logo
Tout juste retraité, Romain Bardet joue les assistants sur la 10e étape du Tour de France 2025

Tout juste retraité, Romain Bardet joue les assistants sur la 10e étape du Tour de France 2025

L'Équipe16 hours ago
Alors qu'il a tiré sa révérence à l'issue du Critérium du Dauphiné, Romain Bardet (34 ans) est présent sur les routes de la 10e étape pour distribuer des bidons à ses anciens coéquipiers de la formation Picnic PostNL.
Romain Bardet n'est pas encore complètement « guéri » du vélo. La page de sa carrière professionnelle à peine tournée, depuis la fin du Critérium du Dauphiné le 15 juin dernier, le 2e du Tour de France 2016 a fait une apparition sur le bord de la route lors de la 10e étape de la Grande Boucle, ce lundi.
Romain Bardet (34 ans) a été aperçu entre la côte de la Baraque et celle de Charade, sur ses routes d'entraînement, en train de distribuer des bidons à ses anciens coéquipiers de l'équipe Picnic PostNL. L'Auvergnat avait d'ailleurs reconnu l'étape pour son ancienne formation il y a quelques semaines.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

PSG : planification, nouveau statut, mercato… Les défis à relever après une saison au presque parfait
PSG : planification, nouveau statut, mercato… Les défis à relever après une saison au presque parfait

Le Figaro

time23 minutes ago

  • Le Figaro

PSG : planification, nouveau statut, mercato… Les défis à relever après une saison au presque parfait

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE – Après avoir changé de dimension au cours de la saison 2024-25 qui vient de s'achever, le Paris-SG ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Voilà, c'est fini… 11 mois après le premier match, le 16 août au Havre (1-4), le Paris Saint-Germain a enfin bouclé sa saison 2024-25, «la meilleure de l'histoire du club», dixit Nasser Al-Khelaïfi. Difficile de contredire le président parisien. Au terme de leur marathon de 65 matchs, les Rouge et Bleu ont réalisé un sans-faute sur la scène nationale et remporté la Ligue des champions fin mai. La défaite 0-3 contre Chelsea, dimanche, en finale de la Coupe du monde des clubs, ne suffit pas à ternir le tableau. Cap sur l'avenir désormais, avec un certain nombre d'enjeux et de défis qui attendent les Parisiens dans les semaines, mois et années à venir. Tour d'horizon. Recharger les batteries… et anticiper Ce sera le premier objectif dans les prochaines semaines. «Maintenant, les joueurs ont besoin de vacances pour se reposer», convient Nasser Al-Khelaïfi. Et comment… Le management de Luis Enrique a permis de minimiser les risques en répartissant au maximum les temps de jeu, au moins dans les compétitions nationales. N'empêche…

« C'est impressionnant comme Healy est fort » : le nouveau Maillot Jaune suscite l'admiration du peloton
« C'est impressionnant comme Healy est fort » : le nouveau Maillot Jaune suscite l'admiration du peloton

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« C'est impressionnant comme Healy est fort » : le nouveau Maillot Jaune suscite l'admiration du peloton

Les compagnons d'échappées de la 6e étape racontent la difficulté d'être à l'avant avec le nouveau Maillot Jaune du Tour, Ben Healy. « Ben Healy things. » En français, « des trucs à la Ben Healy ». C'est comme ça qu'un journaliste américain a évoqué, lundi dans la zone des interviews d'après-course, les folies dont l'Irlandais de Education First est capable sur un vélo. L'expression a fait sourire son coéquipier Neilson Powless, qui n'avait pourtant plus beaucoup de forces après avoir « vécu une de (s) es journées les plus dures sur le Tour. La résistance de Ben à la fatigue de la course est quelque chose dont on n'a pas idée », a-t-il soufflé. Pour illustrer son propos, il a pris son propre exemple, qui est quand même celui d'un vainqueur de la Clasica San Sebastian (en 2021). Lundi matin, dixième jour du Tour, au départ d'Ennezat, Powless avait « les jambes comme du bois. Au bout de vingt minutes de course, j'avais quasiment des crampes au mollet, et je voyais bien que la majorité du peloton ressentait comme la fatigue des premières étapes ». Il s'est quand même extrait du peloton avec Healy et deux autres coéquipiers, Alex Baudin et Harry Sweeney, avant de baisser pavillon assez tôt. « Mais lui, Ben, a été capable de rester dans l'attaque et d'aller chercher le Maillot Jaune, admire Powless. Être agressif après un départ aussi difficile, continuer à prendre du temps sur le peloton qui essayait de contrôler, c'est vraiment incroyable. » Healy, l'un des pires compagnons d'échappée C'est parce qu'ils connaissent les « Ben Healy things » que le staff d'Education First a décidé de l'envoyer à l'avant, lundi, dès le début de l'étape, en lui adjoignant trois camarades. « On a pris un grand risque, raconte Jonathan Vaughters, le manager de la formation américaine, l'objectif était de viser le maillot jaune, pas l'étape. Mais je pensais que Ben pouvait le faire. » Comme Healy affichait la bagatelle de 3'55" de retard sur Tadej Pogacar au classement général, avant cette 10e étape où une bataille entre leaders était attendue, personne n'imaginait qu'EF fomenterait un « projet Maillot Jaune » quand le quatuor rose s'est mis à rouler pleine balle dans l'échappée. Même au sein de ce mini-peloton de vingt-neuf coureurs qui s'était formé dès la première difficulté, la côte de Loubeyrat, chacun pensait que Healy était là pour tréfler tout le monde, comme quatre jours plus tôt sur la route de Vire. « Tous les gars de l'échappée avaient l'oeil sur lui pour ne pas qu'il s'en aille, témoigne l'un d'entre eux, Pablo Castrillo (Movistar). Il a tenté de partir plusieurs fois en début d'étape, ça se voit qu'il a beaucoup de force. » Dans la voiture d'Israel-Premier Tech, on disait d'ailleurs à Michael Woods de ne pas perdre trop d'énergie dans des relais ou des contre-attaques : « Tu connais le danger, c'est Healy ! » À le voir s'arracher à chaque coup de pédale comme un coureur sans classe, on ne devine pas forcément cette réputation d'ennemi public. Mais Healy (24 ans) est bien l'un des pires compagnons d'échappée du peloton. « Il est hyper agressif, témoigne Victor Campenaerts (Visma-Lease a bike), il aime choisir des moments inhabituels pour attaquer. » L'idée n'était pas de partir mais de creuser l'écart sur Pogacar « Soit tu es dans la roue quand il part, soit tu n'y arrives jamais, s'amuse son coéquipier chez Education First, Harry Sweeny. Il est incroyablement aérodynamique et a une puissance incroyable. » Au Giro en 2023 (50 km seul), au dernier Tour du Pays basque (57 km) ou lors de l'étape de Vire jeudi dernier (43 km), ses copains fuyards n'ont pas pris sa roue et ils ne l'ont pas revu. Lundi, Healy n'avait donc pas l'idée de partir, mais juste de creuser l'écart sur Pogacar. Ses coéquipiers ont « gagné les minutes à la pédale », et lui a terminé le travail, étouffant notamment l'attaque de Quinn Simmons dans le col de la Croix-Morand avec un relais sans fin, couché sur sa machine, les épaules appuyant sur les pédales autant que les pieds. L'épisode a rappelé des souvenirs récents (et douloureux) à Simon Yates, vainqueur lundi après être beaucoup resté dans les roues. « Ce n'est pas le premier jour que je sens sa force, car j'étais dans l'échappée quand il a gagné l'étape, glisse le Britannique, 5e ce jour-là. C'est impressionnant comme Healy est fort. » Dans les derniers kilomètres, quand son poulain s'est retrouvé seul derrière après avoir beaucoup roulé, Vaughters lui a juste dit : « Oublie tout, concentre-toi sur toi-même et va chercher la ligne. » C'est alors à lui-même que Ben Healy a fait mal, au point de souffler, une fois le podium passé : « Je suis fatigué, fatigué. » Mercredi, un autre défi que l'attaque l'attendra. Car tant qu'il portera sa nouvelle tunique, le premier Irlandais en jaune depuis Stephen Roche n'aura sans doute plus la liberté pour aller dans les échappées, mais il devra donc contrôler depuis le peloton. Ce qui tombe bien pour ceux qui chercheront à faire un coup. À lire aussi Au milieu des frelons de la Visma, Pogacar imperturbable Yates, heureux en embuscade Une étape «sous contrôle» pour UAE Emirates Visma, un feu d'artifice sans bouquet final

« On a tout eu sous contrôle » : sur le Tour, une journée sans encombre pour UAE Emirates
« On a tout eu sous contrôle » : sur le Tour, une journée sans encombre pour UAE Emirates

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« On a tout eu sous contrôle » : sur le Tour, une journée sans encombre pour UAE Emirates

La perte du maillot jaune vécue comme une bénédiction, la gestion à l'économie des attaques de Visma, la formation émirienne a vécu une journée sans encombre. En jaune, en blanc, à pois ou en arc-en-ciel, Tadej Pogacar a passé ses dix premiers jours sur le Tour à changer de tunique mais lundi, en passant la ligne d'arrivée, un simple coupe-vent bariolé a suffi à son bonheur, déchargé de toutes les contraintes médiatiques et protocolaires qui lui pèsent et ne lui coûtent pas loin d'une heure trente de récupération. Une dizaine de minutes après avoir devancé au petit trot Jonas Vingegaard - qu'il a surveillé du coin de l'oeil, car il est son seul et dernier obstacle, avec la poisse, sur la route d'un quatrième sacre -, le Slovène enfilait un sifflet autour du cou et attaquait la descente poussiéreuse vers le Mont-Dore, où son car l'attendait avant un long transfert vers Toulouse. Avec ce voyage de 3 h 30, il a perdu ce qu'il a gagné d'un côté mais tout le monde était dans le même bain, lundi soir, et rien n'aurait pu gâcher cette « journée parfaite, selon son équipier Tim Wellens. On a tout eu sous contrôle, on ne peut pas se plaindre ». En refilant le maillot jaune à Ben Healy tout en tenant l'Irlandais par l'élastique avec Nils Politt et Tim Wellens (« on ne pouvait laisser 8 minutes à un gars aussi fort » , expliquait Simone Pedrazzini, le directeur sportif), « Pogi » s'est offert un répit jusqu'à mercredi et l'étape pour sprinteurs à Toulouse : « C'est bien pour la récupération, estime le directeur sportif. C'est mieux de partir tout de suite après l'étape. » Une équipe affaiblie mais dans la gestion Privée de Joao Almeida (abandon), l'équipe UAE Emirates-XRG a su gérer les attaques spasmodiques de Visma et passer cette étape de moyenne montagne sans encombre. « On a dû travailler mais on le savait, surtout qu'on était un de moins avec le départ de Joao. » Wellens, avec Nils Politt, a oeuvré un peu plus que d'habitude « afin de contrôler et de compenser son absence. On ne voulait pas harceler les autres ». Cette gestion en bon père de famille, Marc Soler l'a justifiée par un souci d'afficher « aucun stress car le Tour est très long ». Qui ne fera pas de mal car Pavel Sivakov, malade depuis quelques jours, n'avait pas retrouvé des couleurs sur les pentes jaunies d'un été déjà brûlant. Le Français a décroché, raccroché le peloton, avant, sur les consignes de son équipe, de se relever définitivement : « Pavel est toujours en phase de récupération, poursuit Pedrazzini. On a préféré qu'il reste dans le gruppetto. On espère qu'avec le jour de repos et l'étape de plat, il va se remettre. »« Plus malade », selon le dirigeant, Sivakov a terminé à près de 36 minutes de Simon Yates, mais on sent bien que la crainte d'un virus se diffuse chez UAE. Après l'arrivée, Marc Soler a évoqué « un mal de gorge » concernant son coéquipier et, on a bien remarqué que le matin, le staff ne tend plus forcément la main ou alors s'empresse de la passer au gel hydroalcoolique. L'an passé, dix jours avant le début du Tour, Pogacar avait été séché par le Covid, sans conséquence par la suite puisqu'il s'était imposé à Nice. Visma mis sous coupe Chaque geste compte et voir Jonas Vingegaard mettre une petite tape dans le dos de son bourreau des deux dernières années et lui serrer la main dessine comme un renoncement. « S'il pouvait attaquer, il le ferait, dissèque Pedrazzini. Sinon, il n'aurait pas lancé les attaques avec Matteo Jorgenson et Sepp Kuss. » Des attaques « un peu agaçantes, a déclaré à la télévision slovène, le triple vainqueur du Tour. Alors j'ai décidé de mieux attaquer. » En vain sur cette étape dangereuse sur le tableau noir, moins sur les monts d'Auvergne poncés par le temps : « Ils (Visma-Lease a bike) ont beaucoup essayé mais les pentes n'étaient pas assez fortes pour réaliser des différences. On s'est neutralisés mais de mon côté, je me sentais très bien. » Sa course à l'économie depuis Lille ne l'empêche pas d'allumer un pétard de temps en temps « parce que c'est Tadej », répond inlassablement Simone Pedrazzini, pas mécontent d'avoir maté tactiquement la formation néerlandaise : « On s'occupe de nous mais on essaie d'anticiper, de penser à ce qu'ils peuvent faire. » Attendre, défendre et pendre le Danois dans le final mais avant d'attaquer Hautacam, jeudi, l'équipe au budget de plus de 60 M€ aimerait bien que d'autres prennent le volant et le directeur sportif suisse espère que certains vont sortir le bleu de chauffe avec la décantation de la course : « On a été les seuls à travailler aujourd'hui (lundi) à part Visma à la fin mais lors des prochaines étapes, des équipes s'y mettront car des coureurs voudront entrer dans le top 10 ou y rester. C'est bon pour nous. » Au bout d'une journée balayée par un petit vent rafraîchissant au puy de Sancy, Marc Soler résumait le sentiment des siens : « Je ne pense pas qu'on puisse se plaindre. N'importe quelle équipe apprécierait d'être à notre place. Nous sommes là où nous voulions être. » À lire aussi «S'il y a Tadej, personne ne dit rien» Visma, un feu d'artifice sans bouquet final Healy, un nouveau Maillot Jaune qui suscite l'admiration du peloton Au milieu des frelons de la Visma, Pogacar imperturbable

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store