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Le zoo de Londres procède à la pesée annuelle de ses animaux

Le zoo de Londres procède à la pesée annuelle de ses animaux

La Presse2 days ago
Le zoo de Londres procède à la pesée annuelle de ses animaux
Le zoo de Londres a procédé mardi à la pesée annuelle de ses animaux, notamment les lémuriens à queue annelée, les capybaras, les manchots et les tortues.
Agence France-Presse
Les données recueillies auprès des 10 000 animaux appartenant à 400 espèces sont partagées dans une base de données avec les gardiens de zoo du monde entier afin de contribuer à la préservation des espèces menacées.
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Les incidents ont commencé lorsque les partisans chiliens ont lancé des projectiles, dont des sièges et une bombe artisanale, vers les tribunes inférieures et latérales où se trouvaient des partisans argentins qui les ont renvoyés, a constaté un journaliste de l'AFP. Au milieu du chaos, sans que les forces de sécurité n'interviennent, les partisans argentins ont escaladé la tribune supérieure pour s'en prendre à leurs homologues chiliens. Des images diffusées sur les réseaux sociaux ont montré des personnes se battant à coups de bâtons ou de matraques. Un partisan – apparemment chilien – a sauté dans le vide depuis la tribune supérieure après avoir été acculé. Selon l'ambassadeur du Chili en Argentine, José Antonio Viera-Gallo, l'homme est hors de danger, un toit ayant amorti sa chute. Le ministère chilien des Affaires étrangères a indiqué que 19 de ses citoyens avaient été hospitalisés et que 101 personnes avaient été arrêtées. Six mineurs ont été remis en liberté. Un rapport médical cité par la presse argentine indique que trois Chiliens sont gravement blessés, dont deux avec un pronostic réservé. Tous présentent un traumatisme crânien, l'un d'eux s'étant blessé après s'être jeté dans le vide depuis la tribune, acculé par des partisans locaux. Bien que son état ait évolué favorablement après une opération, il reste grave, ont précisé les autorités sanitaires. « Par miracle, il n'y a pas eu de morts », a estimé le président du club de l'U, Michael Clark. « Ils ne savent pas organiser un match de cette envergure, tout le monde sait que des objets volent d'un côté à l'autre », a déclaré à l'AFP un partisan chilien, Victor Cepeda, attendant des amis arrêtés devant un commissariat. Face à la « gravité de ce qui s'est passé », le président du Chili, Gabriel Boric, a dénoncé un « lynchage inacceptable de Chiliens » et annoncé l'envoi en Argentine de son ministre de l'Intérieur, Alvaro Elizalde. « Nous allons protéger les droits de nos citoyens sans préjuger des responsabilités que pourrait établir la justice », a-t-il écrit sur X. « Passivité », « irresponsabilité » L'Association nationale de football professionnel (ANFP) chilienne a critiqué la « passivité » des personnels de sécurité du stade. Le président chilien a pointé une « irresponsabilité évidente dans l'organisation ». Au moins 650 policiers et agents de sociétés privées devaient assurer la sécurité au sein et en dehors de l'enceinte sportive. Le ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires, Javier Alonso, a rejeté la responsabilité sur l'organisateur de la compétition, la Confédération sud-américaine de football (CONMEBOL), qui aurait dû « suspendre le match », car il était selon lui « évident qu'il y avait une attitude très hostile » de la part des partisans chiliens, a-t-il déclaré à Infobae. Une enquête a été ouverte par le parquet argentin. Des enquêteurs procédaient jeudi à l'inspection du stade et ont réclamé les images de vidéosurveillance, selon une source du club d'Independiente à l'AFP. La CONMEBOL a indiqué jeudi que « l'affaire a été transférée [à ses] organes judiciaires » et qu'elle « agirait avec la plus grande fermeté ». Le président de la FIFA, Gianni Infantino, a demandé que « les autorités compétentes imposent des sanctions exemplaires ». Le football sud-américain est régulièrement en proie aux violences et aux débordements. 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Un nombre record de demandes d'asile
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time9 hours ago

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Les demandeurs d'asile au Royaume-Uni sont principalement des Pakistanais (10,1 % du total) puis des Afghans, des Iraniens et des Érythréens. Près de 40 % d'entre eux sont arrivés au Royaume-Uni après avoir traversé la Manche, à bord de petits bateaux. (Londres) Plus de 111 000 personnes ont demandé l'asile au Royaume-Uni ces 12 derniers mois, un record annoncé alors que le gouvernement travailliste, qui avait promis de réduire l'immigration, est accusé par l'opposition d'avoir « perdu le contrôle des frontières ». Caroline TAÏX Agence France-Presse La publication de ces chiffres par le ministère de l'Intérieur intervient au moment où le gouvernement de Keir Starmer, au pouvoir depuis juillet 2024, est confronté à la colère croissante d'élus locaux et d'une partie de la population contre l'hébergement de dizaines de milliers de ces demandeurs d'asile dans des hôtels. Un total de 111 084 personnes ont demandé l'asile sur la période allant de juin 2024 à juin 2025. Ce chiffre, en hausse de 14 % sur un an, est le plus élevé sur 12 mois depuis le début des relevés en 2001. Cependant, le Royaume-Uni n'était, à la fin mars, qu'en cinquième position en Europe, derrière l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et la France, selon le ministère de l'Intérieur. Les demandeurs d'asile au Royaume-Uni sont principalement des Pakistanais (10,1 % du total) puis des Afghans, des Iraniens et des Érythréens. Près de 40 % d'entre eux sont arrivés au Royaume-Uni après avoir traversé la Manche, à bord de petits bateaux. « Perdu le contrôle » Depuis le début de l'année, près de 28 000 migrants sont arrivés à bord de ces embarcations de fortune. C'est là aussi un record pour cette période de l'année, depuis le début des relevés en 2018. Les conservateurs accusent les travaillistes d'avoir « perdu le contrôle des frontières », une critique qui leur était adressée il y a peu, quand ils étaient au pouvoir (2010 à 2024). La population « a raison d'être très en colère », pour Nigel Farage, le chef du parti anti-immigration Reform UK, qui ne cesse de monter en puissance, au point d'être désormais en tête dans les sondages. « Nos rues deviennent plus dangereuses et pourtant cette catastrophe s'aggrave », a-t-il affirmé. La ministre de l'Intérieur Yvette Cooper a défendu jeudi l'action du gouvernement affirmant qu'il « remettait de l'ordre » dans le système d'asile et avait « renforcé les contrôles britanniques en matière de visas et d'immigration et réduit les coûts liés à l'asile ». Le retard dans le traitement des demandes d'asile a été réduit. Les expulsions ont augmenté de 25 % sur un an : 9072 migrants ont été forcés à quitter le Royaume-Uni, au plus haut depuis décembre 2018. Près de la moitié d'entre eux sont des Roumains et des Albanais. Le gouvernement a signé des accords avec plusieurs pays afin de faciliter les expulsions et démanteler les réseaux de passeurs qui facilitent les traversées. Hôtels pour demandeurs d'asile Un accord conclu avec Paris est entré en vigueur début août : il prévoit le retour en France de migrants arrivés à bord de petites embarcations au Royaume-Uni en échange de l'envoi outre-Manche de migrants se trouvant en France. Depuis plusieurs semaines, la grogne contre l'immigration s'exprime devant les hôtels où sont hébergés des demandeurs d'asile. Des tensions ont eu lieu devant plusieurs d'entre eux, notamment à Epping au nord de Londres, opposant manifestants et contre-manifestants. La justice a ordonné mardi de cesser temporairement d'héberger des demandeurs d'asile dans cet hôtel, après un recours de la municipalité. Des élus locaux ont indiqué qu'ils allaient à leur tour demander le départ des migrants des hôtels sur leur territoire. Keir Starmer a promis d'arrêter d'avoir recours à ce type d'hébergement, jugé trop onéreux, d'ici 2029. Quelque 32 059 demandeurs d'asile étaient logés dans des hôtels fin juin, une augmentation de 8 % sur un an, mais une forte baisse depuis le record de 56 042 personnes établi fin septembre 2023, quand les conservateurs étaient au pouvoir. Keir Starmer avait affirmé vouloir adopter une approche plus humaine que ces derniers sur le sujet épineux de l'immigration. Mais il a choqué une partie de l'électorat travailliste et les défenseurs des migrants en déclarant en mai que le Royaume-Uni risquait de devenir une « île d'étrangers ». Il avait ensuite dit « regretter » ces propos.

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