues dans la région métropolitaine le mois dernier, ce qui représente un bond de 11 %, tandis que 1385 copropriétés ont changé de mains, soit une hausse de 3 %. Le prix médian des logements dans la région de Montréal n'a pas non plus fléchi, même si l'APCIQ a remarqué un petit essoufflement par rapport à juillet 2024. « La croissance du prix médian d'une maison unifamiliale de 7 % en juillet s'éloigne graduellement du rythme de 10 % observé au début de 2025 », a précisé Mme Bégin. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). L'APCIQ a aussi souligné que le contexte de surenchère demeure bien présent dans la région métropolitaine de Montréal, même s'il est encore loin d'être généralisé. Pour qu'une vente soit considérée comme une surenchère, il faut qu'elle ait été conclue après que plusieurs promesses d'achat ont été déposées pour la même propriété dans une courte période et que le prix final soit d'au moins 5 % plus élevé que le prix affiché lors de la mise en vente. Ainsi, en juillet, 11 % des vendeurs ont réussi à obtenir un prix supérieur d'au moins 5 % à celui affiché au départ lors de la mise en vente. Quelque 5148 nouvelles inscriptions ont été recensées dans la région le mois dernier, soit une hausse de 9 % par rapport à l'année précédente. Les inscriptions actives ont progressé de 2 % pour atteindre 17 395.


La Presse
an hour ago
- La Presse
Wall Street ouvre en hausse malgré les droits de douane
Vers 10 h (heure de l'Est), le Dow Jones gagnait 0,43 %, l'indice NASDAQ 1,07 % et l'indice élargi S&P 500 prenait 0,64 %. (Washington) La Bourse de New York a ouvert en hausse jeudi, les investisseurs faisant abstraction de l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane américains ciblant des partenaires majeurs. Agence France-Presse Vers 10 h (heure de l'Est), le Dow Jones gagnait 0,43 %, l'indice NASDAQ 1,07 % et l'indice élargi S&P 500 prenait 0,64 %. « Les nouveaux droits de douane prennent effet aujourd'hui, mais le marché les ignore depuis un certain temps déjà », rappelle auprès de l'AFP Steve Sosnick, d'Interactive Brokers. Ces surtaxes, mises en application depuis 0 h 01 (heure de l'Est), une semaine après la signature du décret par le président américain, viennent remplacer, pour les économies concernées, celle de 10 % appliquée depuis avril sur la plupart des produits entrant aux États-Unis. Leur taux se situe dans une large fourchette, comprise entre 15 % et 41 %. Les investisseurs sont optimistes, estimant que « les négociations ultérieures devraient aboutir à des taux de droits de douane moins élevés », relève Patrick O'Hare, de Ces derniers temps à Wall Street, « l'état d'esprit consiste à donner une tournure positive à toute nouvelle », souligne Steve Sosnick. Dernier exemple en date : le président américain Donald Trump a annoncé mercredi qu'il comptait imposer 100 % de droits de douane sur les « puces et semiconducteurs ». Cela semble « certes terrible à première vue » pour un secteur dont les ventes s'envolent à des niveaux records avec l'essor de l'intelligence artificielle (IA), note Steve Sosnick. « Mais il existe tellement d'exemptions […] qui donnent l'impression que ce n'est finalement pas une mauvaise nouvelle », poursuit l'analyste. « C'est une bonne nouvelle pour les entreprises qui produisent aux États-Unis. Si vous vous êtes engagé à fabriquer ici (les composants électroniques) ou si vous êtes en train de le faire, vous ne paierez rien », a déclaré mercredi Donald Trump depuis la Maison-Blanche. Dans ce contexte, le secteur évoluait dans le vert : le géant taïwanais des puces TSMC bondissait de 6,82 %, Texas Instrument prenait 1,15 %, le mastondonte Nvidia avançait de 2,20 %, Advanced Micro Devices (AMD) gagnait 4,68 %. Intel chahuté Côté indicateurs, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté à 226 000, au-delà des attentes des analystes qui tablaient sur 221 000 demandes. Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'État américains à dix ans était pratiquement stable par rapport à la veille, à 4,22 %. Du côté des entreprises, le fabricant de microprocesseurs Intel était boudé (-2,29 % à 19,94 dollars) après un appel à la démission de son patron lancé par Donald Trump. « Le directeur général d'Intel fait face à un grave conflit d'intérêts et doit démissionner immédiatement. Il n'y a pas d'autre solution à ce problème », a fustigé jeudi le président américain sur sa plateforme Truth Social, alors que Lip-Bu Tan a pris la tête d'Intel mi-mars. Le laboratoire américain Eli Lilly (-14,21 % à 640,31 dollars) plongeait malgré la publication de résultats meilleurs qu'anticipé au deuxième trimestre et d'un relèvement de ses prévisions pour l'année complète. Il a aussi annoncé de nouveaux résultats pour sa pilule expérimentale anti-obésité, qui a permis à des patients de perdre environ 12 % de leur poids en 72 semaines lors d'un essai clinique. L'application d'apprentissage des langues Duolingo (+31,63 % à 452,28 dollars) s'envolait à l'annonce d'une revue à la hausse de ses prévisions pour l'exercice fiscal annuel, portée par l'utilisation de plus en plus importante des outils liés à l'IA.