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Marseille : un homme retrouvé mort dans le parking d'une cité, une enquête ouverte pour assassinat

Marseille : un homme retrouvé mort dans le parking d'une cité, une enquête ouverte pour assassinat

Le Figaro4 days ago
Une enquête a été ouverte pour assassinat après la découverte du cadavre d'un homme d'une quarantaine d'années dans le parking souterrain de la cité Air Bel, dans les quartiers est de Marseille.
Une enquête pour assassinat a été ouverte après la découverte du cadavre d'un homme d'une quarantaine d'années dans le parking souterrain de la cité Air Bel, dans le 11e arrondissement de Marseille, a appris Le Figaro de sources concordantes, confirmant une information initiale de La Provence.
Les marins-pompiers de Marseille ont été appelés à midi ce jeudi. Dans le parking gisait le corps de cet homme, mort d'un arrêt cardiorespiratoire. «Il y a une suspicion d'agression», indique-t-on du côté des marins-pompiers. Contacté, le parquet de Marseille indique que «l'autopsie devra déterminer les causes de la mort.» Le parquet précise qu'«une enquête a été ouverte pour assassinat». La division de la criminalité organisée et spécialisée a été saisie, selon cette même source.
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Trafic de stupéfiants
La cité d'Air Bel est connue notamment pour abriter un point de trafic de stupéfiants. En mars dernier, sept trafiquants avaient été interpellés dans cette cité après l'incendie d'un bâtiment public au sein de la cité. Un homme est décédé mercredi soir à Marseille, cette fois dans les quartiers nord de la ville, après avoir été retrouvé, grièvement blessé d'une balle dans la tête, dans le coffre d'une voiture que des personnes tentaient d'incendier, des faits qui évoquent le narcobanditisme.
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« J'espère qu'elle fera faillite » : l'ambassadeur d'Israël en France attaque Vueling après l'expulsion d'ados de confession juive
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Le Parisien

time27 minutes ago

  • Le Parisien

« J'espère qu'elle fera faillite » : l'ambassadeur d'Israël en France attaque Vueling après l'expulsion d'ados de confession juive

Il n'y a là, de sa part, aucune demi-mesure. « J'espère qu'elle fera faillite le plus rapidement possible », a lancé ce lundi matin sur TF1 l'ambassadeur d'Israël en France Joshua Zarka, à propos de la compagnie aérienne espagnole Vueling. Il était interrogé sur l'expulsion ce mercredi d'une cinquantaine d'enfants et leurs accompagnateurs de confession juive - tous Français - d'un avion Valence-Paris, alors qu'ils participaient à une colonie de vacances. Deux versions s'opposent drastiquement sur cette affaire. « C'est une vague d'antisémitisme dans le monde, un tsunami (…) c'est quelque chose de terrible ce qui se passe en Europe », a déclaré Joshua Zarka d'un point de vue plus général. « J'espère que la France va demander, comme il faut, des comptes au gouvernement espagnol », a-t-il ajouté. Pour l'heure, Paris a affirmé ce samedi avoir exigé des « explications » à la compagnie aérienne Vueling « pour déterminer si ces compatriotes avaient fait l'objet de discriminations liées à leur confession ». Une cinquantaine d'enfants et leurs accompagnateurs s'apprêtaient à quitter Valence pour l'aéroport de Paris-Orly mercredi 23 juillet quand ils ont été débarqués de l'appareil. Vueling, tout comme la Guardia Civil - équivalente espagnole de la gendarmerie - parlent d'une « attitude fortement conflictuelle, mettant en péril le bon déroulement du vol », notamment pendant les consignes de sécurité. Ce que réfute « Club Kineret », l'organisme en charge de la colonie de vacances, qui dément tout acte violent ou problématique en assurant que « le seul élément commun à l'ensemble du groupe était leur visibilité religieuse » : « Certains enfants portaient une kippa, d'autres des symboles identitaires juifs (étoile de David) ». Un témoin, indépendant au groupe, présent dans l'avion a également confié au Parisien ne rien avoir vu ou entendu qui puisse justifier une expulsion. De leur côté, les autorités espagnoles maintiennent leur version quant à une attitude dérangeante des adolescents, notamment pendant les consignes de sécurité.. « Compte tenu du risque que ce comportement représentait pour la sécurité opérationnelle de l'avion, le commandant de bord a demandé l'intervention de la Guardia civil afin de débarquer le groupe de passagers susmentionné », a ajouté la Guardia civil. Celle-ci assure, en outre, ne jamais avoir eu « connaissance de la confession religieuse des personnes débarquées » La responsable des animateurs de la colonie aérienne a également été arrêtée à l'intervention des forces de l'ordre. Selon le récit de ces dernières, cette femme de 21 ans a eu une « attitude agressive envers les agents », allant « jusqu'à pousser et agresser » l'un d'eux. D'après la mère d'un témoin, elle a été « plaquée au sol et emmenée manu militari ». Ce que semble confirmer une vidéo tournant sur les réseaux sociaux. Cette responsable est depuis visée par une procédure judiciaire et une plainte a été déposée pour atteinte à la sécurité aérienne . « Club Kineret » a pour sa part annoncé avoir déposé plainte contre la compagnie aérienne, estimant que « les faits sont clairs, graves, établis et corroborés par de multiples témoignages ».

La pétition contre la loi Duplomb dépasse un nouveau seuil symbolique
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Le HuffPost France

time27 minutes ago

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La pétition contre la loi Duplomb dépasse un nouveau seuil symbolique

POLITIQUE - C'est un seuil de plus de franchi, qui donne encore plus de force à ses opposants. La pétition contre la loi Duplomb, qui permet notamment sous conditions la réintroduction d'un pesticide interdit en France depuis 2018, a dépassé ce lundi 28 juillet au matin la barre des deux millions de signatures sur le site de l'Assemblée nationale. Elle demande l'abrogation « immédiate » du texte du sénateur LR Laurent Duplomb, qualifié d' « aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire », mais également « la révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ». Lire aussi Peut-on signer la pétition contre la loi Duplomb plusieurs fois ? Cette pétition avait atteint les 500 000 signatures le week-end dernier, une première sur le portail de l'Assemblée, un seuil qui ouvre la voie à l'organisation d'un débat dans l'hémicycle qui ne permettra toutefois pas, seul, de revenir sur les dispositions déjà adoptées. « De toute façon, le texte sera promulgué » Le gouvernement s'est néanmoins dit favorable à l'organisation de ce débat. Même s'il ne s'agira sûrement en aucun cas de revenir sur les mesures les plus importantes du texte. « Il y aura un débat (parlementaire) si la conférence des présidents de l'Assemblée nationale en décide. Et de toute façon le texte sera promulgué. Le président de la République le rappelait ce matin, à l'issue du conseil des ministres, qu'il est dans l'obligation de promulguer la loi », avait déclaré le 23 juillet la ministre de l'Agriculture, Annie Genevard, alors que les oppositions de gauche avaient réclamé à Emmanuel Macron de ne pas promulguer le texte. « Il n'a pas été question du tout d'une seconde délibération, ce qui me paraîtrait être extrêmement périlleux parce que là, d'abord, ça contreviendrait à ce que les parlementaires eux-mêmes ont voté. Et puis, on compromet possiblement l'issue d'une loi qui, je le rappelle, vise à lever les entraves qui pèsent sur le métier des agriculteurs », avait-elle complété. La décision du Conseil constitutionnel très attendue Dans les prochains jours, une autre date sera également cruciale concernant ce texte : le 7 août, et la délibération du Conseil constitutionnel sur cette loi Duplomb qui devrait « a priori » être rendue ce jour-ci. La décision des Sages, qui peuvent censurer tout ou partie de la loi, sera scrutée de très près, Des députés et sénateurs de gauche avaient saisi mi-juillet le Conseil constitutionnel, arguant que la loi, adoptée au Parlement le 8 juillet, est incompatible avec la préservation de l'environnement et le droit à la santé. Les députés dénoncent également les conditions d'examen du texte. Aucun amendement n'avait pu être débattu dans l'hémicycle de l'Assemblée, le texte ayant été rejeté d'entrée par ses défenseurs pour contourner ce qu'ils avaient qualifié « d'obstruction » de la gauche. Si le texte n'est pas censuré par le Conseil constitutionnel, la gauche appelle d'ores et déjà Emmanuel Macron à demander une nouvelle délibération de la loi au Parlement, comme le lui permet la Constitution. Si elle est bien promulguée par le président, plusieurs groupes de gauche dont les socialistes, ont annoncé vouloir porter une proposition de loi abrogeant les dispositions du texte agricole.

Le saviez-vous ? On ne compte que 5 villes dites «roses» dans le monde
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Le Figaro

timean hour ago

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Le saviez-vous ? On ne compte que 5 villes dites «roses» dans le monde

Les «villes roses» se comptent sur les doigts d'une main, et trois sont françaises. Les avez-vous déjà visitées ? Nul besoin d'attendre de mots d'amour pour voir la vie en rose. N'en déplaise à Édith Piaf, il suffit d'un séjour dans certaines villes pour se sentir porté par la joie de cette couleur. Bien que quelques-unes se situent sur des continents différents, elles partagent en commun leur teinte, présente dans leur architecture, allant du saumon pâle à l'ocre profond. S'il n'existe pas de liste officielle de ces «villes roses», elles sont les seules à être décrites majoritairement de cette manière. Ce surnom n'est pas anodin et leur est attribué pour diverses raisons. Choix esthétique, traditions locales ou empreinte historique... Tour d'horizon des cinq communes du globe où la vie se regarde en fuchsia. Jaipur (Inde) Le palais Hawa Mawal, à Jaipur, en Inde. AlexAnton / AlexAnton - Publicité Un geste d'hospitalité. Voilà ce qui donna à la capitale du Rajasthan, au nord de l'Inde, son surnom de «ville rose». En 1876, la commune s'apprêtait à recevoir la visite de la famille royale britannique, avec l'arrivée du prince Albert Edward (futur Édouard VII). Le Maharaja Sawai Ram Singh, le roi de Jaipur, fit repeindre tous les bâtiments de la ville dans une teinte ocre-rosée, couleur symbolisant l'accueil. Le charme opéra. Le fils de la reine Victoria aurait lui-même baptisé Jaipur «Pink City». Depuis, cette couleur fut imposée par décret à toutes les nouvelles constructions du centre-ville, loi encore en vigueur aujourd'hui. Déclinée en nuances allant du pastel au rouge brun, on se sentirait presque dans un conte de fée en admirant ses bâtisses en grès, dont le spectaculaire Palais des vents, Hawa Mahal. Erevan (Arménie) La Place de la République, à Erevan, en Arménie. SergeyTimofeev / sergeytimofeev - Capitale de l'Arménie, Erevan se distingue par l'unité visuelle de son centre-ville, façonné dans une pierre locale : le tuf volcanique. Cette roche, extraite autour de ses monts, se décline en teintes rouges, mais c'est la nuance rosée qui domine les bâtiments publics et les habitations anciennes. On la contemple sur la Place de la République, surtout lorsque le soleil habille la roche d'une tendre lumière, tirant presque sur l'orange. Si Erevan est l'une des plus anciennes cités habitées au monde -fondée avant Rome en 782 av. J.-C.- , son surnom de «ville rose» est plus récent. Il s'impose au XXe siècle, lors de la reconstruction soviétique. L'architecte Alexandre Tamanian, chargé de repenser la ville dans les années 1920-1930, choisit d'en faire un symbole d'harmonie urbaine en valorisant largement l'usage de cette pierre dans les grandes avenues et les places centrales. Toulouse (France) La Chapelle Saint-Joseph, à Toulouse. Sergiy Nykonenko / SergiyN - Elle est sûrement la plus célèbre du classement, la ville rose favorite des Français. Dans le sud-ouest du pays, Toulouse doit son titre à la brique de ses façades utilisée depuis l'époque romaine. En terre cuite, celle qu'on appelle également « brique toulousaine », extraite et fabriquée à partir de l'argile sur le territoire, était exploitée massivement dès l'Antiquité. Délaissée un temps au profit du bois, elle revient à la Renaissance, les incendies ayant révélé les limites des matériaux plus légers. Publicité Au XIXe siècle, les frères Virebent relancent son usage grâce à un procédé industriel de découpe de l'argile. Couplée aux tuiles du même ton, cette brique confère un charme unique à la ville, à travers ses monuments emblématiques, comme le Capitole, la basilique Saint-Sernin ou les hôtels particuliers du centre historique, construits entre les XVIe et XVIIIe siècles, comme l'Hôtel de Clary. Albi (France) Le panorama sur la cathédrale d'Albi. Natalia Shilovskikh Loubet / natashilo - Petite sœur de Toulouse, Albi aussi se dessine en rose. Ici, la brique foraine et la tuile romaine façonnent également l'identité visuelle de la ville, du centre médiéval aux plus grands monuments. On l'aperçoit sur les maisons à colombages, les rues anciennes, mais surtout les édifices emblématiques. La cathédrale Sainte-Cécile - la plus grande cathédrale de briques au monde - et le palais de la Berbie, ancien siège de l'archevêque, en sont les plus beaux exemples. Le matériau fut utilisé dès le Moyen ge, en témoigne la collégiale Saint-Salvi. Peut-être ce patrimoine coloré inspira-t-il les peintures de Toulouse-Lautrec, dont le musée lui-même est bâti sur ces pierres locales. Montauban (France) La Place Nationale à Montauban. BENJAMIN PICCOLI / B. Piccoli - Si son nom signifie «mont blanc» en langue occitane, Montauban est souvent surnommée «la plus rose des villes roses». Cette description s'explique par l'abondance d'argile des berges du Tarn. Cette matière première issue des sols du département était traditionnellement utilisée pour fabriquer de la poterie ou des briques construction. Comme ses voisines, dès sa fondation en 1144 par le comte de Toulouse, la ville développe ce style distinctif, visible notamment sur la place Nationale, l'Ancien Collège, le Pont Vieux ou encore l'église Saint-Jacques. Le contraste entre ces façades et la verdure du fleuve renforce les couleurs. À l'image de Toulouse et Albi, celle qu'on surnomme aussi la cité d'Ingres incarne cette harmonie rose distinguant -au final- la France à l'international. Publicité En vidéo - Toulouse : la ville rose dépasse bientôt Lyon en population.

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