
Donnarumma, un héros invité à prendre la porte du PSG
Publié aujourd'hui à 19h17
Gianluigi Donnarumma permettait encore au PSG de remporter la Ligue des champions en mai dernier.
IMAGO/Eibner
Héroïque en Ligue des champions au printemps et écarté du groupe en août: le gardien italien Gianluigi Donnarumma connaît un déclassement aussi express qu'inattendu au Paris SG, poussé vers la sortie quelques jours après l'arrivée de Lucas Chevalier.
Difficile d'imaginer le 31 mai dernier, quand le PSG a soulevé la coupe aux grandes oreilles pour la première fois de son histoire en battant l'Inter Milan 5 à 0, que trois mois plus tard un des grands artisans de ce succès serait absent du groupe qui va disputer la finale de la Supercoupe d'Europe, mercredi face à Tottenham à Udine.
Sauveur des Parisiens en huitième de finale face à Liverpool, écartant deux tentatives des Reds lors de la séance de tirs aux buts, le portier de 26 ans s'était de nouveau illustré en demi-finale retour face à Arsenal, écœurant d'entrée les Gunners avec des parades exceptionnelles. Sorties aériennes hasardeuses
Régulièrement sous le feu des critiques depuis son arrivée au PSG en 2021, tant pour ses sorties aériennes hasardeuses que pour l'inconstance de son jeu au pied, un secteur clé dans le jeu prôné par Luis Enrique, Donnarumma semblait avoir clos le débat autour de son poste, dans un club où les gardiens ont défilé depuis l'arrivée des Qataris en 2011.
La mise à l'écart de l'international italien arrive au terme de près d'un an de discussions infructueuses avec les dirigeants parisiens sur une éventuelle prolongation de son contrat, qui se termine en juin 2026.
Le nouvel arrivant, Lucas Chevalier, figure sur la liste pour la rencontre de Supercoupe d'Europe, alors le gardien italien n'y est pas.
IMAGO/Icon Sportswire
Les négociations ont notamment achoppé sur la politique salariale que le PSG souhaite changer: plus de primes aux résultats et moins de fixe.
Des conditions que l'Italien et son entourage n'auraient pas acceptées et qui se sont ajoutées à la frilosité des dirigeants parisiens à repartir pour un nouveau cycle de trois ou cinq ans avec +Gigio+.
Dans l'impasse avec Donnarumma, le PSG a saisi l'opportunité Lucas Chevalier, engageant le gardien de Lille, élu meilleur portier de Ligue 1 la saison dernière, pour les cinq prochaines saisons. «Une gifle à Gigio»
Trois jours seulement après l'arrivée du Nordiste de 23 ans, qui a notamment séduit les dirigeants parisiens pour son jeu au pied, Donnarumma ne figurait pas mardi parmi les trois gardiens convoqués pour la Supercoupe d'Europe.
«Une gifle à Gigio», a titré mardi matin le quotidien sportif italien Gazzetta dello Sport , prenant la défense du portier transalpin, champion d'Europe avec la Squadra Azzurra en 2021. «Après Sirigu et Buffon, à Paris ils en veulent aux gardiens italiens», a surenchéri le Corriere dello Sport.
Toute cohabitation avec le gardien nordiste semble désormais enterrée, d'autant que le directeur sportif Luis Campos aurait assuré à Lucas Chevalier le poste de titulaire.
Une relégation au rang de doublure inacceptable pour Donnarumma et à laquelle il a réagi avec ironie samedi, en postant sur Instagram une photo au côté de sa compagne devant une assiette où il était inscrit «numéro 1».
Pour garder son statut de titulaire à un an de la Coupe du monde, l'Italien devrait tenter de quitter le club de la capitale dans les prochaines semaines.
La Premier League anglaise semble l'option la plus plausible pour lui, où les deux Manchester, en quête de gardien, et Chelsea, récent vainqueur de la Coupe du monde des clubs, ont été évoqués dans la presse sportive comme de potentielles destinations pour Donnarumma.
D'ici à un éventuel départ, le portier italien pourrait intégrer le groupe de lofteurs (joueurs mis à l'écart) du PSG, où figurent notamment Randal Kolo Muani et Renato Sanchez. Loin de la gloire de Munich le 31 mai dernier.
Sur le PSG
AFP
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Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Des images qui, ajoutées à celles des cérémonies et des exploits sportifs, avaient valu de l'or. Au sens propre. Car les comptes du comité d'organisation (reposant essentiellement sur des financements privés), clôturés récemment, affichent 4,418 milliards d'euros de dépenses pour 4,494 milliards de recettes. Soit un bonus de 76 millions d'euros. La Cour des comptes, quant à elle, a chiffré à près de 6 milliards d'euros la dépense publique (organisation, infrastructures, sécurité) liée aux Jeux. Et l'on estime à près de 7 milliards d'euros les retombées économiques, directes et indirectes, de cet été exceptionnel. Un héritage immatériel Mais le plus grand héritage des JO pourrait bien être immatériel. «Tous les indicateurs sont au vert», se félicitait Tony Estanguet, président du comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques, lors d'un grand colloque au Sénat, en mars dernier. «Le rendez-vous a été réussi parce que la France a relevé le défi collectivement. Jusqu'au dernier moment, elle a été saisie de doutes. Ces Jeux spectaculaires ont redonné aux Français de la fierté. Ils ont aussi changé le regard d'un certain nombre de téléspectateurs étrangers sur la France.» Évidemment, tout n'est pas parfait. Le budget français consacré au sport a failli être amputé cette année. Et du point de vue de l'inclusion, de gros progrès restent à faire, notamment pour rendre les transports partout accessibles aux personnes en situation de handicap. Mais le bilan reste largement positif. 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