
Dominique Malonga bat son record de points en WNBA mais n'empêche pas la défaite de Seattle face à Las Vegas
Le Seattle Storm a subi une quatrième défaite consécutive vendredi en saison régulière de WNBA, s'inclinant sur le parquet des Las Vegas Aces (90-86). Malgré ce revers, Dominique Malonga, la pivot française de Seattle, choisie en deuxième position de la draft en avril dernier, a brillé.
La jeune femme de 19 ans a amélioré son record de points dans sa première saison WNBA avec 22 unités à son compteur vendredi (8/11 au shoot et 6/7 aux lancers francs), finissant meilleure marqueuse de son équipe. Sa précédente marque-référence était ses 14 points marqués contre Chicago le 25 juillet dernier. Malonga a également pris 12 rebonds, là aussi un nouveau record dans sa carrière américaine (10 contre Chicago).
Triple-double de Julie Allemand
Gabby Williams se distingue également
Sa compatriote Gabby Williams s'est également montrée face à Las Vegas avec 14 points. Mais Seattle s'est heurté à A'ja Wilson et Jackie Young, autrices respectivement de 29 et 26 points. Le Storm pointe à la quatrième place de la conférence Ouest avec un court bilan positif (16 victoires contre 15 défaites).
Le New York Liberty, champion en titre, a enchaîné un troisième succès d'affilée, en s'imposant chez les Dallas Wings (88-77) avec 10 points de Marine Johannès.

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« Je veux faire partie de cette nouvelle aventure » à Lens, assure Adrien Thomasson avant la reprise de la Ligue 1
En fin de contrat en juin 2026, Adrien Thomasson sera capitaine du RC Lens contre l'OL samedi (17h). Le milieu de 31 ans apprécie les changements estivaux au sein du club nordiste, le discours et la méthode de son nouvel entraîneur, Pierre Sage. « Dans quel état d'esprit êtes-vous à Lens à l'entame de cette nouvelle saison ?Il y a eu tellement de changements au sein du club, que ce soit au niveau de la direction et du staff cet été, qu'il était opportun pour moi d'attendre. Il me reste un an de contrat. Je me sens très heureux ici. Je ne me vois pas ailleurs. Je suis heureux de faire partie de cette nouvelle aventure. Les changements ont été bénéfiques. Pouvez-vous nous décrire la méthode quotidienne de Pierre Sage ?Elle est vraiment différente de la saison dernière. On a vécu une bonne préparation. On commence à comprendre de mieux en mieux ce que veut le coach. On avait une proximité avec l'ancien entraîneur (Will Still) du fait de son âge. Là, ça se rapproche de ce qu'on a vécu avec le coach Haise il y a deux ans. Je suis agréablement surpris. On bosse bien. Je ressens des ondes positives. Ce qu'il met en place correspond aux attentes des supporters et de tout un club. Dès le début, on a senti que le ballon serait au centre de la préparation. C'est la chose la plus importante aux yeux du coach et du staff. On n'a quasiment fait aucune séance où on ne faisait que courir. C'est la première fois de ma carrière que l'on se concentre sur le jeu et les exercices avec ballon. Le coach a très vite identifié le plaisir que prend un footballeur. C'est ce qui va plaire dans une conception moderne du jeu. Quelles sont vos ambitions sportives cette saison ?On a fait de bonnes choses lors de nos sept matches de préparation, hormis deux mi-temps. Les ambitions sont imposées par les dirigeants. Comme joueur, je veux faire mieux que la saison dernière (8e). Que va vous apporter Florian Thauvin ?Déjà son insouciance, son expérience, sa créativité et son aisance technique dans le dernier tiers du terrain. À 32 ans, il se connaît parfaitement. Il a connu divers contextes et Championnats. Son intégration se passe très bien. Son profil est une difficulté pour l'adversaire. Il ne se met pas forcément dans une position habituelle. Il a cette liberté de naviguer. Sur le deuxième but contre Leipzig (2-1), il rentre côté droit et finit côté gauche. Un joueur qui fuit les contacts est plus difficile à gérer pour un défenseur. « Ca ne me dérangerait pas qu'une caméra soit dans notre vestiaire. (...) A chaque fois que j'ai regardé des émissions immersives, c'était vraiment intéressant » Encouragez-vous votre entourage à s'abonner à Ligue 1 + ?À titre personnel, c'est la première fois que je leur mets la pression pour s'abonner. C'est une manière de supporter son équipe mais aussi l'écosystème. Dans le vestiaire, on est quelques-uns à obliger les joueurs à s'abonner. L'enjeu est très important pour tous les acteurs du foot français. J'attends de voir des choses différentes proposées. En termes de spectacle, que les clubs jouent le jeu. Ça ne me dérangerait pas qu'une caméra soit dans notre vestiaire. Juste l'image. Ou que l'on mette un micro sur un joueur pendant l'échauffement. On part de vraiment loin. C'est la bonne année pour offrir de nouvelles choses. Tout le monde est demandeur. On est dans un milieu où l'état d'esprit reste trop fermé. On est méfiant sur tout. On a peur de toute prise de parole. C'est frustrant. À chaque fois que j'ai regardé des émissions immersives, c'était vraiment intéressant. C'est ça le sport. J'espère que ça va changer. Que peuvent vous apporter les jeunes au milieu ?Andy (Diouf) a fait une bonne partie de la saison dernière. C'est un joueur qui va monter en puissance. Il y a pas mal d'attentes autour de lui. J'ai été agréablement surpris par la semaine d'entraînement d'Andrija Bulatovic la saison dernière. Il aime bien avoir le ballon, il a un super pied sur les phases arrêtées, une très bonne frappe. Fodé (Sylla) a vraiment progressé après son prêt la saison dernière en Suisse (Yverdon Sport). Hamzat (Ojeridan) faisait mal aux chevilles aux entraînements la saison passée. On lui a assez répété de faire attention car il fait des fautes spectaculaires. Dans ce sens, il a compris. L'avenir du club est entre de bonnes mains au milieu. Mon rôle est d'essayer de trouver un bon équilibre et de permettre à ces joueurs de briller. Je sais mes qualités. Je ne ferai jamais l'unanimité. Je n'ai pas les qualités d'explosivité et de vitesse qui sautent aux yeux. Je vis avec ça depuis le début de ma carrière. Mais j'essaye de les conseiller. Eux le peuvent aussi. Ils m'apprennent de leurs expériences respectives. Nos jeunes sont à l'écoute. Ils ont de vraies valeurs. C'est un plaisir de travailler avec eux. »


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Satisfait du recrutement effectué jusqu'ici par l'Olympique de Marseille, le technicien italien Roberto De Zerbi est prêt à entamer sa seconde saison de Ligue 1 sur le banc des Phocéens. Privé de Facundo Medina (suspendu) et d'Igor Paixao (blessé) pour le déplacement à Rennes, vendredi à l'occasion de la première journée de L1, Roberto De Zerbi a affiché une belle sérénité à la Commanderie, ce jeudi après-midi. L'ambitieux entraîneur italien n'a pas voulu détailler les contours de ce que serait une saison de rêve pour lui, mais il a hâte de commencer ce second exercice sur le banc de l'OM. « Comment jugez-vous votre campagne de préparation ?On a bien travaillé, il n'y a pas eu de blessures. On a fait un bon stage aux Pays-Bas, un autre en Andorre, on a conclu par les deux matches amicaux prestigieux au Vélodrome, mais on avait affronté aussi avant cela Gérone, Valence, des équipes compétitives, et cela nous permet d'arriver en forme physique. On a aussi varié les temps de jeu, on a essayé d'en donner aux joueurs arrivés plus tard, comme Aubameyang ou Egan-Riley. Après, on a zéro point au classement aujourd'hui. La victoire contre Aston Villa (3-1, le 9 août) et le nul contre Séville (1-1, le 2 août) n'ont pas rapporté de points. Demain, c'est vraiment le début de quelque chose de totalement différent et tout ce qui a été fait jusqu'ici ne compte pas. Les promesses de la deuxième saison de l'OM version De Zerbi Quelle est votre réflexion sur la composition de votre défense, en l'absence de Medina ?On a plusieurs options. CJ (Egan-Riley) peut jouer central, Cornelius, Kondogbia aussi, qui revient en forme et peut jouer milieu défensif. Weah est là, sur le côté, Murillo, Garcia... J'ai encore quelques doutes, je choisirai entre aujourd'hui et demain (vendredi). « Quand on part, il faut savoir ce qu'on laisse derrière soi. Ils ont voulu rester à l'OM, et cela nous fait énormément plaisir » A propos de Balerdi, Rulli, Rabiot, Höjbjerg et Greenwood Comment jugez-vous ce mercato estival de l'OM, à ce stade ?On est plus compétitifs. On aura plus de matches, des rencontres rapprochées, des engagements dans plusieurs compétitions. On devra gérer les charges de travail, il y aura des blessés, forcément, c'est la vie d'un club. Le mercato n'est pas fini entre les départs et les arrivées. On attend encore, mais je suis très content de ce qui a été réalisé. À l'exception de Rongier, les cadres sont restés. Craignez-vous une offensive de dernière minute sur l'un d'entre eux, d'ici à la fin du mercato ?En ce qui concerne les cadres, je ne pense pas. Avoir conservé Balerdi, Rulli, Rabiot, Höjbjerg, Greenwood, ce n'est pas seulement important pour moi ou pour eux-mêmes, pour le club. C'est facile de partir de l'OM, mais c'est difficile de trouver un club semblable. Quand on part, il faut savoir ce qu'on laisse derrière soi. Ils ont voulu rester à l'OM, et cela nous fait énormément plaisir. L'OM, « le plus argentin des clubs français » Est-ce un petit désavantage d'affronter, dès la première journée, Valentin Rongier et Quentin Merlin, deux joueurs qui connaissent votre système de jeu par coeur ?Dans le foot, il n'y a plus vraiment de secrets. Nous aussi, on les connaît très bien, on a étudié leurs matches, depuis la saison dernière, et les méthodes de leur nouvel entraîneur (Habib Beye). Rongier, Merlin, Lilian Brassier aussi, ce sont trois joueurs forts, qui ont quitté l'OM pour des raisons différentes, mais très respectables. Quelle sera la clé de cette rencontre face à Rennes ?Je ne sais pas si on propose le même style, mais c'est une équipe très organisée, ce sera un match difficile. Il faudra bien interpréter la rencontre, être bien discipliné. Le match sera compliqué pour nous, mais pour eux aussi. »


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Blessé depuis Wimbledon, Matteo Berrettini déclare forfait pour l'US Open
Toujours pas à 100 %, Matteo Berrettini a déclaré forfait pour l'US Open ce jeudi et manquera le Grand Chelem new-yorkais pour la première fois de sa carrière. L'Italien n'a disputé qu'un match depuis le Masters 1000 de Rome mi-mai. Matteo Berrettini va manquer un nouveau Grand Chelem en 2025. Déjà privé de Roland-Garros, l'Italien a déclaré forfait ce jeudi pour l'US Open, sans préciser la raison précise dudit forfait. Demi-finaliste du tournoi new-yorkais en 2019, il n'avait jamais manqué ce rendez-vous depuis le début de sa carrière. Berrettini (29 ans), ancien 6e joueur mondial retombé à la 59e place, vit une deuxième partie de saison grandement perturbée par les blessures. Contraint d'abandonner au 2e tour du Masters 1000 de Rome contre Casper Ruud (7-5, 2-0, ab.), il n'a disputé qu'un match sur le circuit principal depuis, un 1er tour à Wimbledon qu'il a perdu contre le Polonais Kamil Majchrzak en cinq sets (4-6, 6-2, 6-4, 5-7, 6-3). Il enchaîne un cinquième forfait de rang, l'Italien ayant précédemment renoncé aux tournois de Gstaad et Kitzbuhel, puis aux Masters 1000 de Toronto et Cincinnati.