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Plus de 6 millions de visiteurs depuis la réouverture de la cathédrale Notre-Dame

Plus de 6 millions de visiteurs depuis la réouverture de la cathédrale Notre-Dame

La Presse16 hours ago
La cathédrale Notre-Dame de Paris a accueilli, entre le 16 décembre 2024 et le 30 juin 2025, 6,02 millions de personnes, soit une moyenne de 35 000 visiteurs par jour, selon les chiffres parus dans La Tribune Dimanche.
Plus de 6 millions de visiteurs depuis la réouverture de la cathédrale Notre-Dame
(Paris) La cathédrale Notre-Dame de Paris, restaurée après l'incendie qui l'avait dévastée en 2019, a accueilli plus de 6 millions de visiteurs depuis sa réouverture en décembre, selon des chiffres publiés dimanche.
Agence France-Presse
« Notre-Dame de Paris est aujourd'hui le monument le plus visité de France », a assuré au journal Mgr Olivier Ribadeau Dumas, recteur de la cathédrale.
« L'émotion suscitée par l'incendie n'a d'égale que celle suscitée par la réouverture », a-t-il ajouté.
Dans le détail, Notre-Dame a accueilli, entre le 16 décembre 2024 et le 30 juin 2025, 6,02 millions de personnes, soit une moyenne de 35 000 visiteurs par jour, selon les chiffres parus dans La Tribune Dimanche.
Si cette fréquentation se maintient au second semestre, la cathédrale devrait flirter avec les 12 millions d'entrées en 2025, et ainsi dépasser la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre (9 millions de visiteurs en 2024), le musée du Louvre (8,7 millions), le château de Versailles (8,4 millions) et la tour Eiffel (6,3 millions), selon la même source.
Avant l'incendie qui a dévasté la cathédrale le 15 avril 2019, celle-ci recevait autour de « 11 millions de personnes » par an, a rappelé Mgr Ribadeau Dumas, même si la méthode de comptage était moins fiable.
Il ne s'agit pas que d'un effet de mode pour le recteur « car chaque mois la fréquentation s'accroît en moyenne de 1000 personnes par jour », a-t-il détaillé au journal.
La flèche de la cathédrale a retrouvé en juin une des 16 statues qui ornaient sa base et les visites des tours reprendront le 20 septembre, d'après le Centre des monuments nationaux (CMN).
Notre-Dame de Paris a rouvert ses portes après cinq années d'un chantier de restauration titanesque, financé grâce à 846 millions d'euros (près de 1,4 milliard de dollars canadiens) de dons en provenance du monde entier.
Il reste « encore près de 140 millions d'euros [224 millions de dollars canadiens] », a indiqué Philippe Jost, président de l'établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris, à La Tribune Dimanche. « Mais pour achever au plus vite la restauration complète du monument, […] il nous manque encore au moins l'équivalent », dit-il.
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Au moins 21 morts dans l'effondrement d'un immeuble
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Israël prépare sa réponse, la Défense civile annonce 35 morts
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Un garçon inspecte les dégâts dans une école de l'UNRWA abritant des personnes déplacées qui a été touchée par une frappe israélienne nocturne, dans la ville de Gaza, le 5 juillet 2025. (Jérusalem) Israël prépare sa réponse après que le Hamas palestinien s'est dit prêt à négocier un accord de cessez-le-feu et de libération d'otages dans la bande de Gaza, où les opérations de l'armée israélienne ont fait 35 morts samedi, selon la Défense civile locale. Sébastien DUVAL Agence France-Presse Selon plusieurs médias locaux, le cabinet de sécurité israélien doit discuter en soirée de l'opportunité d'envoyer une délégation dès dimanche à Doha. Le Hamas a affirmé vendredi soir qu'il était disposé à « engager immédiatement » des négociations sur une proposition de trêve parrainée par les États-Unis et transmise par la médiation du Qatar et de l'Égypte. Deux sources palestiniennes proches des discussions ont indiqué à l'AFP que cette proposition comprenait une trêve de 60 jours, pendant laquelle le mouvement islamiste relâcherait dix otages encore en vie, ainsi qu'un certain nombre de corps, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël. Sur les 251 personnes enlevées au premier jour de la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du Hamas sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. PHOTO DAWOUD ABU ALKAS, REUTERS Des Palestiniens inspectent les dégâts causés à une école de l'UNRWA abritant des personnes déplacées, touchée par une frappe israélienne nocturne, à Gaza, le 5 juillet 2025. Selon les deux sources palestiniennes, le Hamas exige des conditions sur le retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza, des garanties sur la poursuite de l'arrêt des combats après les 60 jours et une reprise en main de la distribution de l'aide humanitaire par l'ONU et des organisations internationales reconnues. Le président américain, Donald Trump, qui doit accueillir lundi à Washington le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a estimé qu'un accord pourrait être conclu « la semaine prochaine ». Le chef de la diplomatie égyptienne, Badr Abdelatty, a, selon son ministère, discuté au téléphone avec l'émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, des « préparatifs en vue de la tenue de réunions indirectes entre les deux parties concernées ». Deux humanitaires américains blessés À l'occasion d'un rassemblement hebdomadaire à Tel-Aviv, le Forum des familles d'otages a de nouveau appelé les dirigeants israéliens à un « accord global » qui permettrait la libération de l'ensemble d'entre eux d'un coup. « Il est temps de conclure un accord qui sauve tout le monde […], sans sélection », a déclaré à la tribune Macabit Mayer, la tante de deux otages, Gali et Ziv Berman. « Quel dieu peut composer une telle liste ? Et qu'est-ce que ça veut dire pour nous : qu'un seul est sauvé et que l'autre reste captif ? » Sur le terrain, l'armée israélienne étend son offensive militaire dans la bande de Gaza, plongée dans une situation humanitaire critique près de 21 mois après le début des hostilités. PHOTO DAWOUD ABU ALKAS, REUTERS Un garçon passe une école de l'UNRWA qui a été touchée par une frappe israélienne nocturne, le 5 juillet 2025 dans la ville de Gaza. Selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile gazouie, une organisation de premiers secours, 35 personnes y ont été tuées samedi. Contactée par l'AFP, l'armée israélienne a déclaré ne pas être en mesure de faire de commentaires sur des frappes en particulier en l'absence de coordonnées géographiques précises. Elle a par ailleurs indiqué avoir intercepté au-dessus du sol israélien deux « projectiles » en provenance du sud de Gaza. La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisation soutenue par les États-Unis et Israël, a elle annoncé que deux de ses employés américains avaient été blessés dans un « attentat », à la grenade, contre un de ses centres de distribution d'aide, sans que leur pronostic vital ne soit engagé. Compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d'accès à Gaza, il est extrêmement difficile pour l'AFP de vérifier de manière indépendante les affirmations des différentes parties. L'attaque du 7-Octobre a fait 1219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Au moins 57 338 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

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