
Anthony Taylor au sifflet de PSG-Bayern en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs
Un choc au programme. Alors que le PSG et le Bayern Munich s'affronteront à la Mercedes-Benz Arena d'Atlanta, l'Anglais Anthony Taylor aura la mission d'officier pendant cette partie entre le club français et l'équipe allemande. Si l'enceinte couverte a réussi aux Parisiens en huitièmes de finale, avec la large victoire contre l'Inter Miami (4-0), il en va souvent de même pour l'homme en noir de 46 ans.
En 8 rencontres sur le pré avec le PSG, il a assisté à 5 succès pour 1 nul et 2 défaites. Un bilan favorable même si la dernière en date reste la plus douloureuse. Contre un autre club allemand, le Borussia Dortmund, l'équipe de Luis Enrique s'était inclinée 1-0 en demi-finales aller de Ligue des champions le 1er mai 2024.
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Dilane Bakwa (Strasbourg) est d'accord avec Côme, mais son départ en Italie n'est pas acquis
Après Habib Diarra, Strasbourg pourrait réaliser une nouvelle grosse vente avec son milieu offensif Dilane Bakwa, qui s'est entendu avec le club italien de Côme. Mais son avenir n'est pas fixé. Il a été, ces dernières semaines, l'un des techniciens les plus courtisés du continent. Cesc Fabregas aurait pu signer à Leverkusen ou à l'Inter Milan. L'entraîneur de Côme, bien décidé à honorer sa deuxième saison pleine sur le banc du club italien, est désormais lancé dans une campagne de recrutement ambitieuse. L'ex-milieu espagnol (38 ans) dispose d'une surface financière importante. Si le dossier du Milanais Alvaro Morata (32 ans) a occupé ses journées récemment, Fabregas s'est lancé depuis plusieurs semaines dans une opération séduction d'envergure : celle menant au milieu offensif de Strasbourg Dilane Bakwa. Auteur d'une saison aboutie - 6 buts, 9 passes décisives -, l'ancien Bordelais (22 ans) dispose d'une cote évidente sur le marché. Des clubs anglais comme allemands ont pris des renseignements. Mais Côme entend battre cette concurrence et a multiplié les initiatives pour le convaincre de rejoindre le nord de l'Italie. Avec des arguments d'envergure : la possibilité de disposer d'un temps de jeu garanti, aux côtés de l'un des techniciens les plus prometteurs en Europe et dans un cadre sportif ambitieux. Un club amené dès cette saison à lutter pour les places qualificatives pour les Coupes d'Europe. Bakwa privilégiait un club qualifié pour l'Europe Un accord contractuel entre le joueur et le club italien a été trouvé ces dernières semaines. Mais Bakwa (sous contrat jusqu'en 2027), qui privilégiait en cas de départ cet été un club qui dispute une compétition continentale, entend encore attendre avant de donner son feu vert définitif. Il sait néanmoins qu'il devra se déterminer dans les prochains jours. Côme, qui en a fait sa priorité, veut être fixé rapidement, pour ensuite se lancer dans les négociations avec Strasbourg, qui a déjà vendu son capitaine Habib Diarra pour quelque 31,7 M€ à Sunderland.

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« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York
Porté par la vague de son succès européen, le PSG, opposé au Real Madrid mercredi (21h) en demi-finales de la Coupe du monde des clubs, gagne peu à peu en notoriété à New York, où il a un magasin sur la prestigieuse 5e avenue. Même s'il reste très loin des sports US. Sur les écrans géants de Times Square et sur les abribus, les portraits d'Ousmane Dembélé ou de Vinicius s'affichent fièrement. Au milieu des flots de passants, il faut pourtant s'armer de patience pour trouver un Yankee du cru qui se passionne pour la Coupe du monde des clubs. « Ça doit être de super joueurs s'ils ont droit à une telle promo », siffle Brian (33 ans), originaire du Queens, incapable d'en identifier un. Pour accueillir les demi-finales et la finale, la FIFA a choisi le MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey), à quelques kilomètres de Manhattan. L'occasion de toucher aussi les nombreuses communautés étrangères de New York. « L'arrivée de Lionel Messi (à Miami, en 2023) a boosté la MLS, mais ça reste très loin derrière la NFL ou la NBA, explique Atlas, un Turc de 25 ans fan des NY Red Bulls. Parmi mes collègues américains, pas un ne s'intéresse au soccer. Pour ceux qui aiment, comme moi ou mes amis mexicains, le Real Madrid reste au-dessus, mais je sens qu'il y a une hype autour du PSG. C'est un club qui a du style, cool, ils cherchent à vendre cette image ici. » Un effet Ligue des champions Tout sauf un hasard. Le champion d'Europe est le seul club européen à avoir un magasin dans la Grand Pomme, et pas n'importe où : sur la prestigieuse 5e Avenue. « J'ai été très surprise de la trouver ici, pour moi la 5e, c'est plutôt Tiffany, s'esclaffe Barbara (33 ans), une Parisienne installée à Marseille venue avec son frère Grégoire (27 ans) acheter un maillot. Je viens régulièrement aux États-Unis, et si je croise plus de maillots PSG, c'est surtout portés par des Français. » De fait, dans les allées de Central Park, on n'a croisé lundi matin aucun maillot rouge et bleu parmi les centaines de joggeurs venus lancer leur journée, quand les tuniques de NBA rivalisaient avec celles de foot US, sans parler des casquettes des Yankees. Et la seule tunique parisienne croisée en plusieurs heures de déambulations était sur les épaules de Mikel (10 ans), un jeune « fan de Mbappé » accompagné de son père Miguel, un Mexicain venu de l'Illinois. Mais la stratégie lifestyle assumée du PSG, appuyée par le partenariat fructueux avec Jordan, assure à sa boutique, ouverte en 2022 avant de déménager de quelques blocs en 2023, un joli succès amplifié par la victoire en Ligue des champions. « On a beaucoup plus de clients depuis, c'est clair, je n'arrête pas, sourit Eileen, la manager, qui a croisé il y a quelques années Achraf Hakimi et Gianluigi Donnarumma dans les locaux. D'ailleurs, on est sold out sur les maillots Dembélé. Tout le monde nous dit que c'est le maillot du futur Ballon d'Or ! » « Avant, on n'était que des Français dans le fan-club, maintenant il y a aussi des Américains et des Latinos » Julian Stein, président du fan-club parisien de New York Installé à deux pas d'un NBA Store, le magasin du PSG souffre forcément de la comparaison, en termes de surface comme de flux de clients. Mais le club se dit satisfait par les chiffres, avec une clientèle « surtout européenne, notamment des Français ». Autant des passionnés que des curieux « qui sont tout surpris et prennent des photos, des vidéos », reprend Eileen. Les maillots les plus vendus ces derniers jours ? Désiré Doué et Kvitcha Kvaratskhelia. « Il y a une grosse communauté géorgienne, ukrainienne et russe à New York, sans parler des Italiens », décrypte Shota (41 ans), originaire de Tbilissi, en franchissant la porte d'entrée. New York est aussi le lieu de naissance du premier fan-club du PSG aux USA, en 2006. Il compte aujourd'hui une centaine de membres. La petite communauté se retrouve régulièrement pour suivre les matches ensemble à la « Football Factory », au Legends bar. Un établissement entre la 5e et la 6e avenues où de nombreux groupes de supporters locaux ont leurs habitudes (AC Milan, Fulham, Fluminense...), ce dont témoignent les drapeaux et les écharpes placardées des murs au plafond. Lundi, veille de la demi-finale Fluminense - Chelsea, l'entrée était décorée aux couleurs du club carioca et la population à 90 % brésilienne. « Mais mercredi, on sera aux couleurs du PSG », sourit une vendeuse. Ici, pas de menu particulier mais pendant les rencontres, le seau de bière est bradé entre 35 et 38 $ (30 à 32,5 €, environ). « Les soirs de match, on peut être 200 à 300 pour les grosses affiches, précise Julian Stein, président-fondateur du fan-club. On chante pendant tout le match dans le style ultra, il y a un tambour. Après, les horaires des matches à 15 heures ou midi en semaine ne facilitent pas l'engouement des locaux, à l'exception des latinos et sud-américains. On ressent un engouement plus important pour le club depuis quatre ou cinq ans. Avant, on n'était que des Français dans le fan-club, maintenant il y a aussi des Américains et des Latinos. Les résultats et la présence des stars, Neymar, Mbappé, Messi, y ont contribué. » Loin de l'agitation de la ville qui ne dort jamais, Luis Enrique et ses joueurs, eux, ont établi leurs quartiers à New Brunswick, dans le New Jersey, à une soixantaine de kilomètres de Manhattan. Installés à l'hôtel Heldrich, un luxueux établissement de 249 chambres équipé d'une piscine couverte, d'une salle de fitness et d'un spa, ils vont préparer dans le calme leur grand rendez-vous de mercredi face au Real Madrid. Laissée au repos lundi, une bonne partie de l'effectif n'a toutefois pas résisté au plaisir d'aller visiter le centre-ville. Times Square, Empire State Building, statue de la Liberté, ils en ont pris plein les yeux sans être trop ennuyés par les badauds. À lire aussi Mbappé et le PSG, de l'idylle à la rupture Fabio, le gardien du temps Un combat hors terrain plus vif que jamais entre Mbappé et le PSG Une partie de poker menteur entre actionnaires et créanciers ?


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L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel
L'audition de L'Olympique Lyonnais devant la DNCG d'appel de la Fédération française de football (FFF) aura lieu mercredi et non jeudi comme il avait été envisagé un temps. L'OL passera finalement devant la DNCG d'appel de la Fédération française de football (FFF) mercredi et non jeudi. Et il sera le seul club auditionné. L'équipe rhodanienne a été reléguée en L2 à l'issue de son passage devant la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) de la Ligue le 24 juin club a fait appel en milieu de semaine dernière et travaille à monter, autour de Michele Kang et Michael Gerlinger, respectivement nouvelle présidente et nouveau DG, un dossier permettant à l'OL de se sauver. Quelque 200 millions d'euros sont attendus : 100 M€ cash et 100 sur un compte bloqué.