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Donald Trump va participer au sommet de l'Asean en octobre

Donald Trump va participer au sommet de l'Asean en octobre

Le Figaro31-07-2025
Le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé sa participation au sommet de l'Asean, prévu au mois d'octobre prochain.
Le président américain Donald Trump a «confirmé» qu'il participerait à un sommet de l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean) en octobre, a déclaré jeudi 31 juillet le premier ministre malaisien Anwar Ibrahim.
«J'ai eu l'occasion de m'entretenir avec le président des États-Unis, Donald Trump. Il a confirmé sa participation au 47e sommet de l'Asean en octobre», a déclaré le premier ministre devant les députés malaisiens, ajoutant qu'un accord sur des droits de douane à 25% avec les États-Unis serait annoncé vendredi.
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Trump et Poutine vont se rencontrer en Alaska le 15 août prochain, une première depuis le début de la guerre en Ukraine

GUERRE EN UKRAINE - Rendez-vous au sommet. Donald Trump rencontrera Vladimir Poutine le 15 août dans l'État américain de l'Alaska, a-t-il annoncé vendredi sur son réseau Truth Social, un sommet destiné à discuter d'un règlement de la guerre en Ukraine qui comprendra, selon le président américain, des concessions territoriales. Donald Trump, qui a promis à maintes reprises de mettre fin à ce conflit, a plusieurs fois parlé au téléphone avec son homologue russe ces derniers mois, mais ne l'a pas encore revu en personne depuis son retour à la Maison Blanche le 20 janvier. Plutôt qu'en terrain neutre, la rencontre aura lieu dans le vaste et sauvage État de l'Alaska, dans l'extrême nord-ouest du continent américain, près de la Russie, un territoire que cette dernière avait cédé à l'Amérique à la fin du XIXe siècle. Confirmant l'entrevue, le conseiller diplomatique du Kremlin Iouri Ouchakov a qualifié ce choix d' « assez logique » et a déclaré que les deux présidents « se focaliseront sans aucun doute sur une discussion autour des options pour parvenir à un règlement pacifique à long terme de la crise ukrainienne ». Un grand absent Après le sommet en Alaska, Moscou « cherchera naturellement à organiser la prochaine réunion entre les présidents en territoire russe » et « une » invitation en ce sens a déjà été envoyée au président américain « , a précisé Iouri Ouchakov. Ce tête-à-tête sera le premier entre les deux dirigeants depuis juin 2019 au Japon, un an après un sommet à Helsinki où Donald Trump avait eu un ton résolument conciliant avec l'homme fort du Kremlin. Vladimir Poutine n'a plus foulé le sol américain depuis 2015, sous la présidence de Barack Obama. Cette rencontre très attendue se déroulera donc sans le président ukrainien Volodymyr Zelensky qui ne cesse pourtant d'exiger d'avoir voix au chapitre. Le président américain, interrogé plus tôt vendredi pour savoir si l'Ukraine devra faire des concessions territoriales, a répondu qu' « il y aurait des échanges de territoires au bénéfice de chacun », sans donner de détail. « On parle d'un territoire sur lequel les combats font rage depuis plus de trois ans et demi (...) c'est compliqué, c'est vraiment pas facile, mais nous allons en récupérer une partie », a-t-il ajouté à la Maison Blanche aux côtés des dirigeants azerbaïdjanais et arménien, qui venaient de signer un accord de paix. Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes de son territoire et des garanties de sécurité occidentales, dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie. Positions irréconciliables Ces développements surviennent alors que le président américain avait lancé un ultimatum à la Russie la semaine dernière, qui a expiré vendredi, pour faire avancer les négociations avec Kiev, sous peine de nouvelles sanctions américaines. Un ultimatum que le locataire de la Maison Blanche n'évoque plus désormais. L'offensive russe à grande échelle contre l'Ukraine, déclenchée en février 2022, a fait a minima des dizaines de milliers de morts dans les deux pays et causé d'immenses destructions. Après plus de trois ans de combats, les positions ukrainienne et russe sont toujours irréconciliables. La Russie est accusée de bloquer les pourparlers en maintenant des demandes maximalistes, à un moment où ses forces ont l'avantage sur le front et continuent d'y gagner du terrain. Le dernier cycle de négociations directes entre les deux belligérants à Istanbul en juillet n'avait débouché que sur un nouvel échange de prisonniers et de dépouilles de soldats. Pour tenter de faire avancer les choses, l'émissaire américain Steve Witkoff a été reçu cette semaine au Kremlin par Vladimir Poutine, ce qui a permis une accélération au plan diplomatique marquée par l'annonce jeudi par Moscou d'un « accord de principe » pour un prochain sommet entre les dirigeants américain et russe. Après un rapprochement spectaculaire en début d'année avec Vladimir Poutine, Donald Trump s'est dit récemment à plusieurs reprises « très déçu » par son homologue russe du fait de l'absence d'avancées dans les négociations entre Kiev et Moscou. Sur le terrain, l'armée russe poursuit ses attaques aériennes meurtrières sur l'Ukraine et ses assauts sur le front, où ses soldats sont plus nombreux et mieux équipés. L'Ukraine demande, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes.

Nagasaki: une cloche restaurée sonne pour commémorer les 80 ans de la bombe atomique
Nagasaki: une cloche restaurée sonne pour commémorer les 80 ans de la bombe atomique

Le Figaro

time2 hours ago

  • Le Figaro

Nagasaki: une cloche restaurée sonne pour commémorer les 80 ans de la bombe atomique

Une minute de silence a été respectée samedi 9 août à Nagasaki à l'heure de l'explosion atomique qui a frappé la ville japonaise il y a 80 ans, tandis que la cloche restaurée d'une église retentissait pour la première fois depuis la frappe. Le 9 août 1945 à 11h02, trois jours après Hiroshima, Nagasaki subissait à son tour l'horreur d'une bombe nucléaire. Quelque 74.000 personnes ont trouvé la mort dans cette ville portuaire du sud-ouest du pays, s'ajoutant aux 140.000 victimes d'Hiroshima. «80 ans se sont écoulés, et qui aurait pu imaginer que le monde deviendrait ainsi? Veuillez arrêter immédiatement les conflits armés!» a exhorté le maire de la ville, Shiro Suzuki lors de la cérémonie devant un parterre de représentants de plus de 100 pays. «Les affrontements s'intensifient à divers endroits en raison d'un cercle vicieux de confrontation et de division. Une crise susceptible de menacer la survie de l'humanité, comme une guerre nucléaire, plane sur chacun d'entre nous vivant sur cette planète», a ajouté l'édile alors que les fortes averses de la matinée se sont arrêtées juste avant la minute de silence. Publicité Cette participation internationale nombreuse - un record - est notamment marquée par la présence de la Russie, qui n'avait plus été conviée depuis son invasion de l'Ukraine en 2022. Israël, dont l'ambassadeur n'avait pas non plus été invité l'an dernier en protestation contre le conflit à Gaza – provoquant le boycott de la cérémonie par les ambassadeurs des autres pays du G7 - était présent. «Comme si c'était hier» Cette explosion «semble une époque très ancienne, mais pour les personnes qui l'ont vécue, cela doit être comme si c'était hier. Nous devrions nous souvenir que ce sont des événements réels», a témoigné Atsuko Higuchi, une habitante de Nagasaki de 50 ans, présente près du Parc de la Paix. Symbole de cette commémoration, la cloche d'une cathédrale détruite par l'explosion atomique et restaurée au printemps de cette année par des chrétiens américains a retenti pour la première fois depuis 80 ans. L'imposante cathédrale de briques rouges de l'Immaculée-Conception, qui flanquée de ses deux clochers, se dresse au sommet d'une colline de la ville. Elle a été rebâtie en 1959 après que le bâtiment d'origine a été soufflé par l'explosion de la bombe atomique à quelques centaines de mètres de là. Seule une de ses deux cloches avait été retrouvée dans les décombres. Pour le prêtre principal de la cathédrale, Kenichi Yamamura, cette restauration «montre la grandeur de l'être humain, la preuve que des personnes appartenant au camp qui en a blessé un autre peuvent un jour vouloir se racheter.» «Il ne s'agit pas d'oublier les blessures du passé, mais de les reconnaître et d'agir pour réparer, pour reconstruire, et ainsi, pour œuvrer ensemble à la paix», explique Kenichi Yamamura à l'AFP. «Il ne faut pas répondre à la violence par la violence» L'évêque y voit aussi un message au monde entier, secoué par de multiples conflits et lancé dans une folle course à l'armement. «Il ne faut pas répondre à la violence par la violence, mais plutôt montrer par notre façon de vivre, de prier, à quel point il est insensé d'ôter la vie d'autrui», estime-t-il. Les bombardements d'Hiroshima et Nagasaki ont porté le coup de grâce au Japon, qui a capitulé le 15 août 1945, mettant fin à la Seconde Guerre mondiale. Mais les historiens continuent de débattre pour savoir si ces bombardements ont réellement permis d'épargner davantage de vies en précipitant la fin du conflit, face au calvaire des «hibakusha» (les survivants de la bombe), victimes de discrimination et exposés pour le restant de leur vie à un risque accru de développer certains cancers.

L'administration Trump réclame 1 milliard de dollars à l'Université de Californie
L'administration Trump réclame 1 milliard de dollars à l'Université de Californie

Le Figaro

time6 hours ago

  • Le Figaro

L'administration Trump réclame 1 milliard de dollars à l'Université de Californie

L'université publique de Californie a annoncé vendredi 8 août que le gouvernement américain lui réclamait une amende monstre d'un milliard de dollars pour les manifestations propalestiniennes de 2024, nouvelle offensive de l'administration de Donald Trump contre l'enseignement supérieur. Le montant représente cinq fois ce que l'université privée new-yorkaise Columbia a consenti à payer fin juillet, plus de 200 millions de dollars, pour régler un différend sur des accusations d'antisémitisme qui aurait proliféré sur son campus lors du mouvement du printemps 2024 contre la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza. «En tant qu'université publique, nous sommes dépendants des ressources du contribuable et un paiement de cette ampleur détruirait complètement le meilleur système universitaire public du pays et ferait un mal immense à nos étudiants et à tous les Californiens», a déclaré à la presse le président de l'université de Californie (UC) James Milliken. D'après ce responsable qui chapeaute dix campus, dont le plus important à Los Angeles (UCLA), siège des manifestations de l'an dernier et dans le collimateur de l'administration Trump, l'université a reçu vendredi la demande du gouvernement fédéral. James Milliken a invoqué le «travail crucial que réalisent UCLA et le réseau UC en matière de recherches technologique et médicale, afin de sauver des vies, faire croître l'économie américaine et préserver la sécurité nationale.» Publicité Des étudiants juifs «discriminés et intimidés» D'après des médias en Californie, le gouvernement Trump exigerait également que l'université verse 172 millions de dollars à ses étudiants juifs qui se seraient sentis discriminés et intimidés lors du mouvement des campus il y a 15 mois. Le réseau UC, situé dans l'État le plus peuplé et le plus riche du pays, est considéré comme le meilleur système d'enseignement supérieur public des États-Unis, où les prestigieuses universités privées pratiquent des frais prohibitifs. Depuis son retour au pouvoir le 20 janvier, le président Trump, allié indéfectible d'Israël, ne cesse d'accentuer les pressions sur les universités en gelant, dans le cas de Columbia, des centaines de millions de dollars de subventions versées par l'État fédéral pour la recherche. Columbia a scellé fin juillet un accord financier à 221 millions de dollars avec le gouvernement américain pour mettre fin à des mois de conflit, mais des experts ont dénoncé un «précédent dévastateur» dans cette offensive «autoritaire» menée contre l'enseignement supérieur aux États-Unis. Le New York Times rapportait aussi la semaine dernière qu'un accord à 500 millions de dollars serait en préparation entre l'administration Trump et la plus ancienne université du pays, Harvard.

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