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Un motocycliste meurt après une sortie de route

Un motocycliste meurt après une sortie de route

La Presse2 days ago
(Montréal) Un motocycliste d'une trentaine d'années est mort vendredi après avoir fait une sortie de route et finit dans le fossé, à Saint-Rémi, en Montérégie.
La Presse Canadienne
Les services d'urgence ont été appelés à intervenir vers 11 h pour une embardée survenue à l'intersection de la montée Saint-Antoine et du rang Notre-Dame.
La victime a été transportée vers un centre hospitalier avec des blessures sérieuses. Son décès y a été ensuite constaté. Selon la porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), Élizabeth Marquis-Guy, un patrouilleur formé en collision a été dépêché sur place pour comprendre les causes et les circonstances entourant cet accident. L'enquête se poursuit.
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Les dos d'âne accidentogènes ont été retirés
Les dos d'âne accidentogènes ont été retirés

La Presse

time2 hours ago

  • La Presse

Les dos d'âne accidentogènes ont été retirés

Les dos d'âne de l'avenue du Mont-Royal ont fait place cet été à des ralentisseurs. Les dos d'âne installés l'an dernier pour forcer les cyclistes à ralentir sur l'avenue du Mont-Royal ont été retirés, puisqu'ils étaient jugés accidentogènes. L'arrondissement a depuis revu les aménagements et appelle maintenant au civisme sur cette artère piétonnisée où la cohabitation avec les vélos n'est pas toujours facile. « On voulait trouver l'équilibre entre une mesure dissuasive qui force les cyclistes allant trop vite à ralentir, mais sans pour autant mettre qui que ce soit en danger », explique en entrevue la conseillère associée en mobilité et élue locale du Plateau-Mont-Royal Marianne Giguère. En juillet 2024, au moment où l'avenue du Mont-Royal était devenue piétonne comme chaque année, La Presse avait rapporté que des dos d'âne installés sur l'artère commerciale faisaient craindre encore plus d'accidents à Vélo Québec. Ces équipements sont en effet « fréquemment associés à des chutes et à des blessures », s'était inquiété l'organisme dans nos pages. L'idée initiale était pourtant de lutter contre le taux de délinquance de plus en plus élevé des cyclistes, qui sont autorisés à emprunter la rue à condition de rouler lentement. Des vitesses élevées sont toutefois observées, surtout dans la partie ouest de l'artère, où on retrouve une pente plus prononcée. Finalement, l'arrondissement a décidé de retirer tous les dos d'âne pour les remplacer par des ralentisseurs « plus bas et allongés », indique Mme Giguère. On a aussi ajouté des pastilles de caoutchouc colorées sur la chaussée, ce qui induit un certain ralentissement, mais sans créer de risques. Marianne Giguère, conseillère associée en mobilité et élue locale du Plateau-Mont-Royal Une « forêt de balises » a aussi été introduite, avec plusieurs panneaux rappelant aux usagers de ralentir, ainsi que des bollards pour les inciter à le faire. Quant aux dos d'âne problématiques retirés, « ils ont été réutilisés dans d'autres secteurs de la ville où on n'a pas le même achalandage piéton, donc ce n'est pas perdu », assure la conseillère Marianne Giguère. « C'est de l'expérimentation qu'on fait. On n'a pas un guide du bon aménagement pour favoriser la cohabitation. On est en train de le créer quelque part. On fait des apprentissages chaque année et on s'améliore », ajoute-t-elle à ce sujet. Un appel au civisme À la Société de développement commercial (SDC) de l'avenue du Mont-Royal, le directeur général, Claude Rainville, salue les ajustements apportés. « On accueille ça favorablement, puis on continue de penser qu'une saine cohabitation entre les rouleurs et les piétons est tout à fait possible », soutient-il. L'an dernier, M. Rainville s'était montré critique envers les préoccupations de Vélo Québec. « Ça me fait un peu rire d'entendre que les cyclistes ne se sentent pas en sécurité. Ils ont juste à rouler moins vite. […] Je reçois quasiment quotidiennement des témoignages de gens qui ne se sentent pas en sécurité », avait-il dit. Mais aujourd'hui, M. Rainville tourne la page. Cet épisode-là est derrière nous, puis la collaboration avec l'arrondissement et le milieu cycliste est super bonne. Ce qu'on dit aux gens maintenant, c'est un appel au civisme. Soyez soucieux des gens qui vous entourent, allez-y lentement. Pensez aux autres. Claude Rainville, directeur général de la Société de développement commercial de l'avenue du Mont-Royal Chez Vélo Québec, la directrice des programmes, Magali Bebronne, se réjouit : « Nos préoccupations semblent avoir été entendues. » « J'ai l'impression qu'on a trouvé un point d'équilibre », note-t-elle, reconnaissant au passage qu'il est « difficile de faire de l'apaisement de circulation sans causer de risques ». Dans un monde idéal, il faudrait créer « des parcours sinueux permettant un ralentissement naturel des vélos », selon l'organisme. Or, les exigences réglementaires municipales actuelles imposent notamment un couloir de circulation de six mètres pour les services d'urgence, empêchant la Ville de procéder. « On est vraiment confrontés à toutes sortes de limitations. Interdire les rouleurs, c'est totalement écarté, puisque la route est beaucoup trop longue et il faudrait mettre un paquet de policiers, donner plein de contraventions. Ce n'est pas du tout le message qu'on veut envoyer. On veut au contraire travailler à la cohabitation la plus harmonieuse possible », conclut Marianne Giguère. Au mois de juin dernier, Vélo Québec a lancé une vaste campagne de sensibilisation à l'intention des adeptes à deux roues, afin de les inciter à respecter davantage le Code de la sécurité routière. Ce blitz de sensibilisation portera globalement sur l'application de comportements sécuritaires, à commencer par la priorité accordée aux piétons sur la chaussée.

Un patrimoine fragile
Un patrimoine fragile

La Presse

time3 hours ago

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Un patrimoine fragile

Le Centre de services Desjardins de Saint-Henri a été conçu et imaginé en 1965 par l'architecte Henri Brillon. « Immeuble commercial à vendre. 4545, rue Notre-Dame Ouest dans le secteur Saint-Henri. Opportunité d'investissement. » L'annonce diffusée par les Caisses Desjardins ne manque pas de détails. On y apprend que « l'immeuble commercial » en question date de 1966, qu'il fait 9322 pieds carrés, avec un sous-sol aménagé, un accès pour les personnes à mobilité réduite et 22 places de stationnement. On y apprend aussi que le prix de vente est de 3 998 500 $. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE La caisse populaire Saint-Zothique, du haut des airs PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE L'immeuble est aujourd'hui en vente pour une somme avoisinant les 4 millions de dollars. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE La caisse populaire Saint-Zothique, du haut des airs 1 /2 Il y manque toutefois une information de taille : cette succursale du Mouvement Desjardins a été conçue et imaginée en 1965 par l'architecte Henri Brillon, et doit être considérée comme un fleuron de l'architecture moderne au Québec. Sa vente peut faire craindre le pire. Qu'en feront ses prochains propriétaires ? PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Le Mouvement Desjardins a choisi de se départir du bâtiment qui jouxte l'église Saint-Zotique, malgré sa grande valeur architecturale. Le bâtiment d'Henri Brillon est loin d'être la seule succursale du Mouvement Desjardins à posséder des formes audacieuses. Du milieu des années 1950 au milieu des années 1970, les caisses pop ont été un acteur important pour l'avènement de l'architecture moderne au Québec. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE La succursale de Desjardins de Plessisville, dans la région du Centre-du-Québec, possède une architecture résolument moderne. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE L'ancienne caisse Saint-Pascal-de-Maizerets, à Québec, est aujourd'hui une résidence privée. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE La succursale de Desjardins de Plessisville, dans la région du Centre-du-Québec, possède une architecture résolument moderne. 1 /2 Une quinzaine de succursales, encore debout, voire toujours en activité, témoignent de ce courant visionnaire qui a permis de faire entrer l'art et la modernité dans notre vie de tous les jours. Outre celle d'Henri Brillon à Saint-Henri, on pense aussi à la succursale Notre-Dame-du-Chemin à Québec, de type « Guggenheim », ou à la succursale Saint-François-d'Assise à Trois-Rivières, avec ses colonnes en forme de X. Ces succursales font aujourd'hui partie d'un patrimoine moderne limité, mais extrêmement précieux dans la province. PHOTO FOURNIE PAR DESJARDINS Conçue par l'architecte Jacques Racicot, la succursale Notre-Dame-du-Chemin est surnommée le « Guggenheim de Québec ». Pourquoi autant de bâtiments « flyés » au sein du Mouvement Desjardins, qui célèbre, soit dit en passant, son 125e anniversaire cette année ? Plusieurs raisons. Dans les années 1950, le Québec entre dans une période de prospérité. La Révolution tranquille se prépare, Expo 67 n'est pas loin. On veut casser les vieux moules. La modernité entre comme un rayon de lumière dans une province longtemps obscurcie par le conservatisme. Or, l'institution bancaire québécoise va refléter ce boom social et économique. Avec les nouveaux lotissements, les services de proximité se multiplient. On construit des églises dans les nouveaux quartiers, ainsi que de nouvelles caisses populaires. Après avoir été longtemps confinées aux presbytères, aux sous-sols d'église, voire aux maisons privées, les succursales commencent à avoir pignon sur rue. Parce qu'elles veulent se faire remarquer et montrer qu'elles sont dans l'air du temps, certaines vont opter pour des bâtiments plus audacieux, s'inscrivant dans le courant moderne architectural. Formes inhabituelles, usage du béton, des courbes, excentricité. Signe des temps : des succursales offrent même un service à l'auto, un genre d'ancêtre du guichet automatique ! (voir onglet 3) Pour certaines caisses, c'est une façon de montrer qu'on se modernisait. Le changement de bâtiments illustre bien le développement du Mouvement. David Camirand, historien chez Desjardins L'autre raison, liée à la première, relève du marketing. En affichant sa modernité et son originalité, on se distingue des établissements bancaires concurrents, souvent plus conventionnels. Outre les formes audacieuses, ce choix se reflète dans l'usage régulier des murs-rideaux vitrés, peu communs pour ce genre d'établissements. On montre la transparence, alors qu'on devrait plutôt dissuader les voleurs avec des murs de pierres aux allures de coffre-fort. PHOTO FOURNIE PAR DESJARDINS Les murs-rideaux vitrés sont un élément de modernité caractéristique aux caisses. Un vent d'optimisme Ce mouvement moderniste n'a rien de concerté : la Fédération des caisses Desjardins est entièrement décentralisée. Ces nouvelles constructions se décident donc au niveau local. Si on en voit plusieurs pousser aux quatre coins de la province à la même époque, c'est simplement que cette modernité est dans l'air du temps. « Ce sont les années 1960, souligne Conrad Gallant, conseiller en patrimoine pour Brodeur et consultants. À cette époque, la presse se fait quotidiennement l'écho d'Expo 67 qui se prépare. Les gens baignent dans cette atmosphère de hardiesse architecturale. » Les caisses populaires veulent montrer que le Québec des années 1960 et 1970 est un Québec de prise de parole et de fierté québécoise. Conrad Gallant, conseiller en patrimoine pour Brodeur et consultants « Expo 67 va avoir beaucoup d'impact sur les conseils d'administration qui étaient responsables de réaliser de nouvelles succursales », confirme David Camirand. Mais ce n'est pas le seul critère qui incite à construire moderne, précise l'historien. « Ça dépendait aussi de la prospérité de la caisse. Certaines avaient plus de moyens et étaient plus audacieuses. Beaucoup de petites caisses, moins riches, vont opter pour des boîtes en briques brunes. » Des 1300 caisses pop en activité dans les années 1970, les succursales plus « flyées » se comptent sur les doigts de deux mains. Quinze ? Vingt ? Vingt-cinq ? Ce mouvement de pointe n'était donc pas généralisé. Mais ce groupe sélect témoigne d'un leadership sur le plan de l'architecture moderne au Québec. « Il y a une époque où, visiblement, il y a des efforts qui ont été faits », souligne France Vanlaethem, professeure émérite à l'École de design de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et référence en architecture moderne au Québec. « Il y avait un esprit progressiste, de nouveauté. Il y avait un esprit, comment dire… de confiance en l'avenir. » Mme Vanlaethem déplore que cet « esprit » n'ait pas perduré. Avec les années, les caisses pop vont perdre en folie et devenir plus fonctionnelles. Les besoins changent. On va s'adapter au nouvel « air du temps ». PHOTO FOURNIE PAR DESJARDINS Caisse populaire de Repentigny, conçue par Henri Brillon, aujourd'hui disparue PHOTO FOURNIE PAR DESJARDINS La Caisse populaire de Repentigny, avec luminaires de Jean-Paul Mousseau, signataire de Refus global PHOTO FOURNIE PAR DESJARDINS Caisse populaire de Repentigny, conçue par Henri Brillon, aujourd'hui disparue 1 /2 Pire encore : certaines succursales remarquables seront détruites. C'est le cas de la caisse populaire de Repentigny, dont la démolition sera vivement critiquée par l'Ordre des architectes du Québec, en 1993. Le bâtiment, conçu par Henri Brillon (encore lui !) avec des luminaires signés par l'artiste Jean-Paul Mousseau, ressemble à un mélange de base lunaire et d'abri Tempo. Dans le journal La Presse, un architecte montréalais de l'époque explique que ce bâtiment original témoigne du dynamisme et de l'avant-gardisme des caisses pop. Mais il regrette du même coup que le Mouvement Desjardins ait « cessé de jouer un rôle phare en architecture ». PHOTO FOURNIE PAR DESJARDINS Caisse populaire Saint-Eustache, signée Henri Brillon, également détruite Malgré la mobilisation, le bâtiment sera rasé. Idem pour la caisse populaire de Saint-Eustache, aussi conçue par Henri Brillon. France Vanlaethem aimerait que les caisses populaires en fassent davantage pour protéger leur patrimoine et regrette la vente de la succursale Saint-Zotique. Une mise en vente qui n'est pas sans risque. L'extérieur du bâtiment est officiellement protégé par l'arrondissement du Sud-Ouest, mais non par la Loi sur le patrimoine culturel du Québec. Ce qui le rend donc en partie vulnérable, même si la Ville promet d'étudier « avec soin » toute forme d'intervention sur le bâtiment. « C'est un premier niveau de protection, résume France Vanlaethem. Son efficacité dépendra des fonctionnaires à la Ville qui traitent le dossier… »

Les tueurs d'Odna Daudier demandent un nouveau procès
Les tueurs d'Odna Daudier demandent un nouveau procès

La Presse

time3 hours ago

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Les tueurs d'Odna Daudier demandent un nouveau procès

L'homme et la femme reconnus coupables d'avoir assassiné Odna Daudier avec un poison acquis dans les Caraïbes souhaitent obtenir un nouveau procès. Les deux tueurs font de nombreux reproches à la juge, dont « d'innombrables erreurs » dans ses directives au jury. Au terme d'un procès de trois mois en montagnes russes, Jacques Adonai Charpentier, 41 ans, et Mélissa Estimé, 24 ans, ont été déclarés coupables de meurtre au premier degré, le 2 juin dernier, au palais de justice de Montréal. Ils ont ainsi écopé de la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans. Trois ans plus tard, et malgré le procès, la mort d'Odna Daudier demeure mystérieuse. Son corps a été retrouvé, intact, dans sa voiture, dans un secteur isolé de l'est de Montréal, le matin du 29 mai 2022. Fait rare : la cause de sa mort n'a jamais été déterminée. PHOTO TIRÉE DU COMPTE FACEBOOK D'ODNA DAUDIER Odna Daudier, la victime Le jury a toutefois retenu la thèse de la Couronne : Jacques Adonai Charpentier et Mélissa Estimé ont traqué pendant des mois la victime, l'ex-conjointe de Charpentier. Mélissa Estimé s'est ensuite rendue en République dominicaine pour acquérir un poison « indétectable », vraisemblablement l'arme du crime. Erreurs de traduction ? Cette thèse repose essentiellement sur des échanges de messages textes et de messages vocaux entre les deux accusés. Aucun poison n'a été retrouvé dans le sang de la victime. PHOTO DÉPOSÉE EN PREUVE Mélissa Estimé, coaccusée Or, la traduction de ces messages textes en créole n'est pas fiable, affirment Jacques Adonai Charpentier et Mélissa Estimé dans leur avis d'appel, déposé fin juin. La traductrice a elle-même affirmé ne pas maîtriser le langage « codé » ou utilisé par les « jeunes », soutiennent-ils entre autres. Les appelants reprochent à la juge Éliane B. Perreault de n'avoir fait aucun « appel à la prudence » au jury concernant ces traductions. « Au contraire, elle a rehaussé la crédibilité du témoin », déplorent-ils, en évoquant une « grave » erreur. Dans leur avis d'appel, Jacques Adonai Charpentier et Mélissa Estimé reprochent à la juge d'avoir essentiellement bâclé ses directives finales au jury, une étape particulièrement délicate du procès. Le camp Charpentier relève huit erreurs importantes de la juge à cette étape. « Qui plus est, alors que la juge s'astreignait à rectifier des pans complets de ses directives initiales, elle commettait au passage de nouveaux impairs », écrit l'avocate de Charpentier, Me Marylie Côté, qui a fait équipe avec Me Martin Latour au procès. PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Me Marylie Côté, avocate de Jacques Adonai Charpentier Dans le camp Estimé, on reproche à la juge d'avoir favorisé « indûment » une partie dans ses directives finales. « La juge a dû revoir des pans complets de ses directives finales au jury qui, au final, s'avéraient toujours inéquitables envers l'appelante », écrit son avocat, Me Maxime Hébert Lafontaine, en appel. Le camp Estimé affirme que la juge a « compromis l'équité du procès » pendant le processus judiciaire, en ordonnant à Me Elfriede Duclervil [l'avocate de Mélissa Estimé au procès] de reporter une intervention chirurgicale annoncée dès le début du procès et en « l'alarmant d'assigner son médecin ». Me Duclervil s'est absentée pendant environ un mois pour des raisons de santé pendant le procès. Dans un geste inédit, la juge Perreault a rendu une ordonnance pour forcer Me Duclervil à lui révéler les détails de son état de santé. En outre, les appelants reprochent à la juge de n'avoir toujours pas rendu de jugement écrit concernant plusieurs requêtes. Pendant le procès, la juge a tranché oralement plusieurs requêtes des parties, sans motiver ses décisions sur le coup. Le dossier sera entendu par la Cour d'appel dans les prochains mois. Généralement, un appel dans une affaire de meurtre prend entre deux et trois ans pour se conclure.

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