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À la rencontre des fans de Justin Bieber, en vacances à Genève

À la rencontre des fans de Justin Bieber, en vacances à Genève

24 Heures14 hours ago
Entre espoir et civilité helvétique, des fans de la pop star canadienne ont patienté sagement devant l'Hôtel des Bergues en espérant apercevoir le chanteur. Publié aujourd'hui à 16h04
Justin Bieber réside à l'Hôtel des Bergues à Genève, où ses fans vont et viennent poliment dans l'espoir d'apercevoir leur idole.
GC Images
Justin Bieber a annoncé sa présence à Genève mardi dans une vidéo postée sur son compte Instagram. On l'y apercevait se baladant tranquillement à vélo sur le pont du Mont-Blanc, se rendant compte que «Genève, c'est si beau». Il réside depuis à l'Hôtel des Bergues, où ses fans vont et viennent poliment dans l'espoir d'apercevoir leur idole.
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En arrivant ce jeudi devant le lieu où réside la star, on pourrait croire qu'il ne s'y passe rien. Néanmoins, quelques observateurs sont bien là; ils se font discrets comme pour essayer d'attraper le chanteur par surprise. Trois jeunes filles apposées contre une barrière font mine d'être désintéressées, mais gardent un œil sur la porte d'entrée. «On attend là depuis 9 h ce matin, et on se donne jusqu'à 11 h avant de se dire que c'est fichu.»
Les Genevois se sont fait discrets ce jeudi matin devant l'Hôtel des Bergues, où réside la star canadienne.
SAMI FROGG
En marchant un peu plus loin, deux femmes assument, elles, de camper droit devant la porte d'entrée, et font même des allers-retours jusqu'au personnel de l'hôtel. «On nous a dit qu'il devait sortir à 10 h ce matin, et puis on l'a aperçu à travers la vitre du restaurant, avant qu'il ne se volatilise à nouveau», relatent les deux observatrices de 23 ans. «Si on le voit, on ne prendra pas de photos»
Qu'attendent ces fans de la superstar? Une photo, un signe de la main ou simplement de la voir en chair et en os? «On sait qu'il n'aime pas les photos, il a l'impression qu'on l'agresse et qu'on lui vole son intimité, expliquent les deux jeunes femmes. On veut juste le voir en vrai, Justin Bieber, il fait partie de nos vies depuis qu'on est gamines.»
Elles estiment par ailleurs que le partage de contenu de la star n'est pas anodin: «Pourquoi est-ce qu'il nous montrerait où est sa chambre s'il ne cherchait pas à avoir des fans en bas de son hôtel? Je pense qu'il cherche à amasser la foule, mais à Genève, les gens sont trop polis pour ça!» admettent-elles en riant. «Justin qui?»
Dans les commerces environnants, la venue du chanteur ne procure pas tout à fait le même effet. Au coiffeur installé juste à côté de l'hôtel, on avoue être plutôt indifférent à l'événement – «Justin qui? Je ne suis même pas vraiment sûr de savoir qui c'est, témoigne la tenante du salon de coiffure. À moins qu'il ne veuille venir se couper les cheveux chez nous, je m'en fiche un peu.»
Les fans genevois ne savent pas combien de temps il leur reste encore pour entrevoir leur idole. En attendant, l'artiste a l'air de prendre du bon temps en Suisse, notamment en visite dans la vallée de Joux dans le canton de Vaud.
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Relecture, à Avignon, de l'affaire Pelicot et de la culture du viol
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Milo Rau et Servane Dècle s'emparent de ce procès symbolique pour en décortiquer les ressorts. Une soirée accessible librement en streaming. Publié aujourd'hui à 21h05 Gisèle Pelicot le 19 décembre 2024, alors qu'elle quitte le tribunal d'Avignon après avoir entendu le verdict condamnant son ex-mari à une peine de 20 ans de prison. AFP En bref: Le Festival d'Avignon s'invite dans votre salon. Alors que la comédie «La lettre» de Milo Rau essuie quelques mauvaises critiques en France, le metteur en scène suisse , allié à Servane Dècle, double la mise au sein de la manifestation avec un sujet beaucoup plus grave. «Le procès Pelicot», qui sera diffusé en libre accès sur le site du Festival d'Avignon , ne se présente pas comme une pièce à proprement parler, mais comme une somme de prises de parole, de documents, de témoignages patiemment recueillis qui forment une soirée de lecture prise en charge par deux comédiennes au cloître des Carmes de la Cité des papes . Milo Rau et le procès Pelicot Après une première mouture aux Wiener Festwochen , dont Rau est le directeur, le projet arrive à Avignon en version plus ramassée quelques jours après que Gisèle Pelicot a reçu la Légion d'honneur, le 14 juillet dernier . De cette femme victime de soumission chimique de la part de son ex-mari et violée par des dizaines d'hommes, mais qui a affronté son procès avec un courage exemplaire, il y a encore des leçons à recevoir, une réflexion à poursuivre. Contribution au débat en compagnie de Servane Dècle et Milo Rau. Comment cette collaboration a-t-elle débuté? Milo Rau: On a déjà réalisé deux ou trois projets ensemble. J'étais à Paris en répétition pour «La lettre», une petite pièce légère faite pour le festival. Je me suis dit que ce serait étrange d'aller à Avignon et de ne rien faire sur Gisèle Pelicot. Ne pas en parler aurait presque eu la signification d'un silence volontaire. J'ai téléphoné à Servane, qui était à Paris aussi, pour voir si l'on pouvait commencer une recherche et s'il était réaliste de préparer quelque chose pour Vienne et Avignon. Servane Dècle: On voulait être sûrs qu'on pouvait avoir accès à des documents. Il n'y a pas d'enregistrement du procès, donc on a contacté les avocats de Gisèle Pelicot et des journalistes. On a très vite eu beaucoup de soutien. Des journalistes nous ont donné leurs notes, 500 pages de toutes les journées d'audience qu'ils avaient suivies. On a eu l'ordonnance de mise en accusation et beaucoup de matières documentaires qui nous ont aidés à construire la lecture, et aussi plein de rencontres qui nous ont permis de nous faire une idée de ce que les gens qui avaient assisté au procès avaient traversé. Servane Dècle et Milo Rau à Vienne en juin. AFP À partir de ce matériau documentaire, quel discours avez-vous cherché à façonner? Milo Rau: C'est une histoire qui se développe dans le temps. Au début, on expose l'acte d'accusation, ensuite les quatre années avant que le procès ne commence, la famille, l'impact sur la famille, la maison, la région, dans laquelle ça se passe. Mais il y a aussi les viols, les violeurs, le procès, la question de la soumission chimique. Il y a des textes d'activistes, des tribunes. On essaye de traverser les discours. De l'autre côté, on peut voir cette lecture comme une sorte d'analyse aux multiples perspectives du patriarcat, de la soumission chimique et de l'importance de la pornographie sur internet. Il y a une complexité que l'on n'essaie pas de réduire, mais plutôt de développer dans le temps. Servane Dècle: On fait durer les questions que le procès a posées. Beaucoup de gens étaient frustrés: tourner autour du pot pendant trois mois, avec 50 accusés et autant de discours qui se répétaient, sans avoir jamais le temps d'aller en profondeur. Le cadre judiciaire est frustrant parce qu'il ne permet pas de chercher ensemble la vérité. Il est là pour trouver une punition, établir une vérité judiciaire qui permette une punition. Les accusés sont dans une stratégie de défense et on n'arrive pas à aller en profondeur. On manque d'expertises supplémentaires, de regards de chercheurs, etc. Faire cette lecture, c'est aussi donner la possibilité de prolonger l'analyse. La notion de culture masculine du viol se présente comme l'idée-force qui est sortie de ce processus. Comment l'avez-vous abordée? Milo Rau: À travers les interrogatoires des violeurs, on voit qu'ils ne comprennent pas très bien ce qui leur est arrivé. C'est tellement normalisé sur internet, justifié par la pornographie avec des sites qui proposent des milliers d'heures de violences faites à des femmes. Ils prennent du temps pour comprendre qu'ils sont des violeurs. Dans la narration de la pornographie, le consentement de la femme n'est pas important. Que les avocats de Gisèle Pelicot aient insisté pour rendre publiques les enregistrements vidéo permet de comprendre – de voir – que les violeurs sont très conscients de tout ça. Ils chuchotent, ils font attention qu'elle ne se réveille pas. Ils savent très bien ce qu'ils font. Rappelons que juste avant la fermeture du site , qui a permis d'organiser ces viols, il y avait encore 1 million de personnes qui s'y retrouvaient chaque mois. Servane Dècle: Pour nous, la culture du viol s'étend à quelque chose de plus large… Ça veut dire beaucoup de choses. Le rapport que notre culture entretient avec le viol, donc les représentations du viol, qu'est-ce qu'un viol, qu'est-ce qui n'en est pas un. Donc les bonnes, les mauvaises victimes, les bons, les mauvais… Mais c'est aussi tout ce qui, dans notre culture, peut faciliter le passage à l'acte. Tout l'amalgame entre sexe et violences qui se diffuse dans nos récits. Aujourd'hui, notre culture renouvelle la possibilité du viol par des dispositifs technologiques par exemple. Cette affaire est possible parce qu'il existe une communauté numérique du viol qui se retrouve sur un site. C'est le moyen nécessaire pour que 50 personnes convergent dans la même chambre afin de violer Gisèle Pelicot pendant dix ans. On n'aurait pas pu faire ça, il y a vingt ans. Festival d'Avignon, Cloître des Carmes, ve 18 juillet (22 h). Accès libre en streaming sur la homepage du site du festival: Le procès Pelicot, autres lectures Boris Senff travaille en rubrique culturelle depuis 1995. Il écrit sur la musique, la photographie, le théâtre, le cinéma, la littérature, l'architecture, les beaux-arts. Plus d'infos @Sibernoff Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Dernier bonsoir pour Thierry Ardisson, l'homme en noir
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L'animateur vedette décédé à 76 ans a eu droit à des funérailles selon ses volontés précises. Avec costume noir de rigueur pour les invités et une mise en scène soignée, l'homme de télé aura contrôlé son image jusqu'au bout. Publié aujourd'hui à 17h50 La journaliste Audrey Crespo-Mara (au centre) arrive pour les funérailles de son époux, Thierry Ardisson, à l'église Saint Roch à Paris. AFP/BERTRAND GUAY Les obsèques de Thierry Ardisson , en forme de «dernier bonsoir», ont débuté jeudi à Paris, en présence d'un millier de personnes souvent vêtues de noir selon le «dress code» de la star du petit écran, ont constaté des journalistes de l'AFP. Des chansons qu'il avait choisies, de George Harrison, John Lennon, David Bowie ou encore Jean-Louis Aubert («Voilà c'est fin»), sont prévues durant la cérémonie en l'église Saint Roch, la paroisse des artistes, avant une inhumation dans la plus stricte intimité. L'humoriste Laurent Baffie arrive aux funérailles de l'animateur TV Thierry Ardisson à l'église Saint Roch à Paris. AFP/BERTRAND GUAY Audrey Crespo-Mara, l'épouse de l'ancien producteur et animateur décédé lundi à 76 ans, a accueilli les invités, à qui il a été demandé de respecter le «dress code Ardisson (avec ou sans lunettes noires)», c'est-à-dire le costume noir. Ont été aperçus des amis comme Laurent Baffie, Philippe Corti, Léa Salamé, des personnalités tels Michel Drucker, Arthur, Alex Vizorek, Florent Pagny, Marc Lavoine, Patrick Timsit, Guillaume Durand, et également Brigitte Macron, Gabriel Attal et la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci. Hommages à «l'homme en noir» Des admirateurs, qui ont applaudi à l'arrivée du cercueil verni de noir, sont aussi venus nombreux en respectant la consigne vestimentaire, et sont restés derrière les barrières dans la rue bloquée. «Merci pour moi, mais aussi pour ce que tu as apporté à la télé», lui a adressé Dalila Choufa, 57 ans, qui a spécialement posé un jour de congé pour être présente. «Un homme libre et courageux comme ça il n'y en a plus, même si j'étais pas d'accord avec tout ce qu'il disait», a salué auprès de l'AFP Michelle Boesnach, commerçante de 50 ans venue de Normandie. «J'aimais sa créativité, son insolence. C'était quelqu'un aussi qui était très pieux, catholique et royaliste. Cette dichotomie me touchait», a témoigné Julien La Torre, voiturier de 44 ans. Thierry Ardisson, vedette du petit écran Vedette du petit écran dès les années 1980, Thierry Ardisson est mort à Paris des suites d'un cancer. L'annonce de son décès a suscité une pluie d'hommages, du président Macron aux patrons de chaîne, en passant par de nombreuses figures du PAF (Cyril Hanouna, Karine Le Marchand…). Mais des extraits d'émissions où il avait mis mal à l'aise ses invitées, comme les actrices Judith Godrèche ou Milla Jovovich, ont été aussi relayées. «J'étais ni con, ni macho, on était dans l'époque» et «l'époque a changé», balayait-il en mai sur France Inter. Issu d'un milieu social modeste, l'ancien publicitaire a bousculé le paysage cathodique avec ses talk-shows à succès où se rendait le Tout-Paris, comme «Bains de minuit», présenté depuis la boîte de nuit des Bains Douches à Paris, «Lunettes noires pour nuits blanches» au Palace et «Rive droite/Rive gauche», premier magazine culturel TV quotidien en France. Il a connu ses plus belles heures avec «Tout le monde en parle» sur France 2 (1998-2006) où ses questions aux artistes comme aux politiques, parfois trash, ont souvent créé le buzz. Thierry Ardisson est ensuite passé aux commandes de «Salut les Terriens» (2006-2019), sur Canal+ puis C8, qu'il a dû arrêter après avoir refusé d'en baisser le budget. Obsèques préparées Réalisé par Audrey Crespo-Mara, un documentaire diffusé mercredi soir sur TF1 et disponible sur la plateforme TF1+, «La face cachée de l'homme en noir», dresse un portrait tout en nuances de ce roi de la provocation, dépeint comme hypersensible et tourmenté. Dans cette émission testament, Ardisson retrace sa vie en 10 commandements, jusqu'au dernier depuis son lit d'hôpital au printemps: «La mort en face, tu regarderas». À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «J'ai toujours tout mis en scène» et «je sais déjà la musique que je vais mettre à mon enterrement», avait-il déclaré sur le plateau de Léa Salamé sur France 2 en mai. «Ça m'intéresse d'aller jusqu'au bout». Paris Match a publié cette semaine en Une une photo de 2005, où Ardisson, lunettes fumées sur le nez, sourit allongé dans un cercueil. Il voulait que cette image soit publiée à sa mort, comme un pied de nez, et «on a tenu parole», narre Jérôme Béglé, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire. Décès de Thierry Ardisson, «l'homme en noir» Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. 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