
Trump réclame 10 milliards de dollars au Wall Street Journal : comment il instrumentalise la justice pour museler la presse
Jeffrey Epstein
en 2003, l'a semble-t-il particulièrement mis en rogne, au point que le président américain a annoncé
poursuivre en diffamation le média
et son patron Rupert Murdoch. Montant réclamé : « pas moins que » 10 milliards de dollars.
Dans cette plainte, il est mentionné que les auteurs « ont inventé cette histoire pour ternir la réputation et l'intégrité du président Trump, et le présenter de manière trompeuse sous un jour mensonger ».
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Le Figaro
6 minutes ago
- Le Figaro
Trump assure n'avoir «jamais» été informé de la présence de son nom dans le dossier Epstein
Donald Trump a assuré vendredi 25 juillet qu'il n'avait «jamais été informé» de la présence de son nom dans les documents judiciaires ayant conduit à l'inculpation du riche financier Jeffrey Epstein pour trafic sexuel de mineures en 2019. «Je n'ai jamais, jamais été informé», a répondu le président américain, que cette affaire empoisonne depuis plusieurs jours, interrogé par des journalistes à sa descente d'avion à son arrivée en Écosse.


Le HuffPost France
4 hours ago
- Le HuffPost France
Affaire Jeffrey Epstein : comme Donald Trump, Bill Clinton avait écrit au criminel sexuel pour ses 50 ans
ÉTATS-UNIS - L'album anniversaire des 50 ans de Jeffrey Epstein continue de faire parler aux États-Unis. Après avoir révélé qu'une lettre salace et un croquis de femme nue au nom de Donald Trump figuraient dans le livre d'or adressé au délinquant sexuel en 2003, le Wall Street Journal assure dans un article paru jeudi 24 juillet que l'ex-président Bill Clinton avait lui aussi laissé un petit mot. Cette révélation n'est pas une bonne nouvelle pour le démocrate. Arrêté en juillet 2019 pour des crimes sexuels et mort en prison la même année, Jeffrey Epstein est un des hommes les plus détestés d'Amérique et l' « affaire Epstein » continue de fasciner les complotistes, persuadés que l'homme d'affaires controversé pourrait entraîner dans sa chute des personnalités célèbres qui auraient trempé dans ses trafics. Lire aussi Donald Trump, empêtré dans l'affaire Epstein, allume un contre-feu en visant Barack Obama Le mot que lui a adressé Bill Clinton pour ses 50 ans figure au chapitre « amis » du livre d'or, tout comme celui de Donald Trump. « C'est rassurant, n'est-ce pas, d'avoir duré aussi longtemps, à travers toutes ces années d'apprentissage et de connaissances, d'aventures et de (le mot est illisible, NDLR), et d'avoir conservé votre curiosité enfantine, votre envie de faire la différence et le réconfort de vos amis », avait écrit le 42e président des États-Unis (de 1992 à 2000). Clinton figurait déjà dans la « liste Epstein » de 2024 En plus de Bill Clinton et Donald Trump, la section « amis » du recueil – préfacé et initié par Ghislaine Maxwell, la compagne de Jeffrey Epstein condamnée en 2022 à 20 ans de prison – comprend aussi la signature du milliardaire Leon Black, de la créatrice Vera Wang ou de l'ex-directrice de Victoria's Secret Leslie Wexner. Y figure aussi un mot du Français Jean-Luc Brunet, directeur d'agence de mannequins. Comme le rappelle Le Parisien, ce dernier s'est aussi suicidé en prison après avoir été accusé de fournir Jeffrey Epstein en mineures prostituées. Bill Clinton avait déjà été épinglé pour ses liens avec le criminel sexuel. Son nom figurait dans la liste de connaissances, proches, victimes ou complices présumés révélée en janvier 2024 par une juge new-yorkaise. Mais cette mention du président démocrate, tout comme celle de Donald Trump, ne faisait pas état du « moindre comportement illégal ou répréhensible de leur part », souligne Le Figaro. Le mari d'Hillary Clinton avait également été mis en cause pour avoir voyagé plusieurs fois dans l'avion privé de Jeffrey Epstein, souvent utilisé pour se rendre dans sa propriété des îles Vierges américaines et décrite par certains comme l' « île de la pédophilie », où des proies y arrivaient par jets privés. Bill Clinton avait alors indiqué n'avoir voyagé à bord de l'appareil qu'à quatre reprises et dans le cadre de son travail humanitaire, rapporte Le Parisien. Par la voix de son cabinet, le démocrate avait assuré en 2019 ne « rien » savoir des en 2008 ou ceux dont il venait d'être accusé à New York.


Le Parisien
4 hours ago
- Le Parisien
Trêve à Gaza : le Hamas et les États-Unis s'accusent mutuellement après l'échec des négociations
La possible porte de sortie du conflit s'est à nouveau refermée. Donald Trump a affirmé ce vendredi que le Hamas « ne voulait pas d'accord » après l'échec des négociations en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza , ajoutant que le mouvement islamiste voulait « mourir ». Le locataire de la Maison-Blanche a également dit s'attendre à ce qu'Israël « finisse le travail ». De son côté, le Hamas accuse l'émissaire américain Steve Witkoff de revirement après que ce dernier a acté l'échec des négociations indirectes , à Doha, entre le mouvement islamiste et Israël, entamées il y a deux semaines. Les déclarations côté américain « s'inscrivent dans une logique de soutien à la position israélienne » a dénoncé Bassem Naïm, important membre du bureau politique du Hamas. Le Hamas accuse les États-Unis d'avoir changé d'avis puisqu'il y a « seulement quelques jours » les échanges étaient positifs. « Les médiateurs ont accueilli très positivement la réponse du Hamas, qu'ils ont considérée comme constructive et susceptible de mener à un accord, d'autant qu'elle se rapproche largement de la proposition soumise par les médiateurs aux deux parties », a affirmé Bassem Naïm. Il a même déclaré qu'un « accord de principe » avait été trouvé pour « une formule » d'échange entre personnes prises en otages en Israël le 7 octobre 2023, et prisonniers palestiniens détenus par Israël. Pour sa part Donald Trump a insinué que le mouvement islamiste palestinien ne souhaitait pas conclure un accord. « Ils savent ce qui se passe après qu'on a récupéré les derniers otages », a-t-il affirmé, ajoutant qu'une fois l'accord trouvé le Hamas « perdra son bouclier, sa couverture » et ses membres seront « traqués ». Sur les 251 personnes enlevées le 7 octobre 2023 par le Hamas, 49 restent otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée. Le Hamas a appelé l'émissaire américain à « faire pression » sur le gouvernement israélien qui n'a pas l'intention de parvenir à un accord de trêve, selon lui. Le Premier ministre israélien a lui estimé plus tard jeudi que Steve Witkoff avait « vu juste » dans ses déclarations sur les négociations et que « le Hamas [était] l'obstacle à un accord de libération des otages ». L'échec de ces négociations fait craindre le pire pour l a population palestinienne de Gaza, alors que des organisations humanitaires ont alerté vendredi sur une flambée de la malnutrition infantile dans le territoire, dévasté par plus de 21 mois de guerre. « Environ un tiers des habitants de la bande de Gaza ne mangent pas pendant des jours et la malnutrition est en forte augmentation », a indiqué vendredi le Programme alimentaire mondial (PAM), l'agence de l'ONU s'occupant de l' aide alimentaire .