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Tour de Pologne : placé dans le coma après sa grave chute, l'Italien Baroncini est dans un état stable

Tour de Pologne : placé dans le coma après sa grave chute, l'Italien Baroncini est dans un état stable

Le Parisien09-08-2025
Alors que le Tour de Pologne continue pour le peloton cycliste , la formation UAE Emirates reste dans l'attente de bonnes nouvelles concernant l'état de Filippo Baroncini (24 ans). Le coureur italien, victime d'une grave chute mercredi lors de la 3e étape a été placé « en coma artificiel. Les médecins l'ont placé sous sédation profonde et son état est stable », a déclaré ce samedi Mauro Gianetti, manager de l'équipe, au site spécialisé Tuttobiciweb .
Après sa chute, mercredi, le docteur de la formation émiratie, Adrian Rotunno, avait donné des indications sur l'état du coureur, transporté à l'hôpital. « Il souffre de multiples blessures au visage, dont une fracture des vertèbres cervicales (sans séquelles neurologiques), des fractures au visage et à la clavicule ». Une blessure à la pommette nécessitant une immobilisation totale, les médecins ont décidé de placer l'Italien dans le coma afin de faciliter sa guérison.
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La faute à un épisode de « violence extrême », selon les mots de Pablo Longoria, président du club, à l'évocation de la bagarre entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe. « Je n'étais pas dans le vestiaire, précise le dirigeant espagnol à l'AFP. Mais ce que je peux dire, c'est que tout ce que m'a transmis le staff, sportif et non-sportif, c'est que c'était quelque chose d'inouï, de violent, de très agressif et qui a dépassé toutes les limites. » De quoi expliquer la décision de l'OM d'écarter les deux joueurs.

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Dans un long entretien accordé à RMC, le directeur sportif de l'OM a confié son sentiment, et surtout son incompréhension au sujet du divorce acté avec Adrien Rabiot. Son état d'esprit et celui du club «Sur les 24-48 heures qui ont succédé à cet épisode malheureux, on a essayé de calmer un petit peu les choses, d'expliquer qu'il y a eu, oui, des débordements, oui des échauffourées, mais qu'il ne fallait pas non plus en faire une affaire d'État. Parce qu'on espérait fortement que ces deux jours off qu'on a laissés à l'équipe, malgré la défaite, malgré tout ce qui s'est passé, permettent aussi aux joueurs concernés de réfléchir un petit peu par rapport à ce qui s'est passé. Et de peut-être tout simplement demander pardon au club, pardon au coach et pardon, surtout, pour l'image et pour tout ce qu'on a dû endurer sur ces 48 heures. Il n'y a pas eu d'excuses de ce côté-là, aussi bien le samedi que le dimanche, et on a convoqué les deux joueurs avec Pablo le lundi dans l'après-midi avant qu'on explique donc les sanctions qu'on avait décidé de prendre à l'encontre de ces deux joueurs-là.» Sa version de la bagarre entre Rabiot et Rowe «C'est une dispute de vestiaire, des joueurs frustrés d'un match que, si tu le joues dix fois, tu le gagnes neuf fois. Malheureusement, celui-là, on l'a perdu. Avec un but à la toute fin... On sait toute la frustration que peuvent engendrer ce genre de matchs et ce genre de résultats. Cela a été au contact physique, à l'agression physique. Dans un vestiaire de football, en tout cas à l'Olympique de Marseille, on considère que ça ne peut pas arriver. C'est un acte malheureux, dans la continuité on peut dire de ce mois qu'on a passé où, effectivement, on a fait plusieurs rappels. Depuis un mois, il y avait pas mal d'amendes à payer, pas mal de choses qui étaient un peu nouvelles. Là, tu arrives à Rennes, le premier match de la saison dans un contexte qui pourtant était très favorable, un mercato qui était positif, tu avais gardé tes meilleurs joueurs et tout était bien. Et tu arrives à ce genre de bagarre, parce qu'en réalité, c'est une bagarre. On a donc décidé de prendre des sanctions qui étaient certes fortes, mais je pense que les premiers punis c'est nous, c'est le club. Mais quand il y a des comportements comme ça, tu ne peux pas laisser passer. On est parti sur des affrontements physiques, coups de poing. On a un petit (Bakola) qui en plus à ce moment-là fait une sorte de malaise vagal, qui tombe par terre, et tout ça dans un vestiaire... Une scène de chaos, moi je n'ai jamais vu ça. Publicité La réaction de Roberto De Zerbi «Il a été choqué ! On s'est appelé tout le week-end. On a passé le samedi-dimanche au téléphone jusqu'à 3-4 heures du matin avec le coach. Il me demandait : «Mais pourquoi Medhi ? Pourquoi cette rage ? Pourquoi cette méchanceté ?' Ce n'est pas qu'ils se sont poussés ou pris par le col un peu, non, ce n'est pas comme ça. Donc pourquoi, on en est arrivé là ? Je ne comprends pas. Ils n'ont jamais eu un problème entre eux, avant, il n'y a jamais eu le moindre souci parce que je connais très bien les deux joueurs et je sais qu'ils étaient parfaitement intégrés dans ce groupe. Pour moi, c'est incompréhensible.» Déçu de l'attitude d'Adrien Rabiot ? «Je ne me permettrais jamais de dire l'enfant terrible Rabiot. Ce n'est pas vrai. Ils ne nous ont jamais causé le moindre problème ici. Adrien, c'était plus qu'un leader, c'était pour nous en tout cas le maillon fort de l'équipe, aussi bien humainement que sur le terrain. Moi, encore plus, j'avais, au-delà du respect, de l'affection pour Adrien Rabiot. Ça ne va pas changer, ça. Dans l'attitude, c'était parfait, c'est pour ça qu'on a d'autant été plus choqués que ça arrive avec un joueur comme ça. Je n'oublierai jamais les sacrifices qu'Adri' a faits pour venir. Je sais très bien les efforts qu'il a faits, je sais très bien les offres qu'il a reçues cet été et qu'il n'a même pas prises en considération parce qu'il se voyait vraiment rester. En revanche, quand il se passe ce genre de choses, c'est peut-être un cas isolé, mais c'est quelque chose de trop grave pour passer à côté.» Une sanction pour Rabiot en raison de sa non-prolongation de contrat ? «Franchement, je ne sais pas quoi répondre à ça. On lui a mis une offre sur la table depuis plus de deux mois et demi, qui était... Je ne sais même pas si quelqu'un à l'OM a déjà gagné ce salaire-là. Après, si Pablo veut rentrer dans les détails, c'est lui le président. Mais on a fait une offre de contrat qui a été juste par rapport au niveau du joueur. Attention, il l'a méritée. Mais cette offre avait pour but de le mettre tout en haut de notre projet. Donc aujourd'hui, se dire qu'on va perdre Adrien Rabiot à 10 jours de la fin du mercato… Pour ramener qui ? Dites-moi aujourd'hui sur le marché, je vais ramener qui, au moins au même niveau que Rabiot ? Je ne dis pas plus fort, parce qu'il n'y a pas, mais au moins au niveau…» Qui a pris la décision ? Roberto De Zerbi ? «Il y a des règles pour tout le monde dans le club et tu ne peux pas, comme j'ai dit, regarder à la tête du client : «bon bah si c'est lui je ferme les yeux»… Non parce qu'après tu as 22 mecs à gérer, tu as un groupe à gérer, tu as un club à gérer, on ne peut pas se permettre de réagir différemment en fonction de tel ou tel joueur. Cela a été une décision collégiale, c'était quelque chose pour nous de logique, on n'avait pas le choix. Surtout, comme je vous ai expliqué tout à l'heure, après 48 heures où on n'a même pas reçu un appel des deux parties, aussi bien de Johnny, d'Adrien ou de l'entourage, pour demander pardon, pour demander un rendez-vous, pour essayer de s'excuser auprès du groupe. Donc là, qu'est-ce que tu veux faire ? On est obligé de trancher et sachez que ça nous a fait mal, peut-être plus qu'à ces deux joueurs-là qui, croyez-moi, ne vont pas avoir du mal à trouver preneur. Quelles conséquences pour l'avenir à court terme ? «J'espère que ça va rebooster tout le monde, qu'on va redonner du poids à l'institution, que les joueurs vont comprendre que ce sont eux qui vont sur le terrain, ce sont eux les personnes les plus importantes mais qu'ils doivent quand même aussi rendre des comptes à l'intérieur et respecter aussi le cadre qu'on donne tous les jours. Parce que sans ça tu ne peux pas performer, sans ça tu ne peux pas aller haut, sans ça tu ne peux pas jouer 45 matchs dans la saison. On va peut-être être moins bon cette année. Peut-être qu'on ne finira pas deuxième. Peut-être qu'on finira troisième. Peut-être qu'on aura des difficultés, mais en tout cas, tant qu'on est là, la rigueur et la discipline, c'est primordial.»

Courtisé par plusieurs équipes du Big 5 et bénéficiant d'un bon de sortie au mercato, Maghnes Akliouche de plus en plus proche de rester à Monaco
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Courtisé par plusieurs équipes du Big 5 et bénéficiant d'un bon de sortie au mercato, Maghnes Akliouche de plus en plus proche de rester à Monaco

Courtisé par de prestigieuses écuries européennes, dont l'Inter Milan, Maghnes Akliouche semble bien parti pour rester à l'AS Monaco. Buteur samedi contre Le Havre (3-1), Maghnes Akliouche est toujours un joueur de Monaco. Et plus les jours passent, plus les chances de le voir rester une saison de plus en Principauté grandissent. « Notre ambition est de le garder à bord, affirmait jeudi dernier Thiago Scuro, le directeur général. Il est bien ici à Monaco, donc personne n'est pressé dans cette situation. Nous espérons pouvoir lui montrer qu'une saison de plus serait bénéfique aussi bien pour lui que pour le club. » Si l'ancien joueur de Villemomble et Torcy bénéficiait pour l'été d'un bon de sortie, le prix demandé par l'ASM pour l'international Espoirs (70 M€) s'est jusqu'ici révélé prohibitif. Le PSG gardait un oeil sur lui dans l'éventualité d'un départ de Kang-in Lee, mais la piste semble être totalement refroidie. L'Inter n'a pas encore fait d'offre Manchester City aurait également pu être une option, mais le grand nombre de joueurs présents à son poste constituerait un frein presque rédhibitoire. Un temps intéressé, Leverkusen ne mettra pas une telle somme et privilégierait son partenaire Eliesse Ben Seghir. Quant à l'Inter Milan, qui avait manifesté son intérêt dans la foulée du match amical entre les deux clubs, il y a deux semaines, elle n'a jusqu'ici pas fait d'offre.

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