
Après Genève, Justin et Hailey Bieber visitent la vallée de Joux
Justin Bieber et Hailey Bieber ont pris un café à l'Hôtel-Restaurant du Marchairuz, dans la vallée de Joux.
Instagram/@lilbieber
Justin Bieber continue de vadrouiller par chez nous et abreuve de ses aventures helvétiques son compte Instagram. Après le buzz de sa vidéo sur le pont du Mont-Blanc , où il s'extasiait à propos de la beauté de Genève, la star canadienne a posté mercredi sur le réseau social des portraits de lui et son épouse, Hailey Bieber, en balade dans le Jura vaudois.
Le couple s'est notamment arrêté à l' Hôtel-Restaurant du Marchairuz , comme le montre une galerie partagée par Justin Bieber, contenu qui ressemble à s'y méprendre aux photos de vacances de n'importe quel quidam, bien loin de l'esthétique léchée d'Instagram. Contacté par «Le Nouvelliste» , le restaurant jurassien n'a pas souhaité commenter la visite surprise des stars.
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De son côté, Hailey Bieber a posé à l'extérieur du Musée Atelier Audemars Piguet , toujours dans le Jura vaudois. Le Brassus est en effet le berceau historique de la célèbre marque de montres. La modèle et fondatrice des cosmétiques Rhode est une adepte de ces accessoires de luxe, mais pas l'une des ambassadrices officielles de la griffe horlogère, indique «Elle» .
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Après leur journée dans la campagne vaudoise, le couple semble s'être retiré à Genève pour la nuit. Le chanteur a publié une série de photos et de vidéos capturées depuis le Four Seasons Hôtel des Bergues.
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Le couple Justin et Hailey Bieber profitera-t-il d'une journée de plus dans nos contrées? Feuilleton à suivre…
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Laurène Ischi est journaliste au sein de l'équipe digitale de Tamedia. Après un bachelor en lettres à Lausanne, elle a obtenu son master à l'Académie du journalisme et des médias de l'Université de Neuchâtel en 2021. Elle se passionne pour les sujets de société et a travaillé pour «Femina» pendant 4 ans. Plus d'infos
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Accueil | Culture | Cinéma & séries | Le documentaire retrace l'ascension fulgurante et la chute brutale de l'enseigne fondée par l'homme d'affaires Dov Charney. Publié aujourd'hui à 10h31 Les enseignes American Apparel ont fleuri aux quatre coins du globe dans les années 2000. En Suisse, la ville de Zurich abritait un magasin de la marque. EPA American Apparel: si ce nom ne vous dit pas grand-chose, pour les enfants des années 90, il ravive des souvenirs vestimentaires. American Apparel, c'était le summum du chic à la sauce hipster, avec des basiques stylés, des pubs (très) suggestives et une promesse de mode éthique made in USA. Pour cette marque, tout avait bien commencé. Peut-être un peu trop. Ou alors seulement sur papier. Le 1er juillet 2025, Netflix a sorti «Trainwreck: The Cult of American Apparel» . Durant cinquante-quatre minutes et à coups de témoignages d'anciens employés, le film retrace l'ascension fulgurante, puis la chute brutale de l'enseigne fondée par l'homme d'affaires canadien Dov Charney au printemps 1989. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Lorsque American Apparel débarque sur le marché au début des années 90, l'enseigne est saluée pour ses salaires soi-disant décents et sa production locale. Mais dès le début, il y a une ombre au tableau, qui déplaît comme elle séduit: la mise en scène sexualisée des campagnes publicitaires, avec de jeunes mannequins dans des poses osées. Derrière l'idéal, le délétère Et ce n'est pas tout. Car le documentaire raconte aussi une autre histoire. Celle d'un environnement de travail toxique, avec Dov Charney en chef d'orchestre. Un personnage dont l'aura de génie un peu fou cachera trop longtemps un management délétère – comme lorsqu'il hurle sur un employé, par téléphone, à 3 heures du matin. Au fil du documentaire, les accusations fusent contre Charney. Parmi elles: des conditions de travail épuisantes, mais aussi des gestes inacceptables dont du harcèlement sexuel à l'encontre de jeunes employées et une position de «gourou» assumée. Un système à interroger Dov Charney, de son côté, nie en bloc. Il n'a jamais été reconnu coupable d'un crime. Mais l'accumulation de scandales aura raison de lui: il est évincé en 2014, la marque fait faillite en 2015 puis sera rachetée. Elle survit aujourd'hui, en ligne seulement. Charney, lui, a rebondi chez Yeezy, l'enseigne d'un certain Kanye West. Séduisante, la production Netflix laisse cependant un goût d'inachevé. Le film évite d'interroger un écosystème plus large, qui inclut les investisseurs, les médias, et même les consommateurs, tous trop souvent fascinés par le mythe du «créatif déviant», ce génie à qui on pardonnait tout. Jusqu'à maintenant. Plus sur les films, séries et documentaires à voir sur Netflix Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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À la rencontre des fans de Justin Bieber, en vacances à Genève
Entre espoir et civilité helvétique, des fans de la pop star canadienne ont patienté sagement devant l'Hôtel des Bergues en espérant apercevoir le chanteur. Publié aujourd'hui à 16h04 Justin Bieber réside à l'Hôtel des Bergues à Genève, où ses fans vont et viennent poliment dans l'espoir d'apercevoir leur idole. GC Images Justin Bieber a annoncé sa présence à Genève mardi dans une vidéo postée sur son compte Instagram. On l'y apercevait se baladant tranquillement à vélo sur le pont du Mont-Blanc, se rendant compte que «Genève, c'est si beau». Il réside depuis à l'Hôtel des Bergues, où ses fans vont et viennent poliment dans l'espoir d'apercevoir leur idole. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. En arrivant ce jeudi devant le lieu où réside la star, on pourrait croire qu'il ne s'y passe rien. Néanmoins, quelques observateurs sont bien là; ils se font discrets comme pour essayer d'attraper le chanteur par surprise. Trois jeunes filles apposées contre une barrière font mine d'être désintéressées, mais gardent un œil sur la porte d'entrée. «On attend là depuis 9 h ce matin, et on se donne jusqu'à 11 h avant de se dire que c'est fichu.» Les Genevois se sont fait discrets ce jeudi matin devant l'Hôtel des Bergues, où réside la star canadienne. SAMI FROGG En marchant un peu plus loin, deux femmes assument, elles, de camper droit devant la porte d'entrée, et font même des allers-retours jusqu'au personnel de l'hôtel. «On nous a dit qu'il devait sortir à 10 h ce matin, et puis on l'a aperçu à travers la vitre du restaurant, avant qu'il ne se volatilise à nouveau», relatent les deux observatrices de 23 ans. «Si on le voit, on ne prendra pas de photos» Qu'attendent ces fans de la superstar? Une photo, un signe de la main ou simplement de la voir en chair et en os? «On sait qu'il n'aime pas les photos, il a l'impression qu'on l'agresse et qu'on lui vole son intimité, expliquent les deux jeunes femmes. On veut juste le voir en vrai, Justin Bieber, il fait partie de nos vies depuis qu'on est gamines.» Elles estiment par ailleurs que le partage de contenu de la star n'est pas anodin: «Pourquoi est-ce qu'il nous montrerait où est sa chambre s'il ne cherchait pas à avoir des fans en bas de son hôtel? Je pense qu'il cherche à amasser la foule, mais à Genève, les gens sont trop polis pour ça!» admettent-elles en riant. «Justin qui?» Dans les commerces environnants, la venue du chanteur ne procure pas tout à fait le même effet. Au coiffeur installé juste à côté de l'hôtel, on avoue être plutôt indifférent à l'événement – «Justin qui? Je ne suis même pas vraiment sûr de savoir qui c'est, témoigne la tenante du salon de coiffure. À moins qu'il ne veuille venir se couper les cheveux chez nous, je m'en fiche un peu.» Les fans genevois ne savent pas combien de temps il leur reste encore pour entrevoir leur idole. En attendant, l'artiste a l'air de prendre du bon temps en Suisse, notamment en visite dans la vallée de Joux dans le canton de Vaud. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Davantage sur les vacances de Justin Bieber en Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.