logo
« Le changement de nom, souvent, est synonyme d'une prise de pouvoir » : partis politiques, la valse des étiquettes

« Le changement de nom, souvent, est synonyme d'une prise de pouvoir » : partis politiques, la valse des étiquettes

Le Parisien2 days ago
Exemple chimiquement pur de la personnification d'un parti politique : en avril 2016, le nom de baptême d'En marche ! reprenait à dessein les initiales d'Emmanuel Macron et le logo était écrit de sa main. Neuf ans plus tard, après la prise de contrôle opérée par son cadet Gabriel Attal, la formation pourrait changer pour la… troisième fois de nom à la rentrée. À l'instar du Rassemblement national (RN), des Républicains (LR) ou des Écologistes, qui ont tous envoyé valser leurs étiquettes quand ils voulaient marquer un tournant. Dis-moi comment tu t'appelles, je te dirai pour qui tu roules…
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Réforme du mode de scrutin des municipales : à Marseille, les mairies de secteur dans le flou
Réforme du mode de scrutin des municipales : à Marseille, les mairies de secteur dans le flou

Le Figaro

timea few seconds ago

  • Le Figaro

Réforme du mode de scrutin des municipales : à Marseille, les mairies de secteur dans le flou

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Avec la réforme du scrutin municipal, les maires de secteur, en particulier ceux de droite, craignent d'être désormais relégués au second plan. D'autant que la question de la répartition des compétences reste sans réponse, ou du moins sans calendrier. En ce début de mois d'août caniculaire, le ciel marseillais est dégagé, sans aucun nuage à l'horizon. Et pourtant, le brouillard s'est abattu sur la vie politique de la Cité phocéenne, après l'adoption définitive de la réforme de la loi PLM. Jusqu'ici, l'élection du maire se faisait dans huit secteurs différents, réunissant chacun deux arrondissements. Pourvoyeurs d'élus pour le conseil municipal, ces mairies de secteur étaient au cœur du jeu politique marseillais à chaque scrutin municipal. Mais, désormais, l'élection du maire se retrouve décorrélée de cette logique, laissant certains maires de secteur, souvent proches de la droite locale, fort dépourvus. « Moi, j'attends avec impatience la parution du décret, confie le maire LR des 11e et 12e arrondissements de Marseille, Sylvain Souvestre. Aujourd'hui, par exemple, on ne connaît pas les règles de représentativité des secteurs sur la liste pour l'élection du maire. On pourrait donc avoir théoriquement une liste sans aucun élu, par exemple…

À Paris, le nouveau mode de scrutin plébiscité par Rachida Dati rebat les cartes pour les municipales 2026
À Paris, le nouveau mode de scrutin plébiscité par Rachida Dati rebat les cartes pour les municipales 2026

Le Figaro

timea few seconds ago

  • Le Figaro

À Paris, le nouveau mode de scrutin plébiscité par Rachida Dati rebat les cartes pour les municipales 2026

Réservé aux abonnés ANALYSE - Dans la capitale, la modification de la loi PLM pourrait profiter à la ministre de la Culture, plus identifiée que ses rivaux. En faisant le choix de censurer la loi agricole, dite Duplomb, vendredi dernier, le Conseil constitutionnel a provoqué un coup de théâtre inattendu au cœur de l'été. De quoi faire passer sous les radars une autre décision des Sages pourtant d'ampleur : leur feu vert pour la réforme de la loi PLM qui acte le changement du mode de scrutin à Paris, Lyon et Marseille dès les élections municipales de mars 2026. Les habitants de ces trois plus grandes villes de France votaient, depuis 1982, à l'échelle de leur arrondissement ou de leur secteur. Ils vont désormais pouvoir directement voter pour la mairie centrale. Cette modification ne bouleverse peut-être pas totalement le jeu mais elle a le mérite de rebattre les cartes, en particulier dans la capitale. La majorité municipale de gauche sortante (PS, EELV, PCF) était vent debout contre le texte. Ses représentants dénoncent un « tripatouillage électoral » de dernière minute, orchestrée pour mettre sur orbite Rachida Dati, la maire du…

Féminicide à Saint-Malo : la victime avait déposé deux plaintes contre son ex-compagnon avant d'être tuée
Féminicide à Saint-Malo : la victime avait déposé deux plaintes contre son ex-compagnon avant d'être tuée

Le Parisien

timea few seconds ago

  • Le Parisien

Féminicide à Saint-Malo : la victime avait déposé deux plaintes contre son ex-compagnon avant d'être tuée

C'est le 55e féminicide depuis le début de l'année, selon le décompte du compte Féminicides par compagnon ou ex. Le parquet de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) a communiqué, ce mardi, des nouvelles informations sur ce drame qui a conduit à la mort, dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 août, de Tatiana Mavel. Cette nuit-là, à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine), Tatiana Mevel, âgée de 36 ans, est égorgée par son ex-compagnon (38 ans), dans la rue devant chez elle, en présence de ses deux filles de 15 et 17 ans. Le suspect avait ensuite pris la fuite. Selon Le Télégramme, qui rapporte les informations révélées par le parquet, le soir du meurtre, la victime, qui passait la soirée chez elle avec ses deux filles, a aperçu son ex-conjoint en bas de son immeuble. Elle serait ensuite descendue de son appartement pour aller à sa rencontre de son ancien compagnon. C'est dans ce contexte qu'une altercation a alors éclaté entre l'homme de 38 ans et Tatiana Mevel, accompagnée de l'une de ses filles. Quelques instants plus tard, il a asséné deux coups de couteau qui s'avéreront mortels au cou de la mère de famille. [3/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Deux plaintes déposées Le hic, comme souvent dans ces drames, c'est que l'ancienne employée municipale de Saint-Jouan-des-Guérets avait déjà déposé deux plaintes à l'égard de son ancien partenaire, révèle le parquet. Une première, avait été déposée le 18 juillet dernier, au commissariat de Saint-Malo, dans laquelle la trentenaire indiquait s'être séparée de son conjoint en début de mois. Elle se disait harcelée de nombreux messages par téléphone et en se présentant régulièrement à son domicile. Les faits étaient alors qualifiés de « harcèlement » par les enquêteurs, même si Tatiana Mevel affirmait ne pas avoir été victime de violence physique, verbale ou sexuelle, ni de menace de mort de la part de son ex. Le 2 août, une seconde plainte avait été enregistrée par la gendarmerie de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine car elle suspectait son ancien compagnon d'avoir dégradé son véhicule. Le jour du drame, les deux enquêtes étaient encore en cours. L'ex abattu par un gendarme Après avoir commis son geste irréparable, le suspect en fuite avait été pris en chasse par les forces de l'ordre, en direction de son logement à Taden, dans les Côtes-d'Armor. Rattrapé par les forces de l'ordre, le fuyard avait adopté une attitude menaçante à leur encontre, armé d'une machette, d'après les résultats des investigations. Après un tir à impulsion électrique sans résultat, confirmé par l'autopsie, l'un des gendarmes l'a abattu de deux coups de feu. L'agent en question avait alors été placé en garde à vue. Aux termes de l'enquête de l'Inspection générale de la gendarmerie (IGPN), le parquet a décidé de le remettre en liberté. Les investigations se poursuivent, indique également le parquet ce mardi. Tatiana Mevel laisse derrière elle trois enfants, deux adolescentes de 15 et 17 ans, ainsi qu'un fils de 8 ans. La garde des deux filles présentes pendant les faits a été confiée à l'aide sociale à l'enfance locale.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store