logo
3 Stratégies pour trouver facilement des billets pour Paléo Festival à la dernière minute

3 Stratégies pour trouver facilement des billets pour Paléo Festival à la dernière minute

24 Heures23-07-2025
Accueil | Culture | Festivals |
Vous avez manqué la vente générale en mars? Voici trois stratégies pour rejoindre la plaine de l'Asse cette semaine. Publié aujourd'hui à 11h32
Voici trois moyens de vous procurer un ticket pour aller profiter de l'open air nyonnais.
Keystone
Ça y est, le Paléo Festival est lancé. On vous a sûrement déjà posé la question: tu y vas quel soir, toi? Mais peut-être que vous n'avez pas réussi à affronter la file d'attente lors de la mise en vente des billets et que vous n'avez pas obtenu votre précieux sésame… Pas de panique, on vous donne trois moyens de vous procurer un ticket pour aller profiter de l'open air nyonnais. Les billets last-minute
Chaque matin, le festival propose 1500 billets pour le soir même sur son site internet . Pour mettre le plus de chances de votre côté, connectez-vous dès 9 h 45 afin d'être placé dans la file d'attente virtuelle. Les ventes commencent ensuite à 10 h.
Le prix des billets last-minute est tout de même plus élevé que lors de la vente générale, le 26 mars dernier. En effet, dès le 2 avril, les soirées du mardi, vendredi et samedi sont passées de 85 à 94 fr. Pour celles du mercredi et du dimanche, le billet grimpe de 94 à 104 francs, annonce le festival sur son site internet. La bourse aux billets
Vous avez raté la vente last-minute ou vous souhaitez obtenir un ticket pour une autre soirée que celle du jour même? C'est possible! Paléo a mis en place une plateforme de revente. Celle-ci permet de revendre et d'acheter des tickets en toute sécurité.
Des billets «y sont régulièrement remis en vente en fonction des retours», explique le festival. Peut-être que le soir que vous visez n'est pas disponible dans l'immédiat, mais il pourrait l'être quelques heures ou jours plus tard. Le nombre de tickets est limité par deux par commande. Pour les prix, ils sont les mêmes que lors des ventes last-minute. Les réseaux sociaux
Vous avez essayé toutes les possibilités officielles, mais vous n'avez pas trouvé votre bonheur? Pas de panique, il reste encore une possibilité: les réseaux sociaux. Sur Instagram, vous avez certainement vu des «stories» de vos proches qui cherchent à acheter ou à vendre des entrées.
Sous les commentaires des publications des comptes Instagram et Facebook officiels du Paléo Festival, des offres pullulent également. Faites preuve de prudence: si certaines personnes sont bien intentionnées, les arnaques sont aussi fréquentes. Pensez à bien vérifier les comptes des utilisateurs qui proposent des tickets, ne cédez pas à des offres trop alléchantes et privilégiez les rencontres en personne.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
Nos derniers articles sur le Paléo Festival
Laure Schmidt est journaliste stagiaire au sein de la rubrique Suisse-Monde-Economie de la rédaction Tamedia depuis septembre 2023. Elle a étudié les sciences sociales et la psychologie à l'Université de Lausanne. Plus d'infos
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Édith Fischer, 90 ans, jouera en ouverture de la Semaine de piano à St-Légier
Édith Fischer, 90 ans, jouera en ouverture de la Semaine de piano à St-Légier

24 Heures

timean hour ago

  • 24 Heures

Édith Fischer, 90 ans, jouera en ouverture de la Semaine de piano à St-Légier

La pianiste chilienne ouvre le 9 août la 36e édition de la Semaine internationale de piano et de musique de chambre à Saint-Légier. Propos d'une artiste toujours pétillante. Publié aujourd'hui à 09h29 Edith Fischer, pianiste née au Chili en 1935, continue de jouer en Europe et en Amérique tout en donnant des masterclasses. Semaine internationale de piano En bref: À 90 ans, Edith Fischer n'a aucune intention de fermer le couvercle de son piano. Sauf les quelques minutes prises pour répondre à nos questions qui ont interrompu sa répétition. En ouverture ce samedi 9 août de la Semaine internationale de piano et de musique de chambre fondée en 1990 avec son mari, Jorge Pepi-Alos, elle interprète des pièces de Schumann et Beethoven. «Je suis très reconnaissante de pouvoir continuer à jouer, se réjouit-elle. J'enchaîne les concerts et les master classes ces prochains mois, mais je vous assure que je suis devenue plus raisonnable. Aujourd'hui, 80% de mon énergie est concentrée sur le piano. Je ne m'occupe plus du reste!» Le reste, c'est son mari pianiste qui s'en charge, en programmant la série de concerts tous les soirs à l'Église de La Chiésaz à Saint-Légier, après les master classes avec de jeunes musiciens du monde entier qui se déroulent à la Villa Hindemith à Blonay. Aux côtés du couple argentino-chilien, on retrouve des artistes fidèles du festival, comme les pianistes François Dumont et Cédric Pescia, la violoniste Noëmi Schindler ou le violoncelliste Christophe Roy. Pragmatisme et discipline Par sa longévité, son élégance ineffable, sa discipline ferme et souriante, et même sa physionomie, Edith Fischer pourrait faire penser à une Elisabeth II du piano classique. En nettement plus abordable! La Chilienne entretient depuis si longtemps sa carrière de soliste et de pédagogue qu'elle peut en tout cas se considérer comme la doyenne des pianistes en activité. Elle incarne une certaine éthique de vie dévouée à la musique, où l'idée de devoir faire soi-même la promotion de ses concerts à travers les réseaux sociaux la met mal à l'aise. «Durant mon enfance au Chili, juste après la guerre, la vie culturelle était très intense, se souvient l'interprète. Et des chefs d'orchestre comme Kleiber ou Ormandy restaient pendant des semaines à Santiago. Cela a une influence énorme sur la qualité des musiciens et j'ai pu vivre des expériences incroyables.» Avoir côtoyé le légendaire pianiste chilien Claudio Arrau comme professeur laisse aussi des traces indélébiles: «Sa façon très naturelle de toucher le piano et d'utiliser tout le corps était certainement idéale pour épargner les problèmes physiques. Je n'ai jamais eu de tendinite et mes élèves non plus.» Avec son pragmatisme habituel, Edith Fischer ne fait pas mystère sur ce qui lui permet de conserver une technique redoutable et une mémoire toujours vive: «Quand je me lève le matin, je sais ce que je dois travailler. Je planifie précisément le temps de répétition que j'ai à disposition pour chaque œuvre. Et ensuite, je passe à la suivante. Sans ce contrôle, on s'égare ou on s'épuise. Cela dit, j'ai eu la chance d'avoir été formée très jeune à un vaste répertoire, et je n'ai pas abordé beaucoup d'œuvres nouvelles ces dernières années.» L'interprète insiste aussi sur l'importance du repos, du temps libre, de la connexion au réel: «Chaque fois que je suis en Suisse, je me soigne en jouissant de la nature, cela me nourrit profondément.» Le contact avec la jeune génération représente pour elle également une cure de jouvence. Elle retrouvera même à Blonay des élèves de ses anciens élèves! «En donnant des master classes et en participant à des jurys de concours, j'ai l'impression qu'on redonne du poids à de vraies personnalités, et pas seulement à la virtuosité et à l'aspect visuel. J'espère que je ne me trompe pas!» Saint-Légier, Église de La Chiésaz, du 9 au 16 août, concert d'ouverture le 9 (20 h), L'été des festivals classiques Matthieu Chenal est journaliste à la rubrique culturelle depuis 1996. Il chronique en particulier l'actualité foisonnante de la musique classique dans le canton de Vaud et en Suisse romande. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pour Golshifteh Farahani, Locarno déploie le tapis rouge (sang)
Pour Golshifteh Farahani, Locarno déploie le tapis rouge (sang)

24 Heures

time15 hours ago

  • 24 Heures

Pour Golshifteh Farahani, Locarno déploie le tapis rouge (sang)

Accueil | Culture | Cinéma & séries | L'actrice iranienne, condamnée par le régime des mollahs, irradie dans l'horrifique «Alpha», qu'elle présentait mercredi en ouverture. Interview politique. Publié aujourd'hui à 19h12 Golshifteh Farahani n'a pas pu retourner dans son pays natal depuis 2009 et sa condamnation pour être apparue tête nue en conférence de presse. Rahi Rezvani Glamour et intellect: l'équation si souvent réclamée au Festival de Locarno trouve avec Golshifteh Farahani sa plus belle incarnation. Mercredi soir, la comédienne iranienne recevait un Léopard d'honneur en ouverture de la 78e édition du rendez-vous de cinéma, dont le tapis rouge avait les teintes sanguines d'«Alpha», drame horrifique que l'actrice traverse d'une intensité stupéfiante. Le film de Julia Ducournau, Palme d'or cannoise avec «Titane», sortira le 25 août. Locarno, terre d'exil «La première fois que je suis venue ici, c'était juste après mon exil d'Iran, se souvient Golshifteh Farahani. Locarno fut le premier festival à m'accueillir, c'est pourquoi il a une telle importance pour moi. J'y suis venue quatre fois: la première comme membre du jury – nous siégions dans cette pièce où nous nous trouvons. Et aujourd'hui pour recevoir un prix! Je mesure le chemin parcouru.» Elle a de quoi. Comme elle le rappelle sans fausse modestie, l'actrice compte à 42 ans un parcours d'une rare profusion et d'une grande diversité, une vingtaine de longs métrages en Iran, dès l'âge de 15 ans, avant de connaître, de gré puis de force, une carrière internationale entre blockbusters hollywoodiens («Pirates des Caraïbes», «Exodus: Gods and Kings», «Mensonges d'État») et cinéma français – elle a tourné pour Alain Chabat, Christophe Honoré, Louis Garrel… Et Julia Ducournau, donc, autrice hautement abrasive d'un cinéma de la déconstruction et de la métamorphose. Ce que Golshifteh Farahani a connu dans sa chair… «Alpha» raconte les douleurs d'une adolescente stigmatisée, que l'on croit malade dans un monde soumis à un virus terrifiant. Avez-vous pu vous identifier à cette histoire? Bien sûr. Alpha, dont je joue la mère, est victime de traumatismes transgénérationnels que le film révèle. Ce sont des choses auxquelles je suis confrontée dans ma vie, des traumas hérités des générations précédentes, que je n'ai même pas vécus, mais qui m'ont été transmis. À quel traumatisme pensez-vous exactement? Ma grand-mère s'est suicidée. Elle s'est immolée quand ma mère avait 7 ans. Elle en a été témoin, elle est allée chercher les voisins pour éteindre sa mère en flammes. Elle a grandi comme une orpheline. Puis elle s'est mariée, a eu trois enfants – je suis la dernière. Je n'ai pas vu mourir ma grand-mère, mais j'ai vécu sa douleur à travers ma mère. Elle m'a littéralement injecté toutes ses insécurités, je les porte comme si elle m'avait passé un gigantesque sac à dos. Petit à petit, j'apprends à le déposer. Parfois, ces sacs collent à la peau: il faut en arracher une partie. C'est aussi ce que raconte le film dans son rapport au corps. Golshifteh Farahani tient Alpha (Mélissa Boros) dans ses bras. ©MANDARIN & COMPAGNIE KALLOUCHE Le fait d'être séparée de votre famille, de votre ville natale, de votre pays d'origine est probablement un autre traumatisme… Absolument. Je me suis aperçue que je portais ces sacs dès que j'ai quitté l'Iran. L'exil a mis un poids énorme sur moi, et le traumatisme a soudainement pris le dessus. Avant, en Iran, je me sentais étonnamment libre. En 2008, j'ai joué dans «Mensonges d'État», de Ridley Scott, je pensais qu'on serait fiers de moi, parce que ce film n'est pas proaméricain et montrait bien la complexité de la situation au Moyen-Orient. J'étais très connue dans mon pays, je suis revenue de Hollywood en confiance. Puis tout a basculé… J'ai traversé le labyrinthe de la justice nationale et des services de renseignement, avec des mois d'interrogatoires. Je n'avais que 23 ans. Le juge a dit qu'il attendait la sortie du film pour prononcer sa sentence. J'ai eu de la chance, car il m'appréciait comme actrice! Mais ce type est l'un des hommes les plus effrayants du système judiciaire. Un homme horrible. Il avait exécuté plusieurs amis de mon père lors de la révolution islamiste. Alors je suis partie. C'est une longue histoire, mais ma vie est devenue ce qu'elle est aujourd'hui. «Quand on naît femme en République islamique, on vaut la moitié d'un homme.» Getty Images via AFP De fait, vous êtes à l'international l'une voix les plus populaires de la contestation au régime iranien. Avez-vous choisi d'assumer cette responsabilité? Choisir est un grand mot pour ceux qui naissent dans des conditions difficiles: on n'a pas le choix. Quand on naît femme en République islamique, on vaut la moitié d'un homme. Toute sa vie, on se bat pour combler cette inégalité. C'était une affaire de survie, quelque chose de très organique, je ne me suis jamais trop posé de question, là-bas. En revanche, lors des manifestations de 2022, je me suis consciemment impliquée: je pouvais amplifier la voix de gens qu'on n'entendait pas. Le traduire au niveau émotionnel, car ce qu'on voit aux informations, ce n'est que… de l'information. En tant que comédienne, je voulais traduire les émotions d'une femme iranienne qui perd un mari, un enfant, ou donne la vie. Tout sauf être politique. Comment ça? La politique est toujours l'intérêt de l'un contre l'intérêt de l'autre. Je pense que la seule façon de lutter contre cette obscurité est de se réfugier dans l'art et la culture. D'être une force de lumière face à ces ados qui dirigent le monde. Des hommes sous testostérone qui se menacent. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Le conflit militaire entre Israël et l'Iran pourrait-il être un levier de changement plus puissant que les révoltes de 2022? C'est terrible, parce qu'on entend tant d'Iraniens dire: «Qu'Israël vienne nous libérer!» Aucun pays, surtout pas Israël ou les États-Unis, ne libérera un pays pour son propre bien. L'Iran est un trésor, et tout le monde en veut un morceau. J'espère que la liberté pour les Iraniens viendra de l'intérieur, car aucune guerre, aucun bombardement ne peut libérer un pays, et il ne faut pas sous-estimer le poids de 2022: sur les images que m'envoient des amies depuis l'Iran, je n'arrive pas à y croire. Personne ne porte le voile! Elles sont en manches courtes et débardeurs. Le gouvernement a compris qu'il ne pouvait pas lutter avec ça. Il prend le peuple en otage, militairement, mais il a déjà perdu. Festival du film de Locarno, jusqu'au 17 août. À lire, sur le Festival de Locarno François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Un film romand fait partie de la présélection suisse aux Oscars
Un film romand fait partie de la présélection suisse aux Oscars

24 Heures

time17 hours ago

  • 24 Heures

Un film romand fait partie de la présélection suisse aux Oscars

Accueil | Culture | Cinéma & séries | «La cache», du Vaudois Lionel Baier, figure parmi les trois œuvres présélectionnées pour représenter la Suisse aux Oscars. Verdict le 12 août. Publié aujourd'hui à 17h12 Le film de Lionel Baier, «La cache», se déroule dans le Paris de Mai 68. KEYSTONE «La cache» du Vaudois Lionel Baier fait partie des trois films suisses présélectionnés pour les Oscars par le comité mandaté par l'Office fédéral de la culture (OFC). Le film qui représentera la Suisse sera annoncé le 12 août, indique mercredi la fondation SWISS FILMS. Les deux autres films choisis dans cette présélection sont «Heldin» (En première ligne») de Petra Volpe et «Hanami» de Denise Fernandes, peut-on lire dans le communiqué. Dans son film «La cache» , qui se déroule dans le Paris de Mai 68, Lionel Baier raconte l'histoire d'un garçon qui découvre une cachette secrète dans l'appartement familial. Cette découverte va lui révéler l'histoire de son aïeule juive et celle de son grand-père, forcé de se cacher durant le régime de Vichy. Depuis l'année dernière, une commission composée de sept membres représentant différents domaines de l'industrie cinématographique suisse décide quel film sera présenté dans la catégorie «International Feature Film» lors de la 98ème cérémonie des Oscars. La cérémonie aura lieu 15 mars 2026 à Los Angeles. Plus sur Lionel Baier et ses films ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store