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Rugby : l'Afrique du Sud domine largement l'Italie à Pretoria

Rugby : l'Afrique du Sud domine largement l'Italie à Pretoria

Le Figaro17 hours ago
Pour son premier test-match, l'Afrique du Sud a dominé l'Italie sur le sore de 42 à 24.
Les champions du monde sud-africains ont dominé 42 à 24 une équipe d'Italie dominée mais vaillante, pour le premier test-match de la saison des hommes de Rassie Erasmus, samedi à Pretoria.
Comme lors de leur démonstration contre les Barbarians britanniques (54-7) la semaine dernière, les Springboks étaient privés de leur capitaine, le troisième ligne Siya Kolisi, forfait en raison d'une douleur au cou, mais ont récupéré le deuxième ligne Eben Etzebeth, à la saison hachée par les blessures.
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La revanche samedi prochain
Les Boks ont rapidement pris l'avantage avec un essai du centre Jesse Kriel (11e), capitaine en l'absence de Kolisi, et ont déroulé en première période, menant 28-3 à la pause. Sur courant alternatif mais jamais inquiétés, les Sud-africains ont baissé de rythme en deuxième période malgré l'entrée d'un banc expérimenté, encaissant trois essais italiens.
Les Springboks affronteront de nouveau l'Italie samedi prochain puis la Géorgie la semaine suivante, avant de retrouver en août le Rugby Championship, la compétition des nations majeures de l'hémisphère sud dont ils sont champions en titre.
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L'Équipe

time36 minutes ago

  • L'Équipe

« Un bon test pour nous » : Jason Ryan, entraîneur des avants néo-zélandais, tire les enseignements du match accroché contre les Bleus

Jason Ryan, l'entraîneur des avants néo-zélandais, revient sur le premier test remporté face au Bleus (31-27), qui fut un match très engagé et longtemps incertain. D'un tempérament cash et franc, Jason Ryan l'entraîneur des avants néo-zélandais analyse le premier test-match de la tournée des Bleus. Les All Blacks se sont imposés (31-27) face à une équipe de France remaniée mais qui a su rivaliser. Quelle est votre évaluation du premier match face à l'équipe de France ?D'abord c'était un match physique comme on pouvait s'y attendre. À ce titre on est très fiers de nos quatre nouveaux sélectionnés (Fabian Holland titulaire en 2e ligne, Christian Lio-Willie en numéro 8, Ollie Norris pilier gauche entré en jeu à la 56e et Du'Plessis Kirifi à la 51e). Je trouve qu'ils ont tous très bien joué, qu'ils ont mérité leur place, et ils peuvent être confiants quant à leur performance - c'était vraiment positif. Ce match face à cette équipe de France très physique, a été un bon test pour nous. Ils étaient dans le rythme et très engagés dans le combat après avoir joué ensemble il y a quelques jours face à l'Angleterre. Du coup ils nous ont vraiment mis sous pression. Qu'en est-il de vos joueurs blessés durant la rencontre ?Sevu (Reece, l'ailier qui s'est assommé sur la hanche de Joris Segonds, après 57 secondes de jeu, en voulant le plaquer) va devoir observer une période de repos en raison de son protocole commotion, selon les règles HIA (protocole d'évaluation de blessure à la tête). Scooter (le capitaine Scott Barrett, 31 ans, 80 sélections) a un petit souci au tendon d'Achille, c'est pour ça qu'il est sorti (60e). Les autres n'ont que des contusions et des douleurs diverses, rien d'alarmant. Mais bon, aucun Championnat au monde ne prépare vraiment à un premier test de la saison. On en ressortira plus forts, il le faut. « On a trouvé un moyen de gagner : ce n'était pas joli, mais c'est mieux que de s'imposer largement sans se rendre compte de nos lacunes » Défensivement, vous avez encaissé des essais rapides. Est-ce dû à des failles dans le système ou à des plaquages manqués ?On a manqué un peu de cohésion, certains joueurs n'étaient pas au bon endroit au bon moment, et il y avait un peu d'hésitation dans certains automatismes, on va corriger ça cette semaine. C'est simplement dû un manque de temps de jeu ensemble. On peut s'entraîner autant qu'on veut, mais tant qu'on n'est pas sur le terrain à vivre ça ensemble, avec des combinaisons nouvelles, c'est normal. Diriez-vous que la dernière mêlée du match a été le moment fort ? Il y avait beaucoup de c'était un gros moment. Contre la France, avec quelques jeunes gars dont Ollie (Norris, le pilier des Chiefs âgé de 25 ans) pour sa première sélection. Certains disaient qu'il avait eu une finale difficile (face aux Crusaders vainqueurs du Super Rugby 16-12) mais on l'a bien préparé. C'est un gabarit impressionnant (1m95, 126 kilos). Avec les jeunes piliers, il peut y avoir des difficultés il doit en tirer beaucoup de confiance. Cette mêlée était importante mais notre pack doit encore progresser. On a produit de bons ballons, été récompensés par quelques pénalités. Notre banc a eu un apport très satisfaisant. Quelle est la difficulté pour les avants de basculer du Super Rugby à un test international ?C'est complètement différent. On a répété ça aux gars toute la semaine : ça n'a rien à voir. La pression est différente, les marges d'erreur sont plus fines, on ne peut rien laisser passer. On a perdu quelques ballons au contact face aux Français, notre travail au sol aurait pu être plus direct. Mais maintenant on sait. On a trouvé un moyen de gagner : ce n'était pas joli, mais c'est mieux que de s'imposer largement sans se rendre compte de nos lacunes. Là, on va pouvoir vraiment bien se préparer pour le test à Wellington. « Il y avait du courage, du sang dans les vestiaires, des mecs ouverts et des regards marqués » Avez-vous redouté une défaite lors des vingt dernières minutes, l'écart était si nous n'étions pas inquiets. On a mis nos gars sur le terrain et on leur fait confiance pour faire le boulot. Je pense qu'ils ont assumé leur rôle. Ils ont géré la pression. Il y a ce vieux dicton : ''il faut savoir gagner dans la boue''. Et même sans boue, on a trouvé le moyen. Il y avait du courage, du sang dans les vestiaires, des mecs ouverts et des regards marqués - ça nous aguerrit. On a été calmes au bon moment. À la fin, les joueurs ont échangé entre eux : ''mêlée ou pas ?'' Artie a dit ''non, on y va !'', ça montre leur capacité de décision C'est exactement ça qu'on recherche. En rugby international tu n'as pas le temps de souffler. Mais on a des axes de progression : nos courses avec ballon peuvent être plus dynamiques, notre soutien au contact aussi. Nos adversaires étaient de gros gabarits - pas forcément très expérimentés, mais très physiques. Il faut qu'on balaye tout ça. Côté discipline, parfois on a été trop passifs. On a aussi su être très précis au bon moment et c'est ce qui me satisfait le plus. On va revoir les points saillants du match, je n'ai pas encore tout revisionné. Ce que je sais, c'est que lors du deuxième test d'une série, tout le monde s'améliore. On va progresser et la France aussi. »

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time36 minutes ago

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L'Italienne Elisa Longo Borghini va défendre son titre sur le Giro féminin qui débute dimanche de Bergame. Sans Pauline Ferrand-Prévôt, qui prépare le Tour de France, les espoirs français reposeront sur Juliette Labous et Évita Muzic, toutes deux leaders chez FDJ-Suez. Le parcours : accent nordiste et montagneux Un peu plus long, un peu plus dur. Avec une petite centaine de kilomètres et 2000 mètres de dénivelé en plus par rapport au dernier cru (939,6 km, 14300 m de D + en huit étapes), la 36e édition du Giro féminin - la 2e sous pavillon RCS Sports - débute dimanche par un contre-la-montre court (13,6 km) mais tortueux dans les rues de Bergame, au nord de l'Italie. Les sept journées suivantes, en toboggan, verront les favorites bagarrer trois fois pour le maillot rose entre Alpes et Apennins : dès la deuxième étape, qui se cabre sec dans sa deuxième partie vers Aprica ; sur les pentes irrégulières vers Pianezze lors de la quatrième étape (12 km, 6 % de moyenne) ; puis lors de la 7e étape, désignée « reine » (157 km), avec le Monte Nerone (14 km à plus de 7 %) comme juge de paix, à l'issue d'une journée casse-gueule classée à risque. Et si, après ça, rien n'est encore verrouillé, la dernière étape, vallonnée, peut encore remodeler le podium autour du circuit automobile d'Imola, sur le même tracé, à peu de chose près, où Julian Alaphilippe s'était offert son premier maillot arc-en-ciel en 2020. Les sprinteuses auront deux opportunités (3e et 5e étapes), et la 6e étape, notamment, dans la région des Marches et ses côtes typiques en yo-yo, sera favorable à un profil punchy. Les favorites : Longo Borghini veut enchaîner Elisa Longo Borghini a attendu treize ans pour triompher sur la Corsa Rosa, son rêve d'enfant, l'an passé et succéder à la dernière Italienne vainqueure, Fabiana Luperini en 2008. Après une âpre bataille avec Lotte Kopecky, le maillot rose sur le dos d'un bout à l'autre, la sextuple championne d'Italie prouvait sa capacité à cueillir des succès sur les plus prestigieuses courses par étapes. À 33 ans, la Piémontaise ne veut - et ne peut - attendre autant pour atteindre de nouveau son graal. Si elle a fait du Tour son objectif en rejoignant l'équipe UAE Team ADQ à l'intersaison, après six ans de collaboration avec Lidl-Trek, Longo Borghini veut rayonner sur sa course de coeur, et son début de saison joue en sa faveur : cinq victoires, dont le général de l'UAE Tour, le Tour de Burgos, À Travers la Flandre et la Flèche Brabançonne. Sa compatriote Silvia Persico ou l'Australienne Brodie Chapman la guideront face à la formation SD-Worx qui a aussi fière allure, portée par la double championne du monde Lotte Kopecky, la revenante Anna Van der Breggen et la « serial-winner » du sprint, Lorena Wiebes. À ceci près que l'ambition est ailleurs : « Nous ne partons pas avec l'objectif de remporter le classement général, lâche d'entrée Danny Stam, le directeur sportif, dans un communiqué. Plusieurs coureuses auront un rôle plus libre pour aller chercher des victoires d'étape. » Deuxième l'an passé, Kopecky ambitionne de gagner le Tour de France fin juillet; aussi le Giro prend-il modestement le rôle de préparation, « pour améliorer sa condition physique », dixit Stam. Pas de pression dans les pattes, donc, mais la pleine liberté d'une chasseuse de bouquets. Quant à la « Reine Anna » (35 ans), qui l'accompagne, difficile d'imaginer qu'elle n'essaiera pas d'honorer le général, qu'elle a remporté à quatre reprises dans sa carrière (entre 2015 et 2021). Bien que ce fût avant son long entracte, la Néerlandaise a réanimé la machine en mode express depuis janvier, pour finir troisième de la Vuelta et deuxième des Strade Bianche. N'oublions pas Marlen Reusser, qui renaît dans les rangs de Movistar, plus libre que chez SD-Worx où sa marge de manoeuvre était limitée. La Suissesse s'est relevée d'une année 2024 pourrie par des blessures et un Covid long et, après une campagne de classiques aboutie, s'est adjugée les classements généraux du Tour de Suisse et du Tour de Burgos. D'autant plus qu'avec sa classe de rouleuse, elle prétendra au rose dès le chrono inaugural. À son soutien, l'Allemande Liane Lippert, en jambes, disputera son sixième Giro. Les Françaises : Sans PFP, le duo Labous-Muzic à l'épreuve Dans sa quête de Tour de France, qui l'a motivée à basculer sur la route, Pauline Ferrand-Prévôt se préserve pour le point d'orgue de sa saison, après un printemps dont elle a largement payé les efforts (abandon avant la 5e étape de la Vuelta). Évita Muzic et Juliette Labous mèneront donc la barque tricolore, celle de la FDJ-Suez surtout, avant de jouer les équipières au service de Demi Vollering sur la Grande Boucle (absente sur les routes italiennes pour la quatrième année consécutive). Deuxième du Tour d'Italie en 2023, Labous (26 ans) estime avoir tiré le meilleur de son association naissante avec la star néerlandaise depuis son arrivée dans la structure française cet hiver. 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Nouvelle-Zélande-France : à quelle heure et sur quelle chaîne regarder le deuxième test d'été des Bleus
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Ce samedi 12 juillet, le XV de France défie à nouveau les All Blacks pour le deuxième match de la tournée d'été. Passé proche d'un exploit à Dunedin, le XV de France sera-t-il capable de résister de la même manière face aux All Blacks ce samedi 12 juillet ? Les Bleus ont certes perdu la première bataille samedi dernier (31-27) mais avec cinq novices, 18 joueurs à 0 sélection, seulement six Bleus à 18 sélections ou plus et sans ses joueurs «premium», les tricolores ont livré un magnifique match alors qu'on leur promettait l'enfer. Féroces en défense et opportunistes en attaque, les joueurs de Fabien Galthié ont failli faire déjouer des Néo-Zélandais peu inspirés et surtout maladroits. En fin de partie, la fraîcheur physique des All Blacks a fait la différence. Publicité Où et quand suivre Nouvelle-Zélande-France ? Le deuxième test de la tournée d'été se jouera dans l'enceinte du Wellington Regional Stadium, stade de l'équipe des Hurricanes. La rencontre démarrera à 09h05 (heure française) et sera à suivre sur les antennes de Canal +. À noter que Le Figaro réalisera un direct-commenté pour vous faire vivre au mieux ce choc.

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