logo
Cogeco confirme le lancement de ses services sans fil au Canada

Cogeco confirme le lancement de ses services sans fil au Canada

La Pressea day ago
Cogeco confirme le lancement de ses services sans fil au Canada
(Montréal) Cogeco annonce que le lancement de ses services sans fil au Canada est en cours et qu'une première cohorte d'utilisateurs a déjà accès au service.
La Presse Canadienne
L'entreprise prévoit de couvrir 12 marchés canadiens d'ici les prochaines semaines, notamment Alma, Magog, Rimouski, Saint-Georges, Saint-Hyacinthe, Saint-Sauveur et Trois-Rivières.
Les villes ontariennes de Brockville, Chatham, Cobourg, Cornwall et Welland complètent la liste.
Cette annonce survient alors que l'entreprise a réalisé un bénéfice attribuable aux propriétaires de la société de 20,5 millions au troisième trimestre, en hausse par rapport à 19,0 millions à la même période l'an dernier.
Cogeco indique que son bénéfice s'est élevé à 2,13 $ par action lors du trimestre qui a pris fin le 31 mai, comparativement à 1,97 $ par action il y a un an.
Son chiffre d'affaires s'est élevé à 758,5 millions, en baisse par rapport à 777,2 millions un an plus tôt.
Sur une base ajustée, Cogeco précise avoir réalisé un bénéfice de 2,40 $ par action au cours du dernier trimestre, en baisse par rapport au bénéfice ajusté de 3,02 $ par action du même trimestre l'an dernier.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Inquiète pour sa fibre, Cogeco entre dans le sans-fil
Inquiète pour sa fibre, Cogeco entre dans le sans-fil

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Inquiète pour sa fibre, Cogeco entre dans le sans-fil

La direction de Cogeco Communications a indiqué que des utilisateurs du Québec et de l'Ontario avaient déjà accès à ses services sans-fil et qu'une expansion aura lieu dans 12 des plus grands marchés régionaux du Canada au cours des prochaines semaines. Les télécommunications canadiennes sont un drôle de monde. Alors que les dispositions du CRTC facilitent l'entrée d'acteurs régionaux comme Cogeco dans le sans-fil, le cadre de l'organisme fédéral pour l'internet filaire haute vitesse nuit à la viabilité à long terme de ces mêmes fournisseurs, ce qui déplaît à pratiquement tout le monde. À la fin de juin, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications du Canada (CRTC) a malgré tout réitéré sa position. Les propriétaires de réseaux haute vitesse petits et grands devront continuer à partager à un tarif qui leur est imposé leur bande passante avec tous leurs rivaux, a-t-il annoncé. Sans surprise, les fournisseurs ont porté la décision en appel. Le gouvernement fédéral a jusqu'à la mi-août pour l'amender, ou pas. Chose rare, tout le monde ou presque dans l'industrie est d'accord qu'Ottawa devrait l'amender. C'est la nature de cette modification qui fait débat. D'un côté, les géants estiment que partager leur infrastructure pénalise leur rentabilité et réduira leur investissement au pays. Bell redirige déjà ses plans d'expansion à l'extérieur du pays, et privilégie ses occasions d'affaires aux États-Unis. Elle se concentre ces jours-ci sur sa récente acquisition du réseau de fibre optique du fournisseur de la côte ouest américaine Ziply Fiber. Bell s'est dite « profondément déçue » que le CRTC autorise l'accès à son réseau de fibre « malgré une vive contestation exprimée par la vaste majorité des fournisseurs de services internet, de nombreux fournisseurs, des syndicats, des municipalités, des provinces et des groupes de défense des consommateurs », a résumé par communiqué son chef des affaires publiques, Robert Malcolmson. Bell dit avoir réduit de 500 millions en 2025 et de plus de 1,2 milliard de dollars depuis la décision initiale du CRTC en novembre 2023 ses dépenses dans l'entretien et l'expansion de son infrastructure filaire nationale. Cogeco estime de son côté que de permettre l'accès à son infrastructure par des fournisseurs nationaux comme Telus est déloyal, vu la différence de taille entre les deux entreprises. Cette différence s'exprime aussi en Bourse, où Cogeco Communications a une valorisation d'un peu moins de 3 milliards, plus de 10 fois inférieure à celle de Telus, à 34 milliards. Sans surprise, Telus est pratiquement la seule entreprise satisfaite de la décision du CRTC en ce moment. Elle profite de ces conditions pour accroître à peu de frais sa présence dans l'est du pays. « On espère que le gouvernement va prendre la bonne décision », a dit à La Presse le vice-président affaires réglementaires et gouvernementales de Cogeco, Paul Beaudry. « Il doit amender la décision pour préciser que les trois grands fournisseurs [Bell, Rogers et Telus] ne sont pas admissibles. » Paul Beaudry pense que d'encourager l'essor des fournisseurs régionaux et indépendants cadre dans la volonté du gouvernement de Mark Carney de renforcer la souveraineté économique du Canada. « La plupart des secteurs ciblés par son plan de développement économique dépendent d'un accès aux réseaux et à internet », dit-il. Du sans-fil malgré tout Malgré ces turbulences dans la haute vitesse filaire, Cogeco Communications a confirmé son intention de se lancer dans le sans-fil canadien. Sa direction a indiqué que des utilisateurs du Québec et de l'Ontario avaient déjà accès à ses services et qu'une expansion aura lieu dans 12 des plus grands marchés régionaux du Canada au cours des prochaines semaines. Cette annonce a été faite par le président et chef de la direction de Cogeco, Frédéric Perron, au moment de dévoiler des résultats financiers trimestriels en baisse. Cogeco a perdu des abonnés aux États-Unis et au Canada, qui se débranchent essentiellement de ses services de base dans la télé et la téléphonie. Son service internet a pour sa part ajouté des abonnés durant les trois mois clos le 31 mai dernier. Ironiquement, l'expansion de Cogeco dans le sans-fil est permise par une disposition du CRTC qui l'autorise à emprunter l'infrastructure de ses rivaux de plus grande taille, et pas l'inverse. « Pour nous, le sans-fil est complémentaire à notre offre filaire, dit Paul Beaudry. On va continuer à offrir les deux, mais on aimerait que le CRTC nous aide à mieux servir nos clients régionaux, car si les grands joueurs ont accès à nos réseaux, on pense que ça aura un impact négatif sur eux à plus long terme. »

À quoi s'attendre de la nourriture dans un tout-inclus
À quoi s'attendre de la nourriture dans un tout-inclus

La Presse

time16 hours ago

  • La Presse

À quoi s'attendre de la nourriture dans un tout-inclus

Certains hôtels tout-inclus proposent de grands buffets diversifiés aux voyageurs, et d'autres en proposent de plus petits avec des choix limités. Pour de nombreux voyageurs, bien manger est un facteur important lors de la planification d'un séjour dans un tout-inclus. L'offre des repas, qu'ils soient pris dans un buffet ou dans un restaurant à la carte, diffère néanmoins d'un hôtel à un autre. Britanie Sullivan La Presse La qualité de la nourriture dans les tout-inclus varie en fonction de la qualité des lieux. L'offre culinaire n'est donc généralement pas la même « selon que l'on est dans un hôtel avec deux, trois ou quatre étoiles […]. Plus on est dans le haut de gamme, plus il va y avoir de la diversité », fait remarquer Alain A. Grenier, professeur en tourisme et développement durable à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Le nombre d'étoiles affiché par les voyagistes est un bon indicateur pour connaître la qualité d'un établissement touristique. C'est d'ailleurs pourquoi les agences de voyages s'y réfèrent souvent pour recommander des produits à leurs clients. Toutefois, il faut savoir que la classification des hôtels par étoiles n'est pas un système réglementé à l'échelle mondiale. Par conséquent, le nombre d'étoiles affiché sur le site web des voyagistes n'est pas toujours le même que celui affiché par les hôtels. Pour les voyagistes, la classification est faite à partir de critères qui leur sont propres, ce qui explique pourquoi le nombre d'étoiles affiché pour un hôtel peut parfois également différer d'un voyagiste à un autre. En général, « plus un hôtel est mieux coté, plus le prix [pour un forfait] est élevé. Mais on a plus de services, on a plus de choix, on a plus de luxe », soutient Claudie Lapointe, directrice de succursales, qui travaille notamment à l'agence de voyages Club voyages Raymonde Potvin. Les restaurants à la carte Dans la majorité des tout-inclus, les voyageurs ont la possibilité de prendre leurs repas dans un buffet ou dans un restaurant à la carte. « À certains endroits, il va y avoir un seul restaurant à la carte et, à d'autres endroits, il y aura plusieurs niveaux gastronomiques », déclare M. Grenier. De plus, « certains restaurants à la carte sont illimités, c'est-à-dire qu'on peut y aller tous les soirs s'il y a de la place. Sinon, il y a des hôtels qui vont mettre des limites, ce qui veut dire qu'on pourrait aller manger deux fois au restaurant à la carte durant la semaine, avec une réservation », explique Mme Lapointe. Des spécialités culinaires du pays d'accueil pourraient être offertes au sein de restaurants, tandis que des plats italiens ou japonais pourraient être offerts ailleurs. Et, « quand on va au restaurant à la carte, on ne paie pas de frais supplémentaires, sauf si l'on veut, par exemple, avoir une bouteille de vin [ou autres boissons alcoolisées de meilleure qualité]. Il peut aussi y avoir des plats sur le menu qui nécessitent de payer des frais supplémentaires », fait savoir la directrice de succursales, qui ajoute que cela pourrait être le cas pour certains fruits de mer ou certaines pièces de viande, par exemple. Lisez l'article « Les tout-inclus, leur prix et leurs exclusions » Les buffets Certains hôtels tout-inclus proposent de grands buffets diversifiés aux voyageurs, et d'autres en proposent de plus petits avec des choix limités. Selon la destination, « ça se peut qu'on mange presque la même chose chaque soir. Dans ce cas, on dit souvent à notre clientèle : 'Quand vous arrivez au buffet, ne mangez pas tout à la première soirée. Essayez de diversifier les repas d'une journée à une autre puisque ça peut être répétitif' », déclare Claudie Lapointe, qui ajoute que cela peut se produire à Cuba, où l'approvisionnement est restreint. De plus, « il y aura souvent une section à la thématique du pays. Donc, par exemple, si l'on va au Mexique, il pourrait y avoir des tacos et du guacamole », ajoute Mme Lapointe, qui constate également que de nombreux plats américains sont souvent offerts dans les buffets, comme des hamburgers, des hot-dogs ainsi que des croquettes de poulet et des frites. Des pancartes peuvent aider les voyageurs à savoir quels sont les divers aliments mis à leur disposition. Selon les destinations, des plats végétaliens ou sans gluten sont aussi proposés. Par ailleurs, le gaspillage de nourriture est un enjeu dans les buffets. Par conséquent, Alain A. Grenier recommande d'y prêter une attention particulière puisque « lorsqu'on se sert soi-même, surtout lorsqu'on est un touriste et qu'on a l'esprit à la fête, on a tendance à ambitionner », affirme le professeur en tourisme et développement durable. Lisez l'article « Voyager dans un tout-inclus de manière écoresponsable » Les intoxications alimentaires En voyage, afin d'éviter les intoxications alimentaires, il est recommandé d'éviter de manger de la viande, du poisson et des œufs n'étant pas suffisamment cuits. Il est aussi préférable de ne pas consommer de produits laitiers non pasteurisés. « Selon l'endroit où l'on va, si l'eau n'est pas potable, il faut faire attention aux fruits et aux légumes crus qui auraient pu être lavés sous l'eau », rappelle Claudie Lapointe. C'est donc pourquoi il est mieux de laver les fruits et les légumes d'une source d'eau fiable (l'eau embouteillée ou bouillie est une bonne option), de les peler ou de les manger cuits. Consultez les conseils aux voyageurs et les avertissements par destination du gouvernement du Canada

Le Bureau de la concurrence conclut une entente avec Schlumberger
Le Bureau de la concurrence conclut une entente avec Schlumberger

La Presse

time19 hours ago

  • La Presse

Le Bureau de la concurrence conclut une entente avec Schlumberger

Le Bureau de la concurrence conclut une entente avec Schlumberger (Gatineau) Le Bureau de la concurrence indique mercredi que Schlumberger a accepté de vendre une filiale de ChampionX dans le cadre de son acquisition de la société de services pétroliers. La Presse Canadienne L'organisme de réglementation de la concurrence estime que l'acquisition de ChampionX par Schlumberger entraînerait probablement une réduction substantielle de la concurrence dans la fourniture de services et d'équipements essentiels aux champs pétroliers au Canada. L'examen a révélé que l'entente entraînerait probablement une réduction de l'innovation et de l'accès aux produits utilisés dans la construction d'outils de forage pour les puits de pétrole et de gaz, ainsi que dans la prestation de services de forage directionnel et de complétion de puits. En vertu de son entente avec l'organisme de réglementation, Schlumberger a accepté de vendre US Synthetic, une filiale de ChampionX et fabricant des éléments de coupe et des paliers en PCD, et d'octroyer une licence de propriété intellectuelle relative aux transducteurs à quartz appartenant à Quartzdyne, une autre entreprise de ChampionX. Schlumberger fournit des services et des équipements à l'industrie pétrolière et gazière au Canada et dans le monde entier. L'entreprise a annoncé mercredi la finalisation de son acquisition de ChampionX.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store