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Marseille : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le premier match de la saison en Ligue 1 ?

Marseille : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le premier match de la saison en Ligue 1 ?

Le Parisien4 days ago
La Ligue 1 est de retour ! Après une trêve estivale mouvementée et le dénouement autour des droits TV, le Championnat de France débute ce vendredi 15 août avec une affiche alléchante. Le Stade Rennais accueille Marseille au Roazhon Park à l'occasion de la première journée.
Dauphin du PSG la saison passée, l'OM entame ce nouvel exercice avec l'arrivée de nouvelles recrues, symboles de ses hautes ambitions.
Pour Rennes, il s'agira de se reprendre après une saison décevante. Arrivé en cours de saison, Habib Beye va enfin pouvoir façonner son effectif à sa guise pour ramener son club sur la scène européenne. Les anciens marseillais Valentin Rongier et Quentin Merlin vont d'ailleurs retrouver leurs anciens partenaires phocéens.
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Top 14 : Romain Ntamack a (déjà) repris l'entraînement avec le Stade Toulousain
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Le Figaro

time10 minutes ago

  • Le Figaro

Top 14 : Romain Ntamack a (déjà) repris l'entraînement avec le Stade Toulousain

Huit semaines après une intervention pour nettoyer son genou, l'ouvreur international est apte à rejouer. Une bonne nouvelle pour le Stade Toulousain. Ménagé la semaine passée pour finaliser la récupération de son genou, le demi d'ouverture du XV de France (40 sélections) a repris l'entraînement avec Toulouse, ce lundi en Bretagne. Opéré le surlendemain de la finale du Top 14 remportée face à l'UBB, le numéro 10 a ensuite suivi l'essentiel de sa rééducation au CERS de Capbreton, sur la côte landaise. À lire aussi Top 14 : Toulouse étrennera son titre de champion de France à Clermont pour lancer la saison 2025-2026 Publicité Huit semaines après son nettoyage du genou, Romain Ntamack est donc apte à reprendre collectivement. Il devrait prendre part au match amical qui aura lieu face à Vannes ce jeudi au stade du Roudourou de Guingamp.

« Objet marketing » et quête d'originalité : pourquoi les clubs accordent autant d'importance à leur troisième maillot
« Objet marketing » et quête d'originalité : pourquoi les clubs accordent autant d'importance à leur troisième maillot

L'Équipe

time38 minutes ago

  • L'Équipe

« Objet marketing » et quête d'originalité : pourquoi les clubs accordent autant d'importance à leur troisième maillot

En développant des designs originaux pour leur troisième maillot, les clubs de football cherchent à toucher un public toujours plus large. Si cela peut leur permettre de se faire davantage connaître, les retombées financières s'avèrent, en général, assez faibles. Couleurs de la Côte d'Azur du côté de l'OGC Nice, hommage aux dockers à l'OM ou inspiration du marché des Lices pour le Stade Rennais : depuis la fin du mois de juillet, les clubs de Ligue 1 dévoilent tour à tour la troisième pièce de leur collection 2025-2026. Une quatrième tunique devrait même suivre pour les équipes engagées en Europe. Cette extension du dressing des clubs français n'est pas nouvelle. D'après Thomas Prouteau, créateur du site Footpack, spécialisé dans l'actualité des équipementiers, elle s'est démocratisée en France à la fin des années 1990 : « À l'époque, c'était vraiment des maillots de rechange. Les marques ont commencé à s'y intéresser à la fin des années 2000, quand le marché des maillots a explosé. » Lors de la saison 2024-2025, tous les clubs de Ligue 1 - à l'exception du FC Nantes - possédaient trois tenues dans leur placard. Sept écuries en comptaient quatre et Monaco a même poussé jusqu'à cinq. Encore loin des 12 tuniques de Naples, mais significatif d'une inflation. « Aujourd'hui, l'argument numéro un n'est plus sportif, même s'il n'est pas négligeable quand il y a un clash de couleurs. C'est plus un objet marketing », explique Thomas Prouteau. Malgré leurs motifs et couleurs flashy, les troisièmes tenues (communément appelées maillot « third ») ne dérangent pas les fervents supporters. « Les études démontrent que le consommateur classique ne va pas en tenir rigueur au club s'ils sont un peu plus transgressifs, tant que l'identité est conservée sur les tenues domicile et extérieur », selon Nicolas Chanavat, professeur à l'université Jean Monnet de Saint-Étienne. Un public plus large ciblé Le 30 juillet, les supporters lensois ont découvert la troisième tunique de leur club au sein de l'extension locale du Louvre. Les coloris choisis, crème et doré, l'ont été pour célébrer les 120 ans du club. « Un maillot est toujours attendu par les gens. Il faut qu'on trouve comment marquer le coup », estime Henri Neveu, directeur de la marque RC Lens. « Ça passe par le maillot mais aussi par la révélation, la vidéo, le shooting photo. » Loin des classiques tuniques domicile sang et or, ce maillot third est considéré comme plus épuré par le directeur de la marque lensoise. Un choix fait pour convaincre davantage de consommateurs : « Les plus jeunes sont plus adeptes d'un vêtement qu'ils peuvent porter au quotidien, contrairement au fan hardcore, qui veut son maillot sang et or. On se doit de proposer une diversité pour contenter tout le monde. » Le Paris Saint-Germain a été l'un des premiers en France à prendre des libertés sur ses maillots. Depuis 2018, le PSG collabore avec Jordan Brand, filiale de Nike pour développer des collections qui détonnent souvent avec les classiques parisiens. « Aujourd'hui, le maillot de Paris est devenu un symbole culturel, qui dépasse le cadre du sport pour s'imposer comme un objet de style », constate Fabien Allègre, responsable de la marque PSG, dans des propos transmis par le club. Cette collaboration a permis au champion d'Europe de renforcer son côté lifestyle, tout en développant ses relations avec le marché américain et asiatique. Olive et Tom pour faire rayonner Valenciennes Tenter l'original peut s'avérer être un véritable coup marketing pour certains clubs, y compris au-delà de la Ligue 1. En juillet, le VAFC, pensionnaire de National, a ainsi dévoilé sa tenue extérieure reprenant ses couleurs habituelles, le rouge et le blanc, mais avec un design faisant référence au manga Olive et Tom. Le club nordiste a même changé son traditionnel logo, en mettant un grand V rouge à la place du N de la Newteam. Un design pensé pour rendre hommage aux origines japonaises de son sponsor Toyota, qui fête les 25 ans de son implantation dans le Hainaut. « Quand c'est original, soit ça passe, soit ça casse. C'est passé au-delà de nos espérances », se réjouit François Launay, directeur de la communication du club. Quelques jours après la sortie de cette pièce originale, les 500 exemplaires de la tunique avaient déjà trouvé preneurs, avec des acheteurs parfois installés dans d'autres régions et à l'international. Plutôt pas mal, quand on sait que la saison dernière, le VAFC avait vendu, en tout et pour tout, 2 000 maillots. « Les médias ont beaucoup parlé du maillot en France, mais c'est aussi le cas dans le reste du monde, dans les pays où le dessin animé est populaire. Ça nous a permis de faire rayonner la marque VAFC », complète Yohann Godin, le directeur général valenciennois. Bénéfices limités et enjeux environnementaux Si ces maillots peuvent être un succès du point de vue de l'image, les clubs retirent peu de bénéfices de leur vente et la diversification n'y change pas grand-chose, selon l'économiste Christophe Lepetit. « En multipliant les possibilités d'achat pour les fans, vous augmentez les ventes. Mais les clubs ne récupèrent que 15 % en moyenne sur un maillot », souligne le responsable du pôle économie au Centre de droit et d'économie du sport (CDES). La sortie de plusieurs maillots par an alimente cependant un modèle de consommation qui se heurte à des enjeux environnementaux. Si certains clubs comme le PSG assurent adopter des méthodes plus durables de conception, Laval et Versailles ont, de leur côté annoncé ne pas changer de maillot cette saison. Selon l'économiste, « ça devient aussi un message marketing, avec la volonté de faire exception ».

Les Gones, les Aiglons, les Ti Zefs... d'où viennent les surnoms des clubs de Ligue 1 ?
Les Gones, les Aiglons, les Ti Zefs... d'où viennent les surnoms des clubs de Ligue 1 ?

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time38 minutes ago

  • L'Équipe

Les Gones, les Aiglons, les Ti Zefs... d'où viennent les surnoms des clubs de Ligue 1 ?

Entre noms d'animaux, couleurs du club et spécificités locales, les surnoms ne manquent pas pour désigner les 18 équipes engagées cette saison en Ligue 1. Découvrez leurs origines. Cette saison en Ligue 1, les Merlus vont affronter les Dogues, les Rouge et Bleu seront opposés aux Rouge et Noir et les Pitchouns défieront les Minots. Le Championnat de France regorge de surnoms d'équipes plus ou moins originaux, parfois surprenants, et dont les supporters eux-mêmes ne connaissent pas toujours l'origine. Petite session de rattrapage. Autant le dire d'emblée : de nombreux clubs de L1 ont pour surnom les couleurs de leurs maillots, tout simplement. On parle ainsi des Rouge et Bleu pour désigner les joueurs du PSG ou des Rouge et Blanc pour ceux de l'AS Monaco, en référence aux couleurs de la ville de Paris et du drapeau de la Principauté. Les Rennais, eux, sont appelés les Rouge et Noir. Mais d'autres clubs ont opté pour des noms de couleurs un peu moins usités. Les Sang et Or, les Grenats, les Ciel et Marine Contrairement à une idée reçue, les couleurs Sang et Or de Lens ne sont pas une référence au passé minier de la ville (le rouge pour le sang des mineurs et l'or car le charbon était une matière précieuse), mais plutôt au rouge et jaune du drapeau espagnol. C'est en passant en 1923 devant les ruines de l'église Saint-Léger, vestige de la présence espagnole dans l'Artois aux XVIe et XVIIe siècles, que le président de l'époque René Moglia aurait fait ce choix. Les Ciel et Marine du Havre, eux, doivent leur surnom aux fondateurs britanniques du club, qui n'ont pas voulu choisir entre les couleurs des universités que les uns et les autres avaient fréquentées : le bleu ciel pour l'université de Cambridge et le bleu marine pour celle d'Oxford. À Metz, les Grenats ont hérité d'une des couleurs du Cercle Athlétique Messin, auquel la section de football était rattachée, pour se détacher pendant l'entre-deux-guerres du blanc et du noir, couleurs du blason de la ville mais aussi de l'équipe nationale d'Allemagne. Les Minots, les Gones, les Pitchouns Les habitants de Lyon, et par extension les joueurs de l'OL, sont surnommés les Gones, un terme affectueux désignant les enfants, les gamins. Exactement comme les Pitchouns en occitan, le surnom donné à la jeune génération toulousaine, et qui a notamment permis au club de la Ville rose de remonter du National à la Ligue 1 au début des années 2000. De la même manière, les Minots étaient le surnom des jeunes joueurs de l'OM qui ont sauvé le club de la disparition au début des années 80. Les Marseillais sont également appelés les Phocéens, en référence aux premiers habitants de la cité portuaire originaires de Phocée, en Grèce antique. Autre spécificité locale : le surnom des joueurs du Stade Brestois. Les Ti Zefs sont les habitants de « Brest même », par opposition à ceux du quartier de Recouvrance, sur la rive droite. Deux théories s'opposent sur l'origine de ce surnom. Il viendrait soit du zéphyr, ce vent d'ouest surnommé « zef » (petit zéphyr donnant le nom « ti zef »), soit de la présence de nombreux Brestois portant le prénom Joseph sur la rive gauche, alors que les habitants de Recouvrance, eux, sont appelés les Yannick (pour « petit Yann »). Les Aiglons, les Dogues, les Canaris, les Merlus Si les surnoms animaliers sont bien moins courants dans le foot français que pour les franchises des sports américains, il existe tout de même quelques exemples au sein de la Ligue 1. Les Lorientais sont appelés les Merlus, une spécialité historique du port de Lorient. Un peu plus à l'est, on trouve les Canaris de Nantes, nommés ainsi en raison de la couleur principale de leur maillot, le jaune. Quant au surnom de Dogues, on l'attribue à une phrase d'un journaliste parisien au sujet des joueurs de l'Olympique lillois, ancêtre du LOSC, qui ne lâchaient rien sur le terrain. Enfin, l'aigle est l'un des symboles de la ville de Nice, présent sur son blason, d'où le surnom d'Aiglons pour les joueurs du Gym (le club était à l'origine la section football d'un club omnisports, le Gymnaste Club de Nice). Ailleurs qu'en Première Division, on retrouve aussi l'Ours à Ajaccio, les Crocodiles à Nîmes, les Lionceaux à Sochaux ou encore les Chamois à Niort, disparus en 2025. Les Ajaïstes, les Scoïstes, les Hacmen, les Racingmen Certains clubs de Ligue 1, pour finir, tirent leur surnom du sigle de l'équipe. C'est le cas des Ajaïstes à Auxerre (pour AJA, Association de la jeunesse auxerroise), des Scoïstes à Angers (pour SCO, Sporting Club de l'Ouest) ou des Hacmen au Havre (pour HAC, Le Havre Athletic Club). De la même façon, les joueurs du Racing Club de Strasbourg sont surnommés les Racingmen. Le Paris FC, de son côté, ne dispose pas encore d'un surnom consacré mais son retour en Première Division cette année, pour la première fois depuis 1978-1979, devrait permettre d'y remédier, notamment pour différencier les promus de leurs voisins du PSG.

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