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Une femme retrouvée inconsciente et blessée à Montréal

Une femme retrouvée inconsciente et blessée à Montréal

La Presse3 days ago
Une femme de 37 ans a été découverte inconsciente sur la chaussée, grièvement blessée, dans la nuit de samedi à dimanche, dans l'arrondissement de LaSalle, à Montréal.
La Presse Canadienne
C'est un appel au 911 qui a conduit les services d'urgences auprès de cette femme sur la rue Clément, à proximité de la rue Saint-Patrick, vers 1 h 15 dimanche. Elle a été transportée à l'hôpital, où l'on craignait pour sa vie.
« Sur place, un homme de 37 ans a été arrêté pour avoir conduit avec les capacités affaiblies par l'alcool. Il a été conduit en centre de détention », a précisé l'agente Jeanne Drouin, porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Toutefois, il n'est pas clair si cela peut expliquer les blessures de la femme transportée à l'hôpital.
« Les circonstances qui entourent les blessures de la victime demeurent nébuleuses à cette heure-ci », a indiqué la porte-parole du SPVM.
La scène a été protégée par un périmètre de sécurité afin de permettre aux enquêteurs d'analyser divers éléments.
« Et ainsi permettre aux enquêteurs de déterminer les causes des blessures de la victime et les circonstances qui entourent l'évènement », a souligné l'agente Drouin.
L'enquête du SPVM se poursuit.
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Les trois hommes font face à 12 chefs d'accusation chacun, notamment des accusations de facilitation d'activité terroriste, d'entreposage illégal d'armes à feu, de possession d'explosifs et d'engins prohibés. Les trois hommes accusés de terrorisme et soupçonnés par la police d'avoir voulu s'emparer d'un territoire au nord de Québec grâce à une milice antigouvernementale devront demeurer détenus en attente de leur procès. Le juge René de la Sablonnière devait trancher mercredi matin sur la remise en liberté de Raphaël Lagacé, 25 ans, Simon Angers-Audet et Marc-Aurèle Chabot, tous deux âgés de 24 ans. Le magistrat a lu sa longue décision dans une salle du palais de justice de Québec, sous le regard des trois hommes. René de la Sablonnière a conclu qu'ils devaient rester détenus en attendant leur procès, qui pourrait se tenir dans plus d'un an. Les trois hommes sont restés impassibles. Une femme dans le public a fondu en larmes. La décision du magistrat ne peut être détaillée par les médias, car une ordonnance de non-publication limite sévèrement ce qui peut être publié. « Le juge a rendu sa décision aujourd'hui et ordonné la détention des trois prévenus au motif que si ceux-ci étaient remis en liberté c'était de nature à miner la confiance du public envers l'administration de la justice », a toutefois précisé le procureur fédéral Gabriel Lapierre à la sortie de la salle d'audience. Rappelons que les trois hommes – dont un ancien militaire et un membre actif des Forces armées canadiennes – font face à 12 chefs d'accusation chacun. Les autorités les accusent notamment d'avoir facilité des activités terroristes, d'avoir entreposé illégalement des armes à feu et d'avoir eu en leur possession des explosifs et des engins prohibés. Les trois accusés avaient l'intention de créer une « milice antigouvernementale » et voulaient s'emparer d'un territoire au nord de Québec, selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Les activités du groupe auraient duré de 2021 à 2024. Lors d'une perquisition en janvier 2024, la GRC a saisi plus de 80 armes à feu, 16 engins explosifs, plus de 10 000 munitions et 130 chargeurs. Selon le ministère de la Défense nationale, ces armes, munitions et explosifs ne provenaient pas de l'armée. Un quatrième homme, Matthew Forbes, est accusé d'avoir eu en sa possession, illégalement, des armes, des explosifs et du matériel militaire. Il comparaîtra le 12 septembre prochain. Il a entretemps été libéré à condition de rester à son domicile et de porter un bracelet GPS en tout temps. Deux des accusés – Marc-Aurèle Chabot et Matthew Forbes – étaient des membres actifs des Forces armées canadiennes au moment de leur arrestation le 8 juillet dernier. Tous deux sont liés à la base de Valcartier. Le caporal Chabot fait partie du 2e Bataillon au Royal 22e Régiment, un bataillon d'infanterie mécanisée. Il n'a participé à aucun déploiement, selon l'armée. Le bombardier Forbes fait quant à lui partie du 5e Régiment d'artillerie légère du Canada. Il a participé à des missions, notamment auprès de la GRC lors de la réunion du G7 en 2018 dans Charlevoix, et en Europe de l'Est en 2019. Simon Angers-Audet s'est pour sa part enrôlé dans l'Armée canadienne comme réserviste au sein des Voltigeurs de Québec en juin 2019 et il a été libéré en mai 2022 avec le grade de soldat. Il n'a participé à aucun déploiement. « Simon est sorti de l'armée dans le temps de la COVID. Avec le vaccin, il avait fait un AVC. Mais son objectif, c'était de retourner dans l'armée. Pensez-vous que du monde qui veut rentrer dans l'armée serait antigouvernement ? Voyons donc ! », s'était exclamé son père, Philippe Audet, lors d'une entrevue avec La Presse, après l'arrestation de l'accusé. Raphaël Lagacé n'a pas servi en tant que membre des Forces armées canadiennes, mais il a été instructeur civil au sein du 630e Escadron des cadets de l'Aviation royale du Canada à Beauport (Québec) de janvier 2021 à septembre 2024. Le dossier des quatre accusés sera de retour devant le tribunal le 12 septembre. Il s'agira de gestion. Le procès n'aura pas lieu avant des mois. Avec Olivier Picard, La Presse

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