Amanda Anisimova - Iga Swiatek, Grand Chelem, Wimbledon, Finale, Samedi 12 juillet 2025
La rencontre est programmée le samedi 12 juillet 2025 à 17h05 et sera à suivre en direct.
Avant le début du tournoi, Amanda Anisimova figure au 12ème rang au classement WTA et Iga Swiatek au 4ème.
Entrée des joueuses
Iga Swiatek et Amanda Anisimova font leur entrée sur le Centre Court. L'Américaine a remporté le tirage au sort et a choisi de servir d'entrée.
Anisimova pour un premier sacre en Grand Chelem
Vainqueur de deux titres dans sa carrière, à Melbourne en WTA 250 et à Doha en WTA 1000, l'Américaine de 23 ans va disputer sa première finale en Grand Chelem.
Le parcours de la n4 mondiale est quasiment parfait, elle n'a laissé en route qu'un petit set face à McNally au second tour (5-7, 6-2, 6-1). En demi-finale, la Polonaise s'est baladée face à Belinda Bencic (6-2, 6-0).
En face, Swiatek, souvent en difficulté sur gazon, se montre de plus en plus à l'aise sur la surface. C'est la première fois de sa carrière que la quadruple vainqueur de Roland-Garros rejoint la finale à Londres.
Après sa finale perdue au Queens face à Maria, Anisimova est arrivée à Wimbledon avec le plein de confiance. L'Américaine n'a perdu que 3 sets pour se hisser en finale, notamment lors de la demie accrochée face à la n1 mondiale Sabalenka (6-4, 4-6, 6-).
La fin de l'ère tchèque
L'une des deux joueuses succèdera à deux Tchèques au palmarès du tournoi, après Marketa Vondrousova en 2023 et Barbora Krejcikova en 2024.
Une nouvelle reine sera sacrée à Londres
Anisimova et Swiatek vont disputer leur première finale de Wimbledon. Quoi qu'il arrive, une nouvelle joueuse ajoutera son nom au palmarès du Grand Chelem le plus prestigieux du monde.
Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes
L'Équipe
23 minutes ago
- L'Équipe
Nathanaël Molin, coach d'Alexis et Félix Lebrun : « Un très bon point de passage »
Avant de s'octroyer quelques jours de vacances, Nathanaël Molin dresse le bilan du Grand Smash de Las Vegas qui s'achève dans la nuit de dimanche à lundi, et des six premiers mois de l'année pour les frères Lebrun. « La semaine semble avoir particulièrement puisé dans les ressources des protagonistes du Grand Smash à Las joueurs ont été mis à rude épreuve. Le tennis de table s'est expatrié à un endroit où personne ne joue, donc tout le monde avait un décalage horaire énorme (9 heures avec la France, 15 avec Pékin, en Chine). Il y a eu plein de petits couacs, et toujours ce truc d'aller dans des endroits bling-bling... Nous, on préfère une bonne salle, une bouffe simple et correcte pour des sportifs, une salle d'entraînement... Mais être logé au MGM (gigantesque hôtel-casino 4 étoiles), ce n'est pas intéressant. Vous venez de boucler la première partie de l'année, quel bilan en tirez-vous ?La période d'après-Jeux a duré très longtemps, j'estime ça jusqu'à mars-avril. Où dès qu'on croisait quelqu'un, on nous en parlait... Après, on a enchaîné sur une période complexe pour Alexis, avec sa blessure (fin mars) et la préparation des Championnats du monde. On arrive un peu à bout de souffle. On a fait les deux dernières compétitions, à Ljubljana (en Slovénie) et là (à Las Vegas), en étant plus légers dans notre approche, c'est-à-dire sans les préparer spécifiquement. Ce qui a sans doute permis d'être plus frais mentalement. Résultats sur les deux tournois : une finale et une demi-finale en simple pour Félix, une demie pour Alexis à Ljubljana, et deux finales en double. Vous devriez faire comme ça pour toutes les compétitions...Ça s'est bien passé, mais c'est aussi le fruit de toutes les choses mises en place sur les dix-huit derniers mois. Félix, par exemple, a réussi sur le match d'hier (dimanche, en demi-finales face à Wang Chuqin) à mettre en place le jeu qui correspond à celui où on veut l'amener dans le futur. C'est un très bon point de passage. On s'appuie sur des choses qu'on avait vues à l'entraînement et par moments seulement en match. Il l'a fait sur une rencontre en sept sets extrêmement serrés, où le niveau était très proche des Jeux Olympiques, des deux côtés. Ça permet d'avoir une analyse précise du travail qui a été fait. « J'aime bien quand on ferme la salle (...), c'est toujours bon signe » Nathanaël Molin à propos des bons résultats des Lebrun dans les tournois Disputer le double, en plus du simple, permet souvent à Alexis ou Félix d'avoir une deuxième chance. Est-ce important ?La première chose, c'est qu'on finit les tournois. J'aime bien quand on ferme la salle, c'est agréable. Lilian (Bardet, quart-finaliste pour sa première apparition dans le tableau principal d'un Grand Smash) me disait que ça lui faisait bizarre d'arriver dans la salle d'échauffement, où il n'y avait plus que 5-6 joueurs. Tu savoures ces moments-là. Et c'est toujours bon signe. D'autre part, le double prend une vraie importance avec les JO (les épreuves de double masculin et féminin, supprimées en 2008, feront leur retour aux JO de Los Angeles en 2028). Et il permet de travailler certaines choses très spécifiques qui peuvent faire progresser en simple, notamment en remise de service. Finalement, vous vous situez dans les temps de passage prévus cette année ?On avait deux points-clés, les Championnats du monde (médaille de bronze en double à Doha fin mai) et l'Euro par équipes (à Zadar, en Croatie, du 12 au 19 octobre), avec les compétitions autour. C'est-à-dire la Coupe du monde (en avril), où on n'a pas été fantastiques (Félix Lebrun ne sort pas des poules, Alexis est forfait). On va viser maintenant octobre-novembre, avec les Championnats d'Europe par équipes, Montpellier (WTT Champions, du 28 octobre au 2 novembre) et la Coupe du monde mixte (30 novembre-7 décembre à Chengdu, en Chine), puis bien finir l'année aux WTT Finals (10-14 décembre à Hong-Kong). »
L'Équipe
24 minutes ago
- L'Équipe
Mercato : Junior Diaz (Troyes) officiellement prêté à Brest
Comme annoncé par « L'Équipe » cette semaine, le défenseur central de Troyes Junior Diaz rejoint officiellement, dans le cadre d'un prêt, le Stade Brestois pour la saison prochaine. Le Stade Brestois tient son premier renfort pour la saison à venir. Comme révélé dans nos colonnes quelques jours plus tôt, Junior Diaz, 21 ans, a officiellement rejoint Brest sous la forme d'un prêt jusqu'à la fin de la saison 2025-2026. Le défenseur central franco-ivoirien rejoindra directement les hommes d'Éric Roy à Dinard pour y parapher son contrat et participer au stage de présaison, a annoncé le club. Formé au FC Nantes, Junior Diaz avait été prêté au FC Annecy une saison avant d'être définitivement transféré à l'ESTAC l'été dernier pour 2,5 millions d'euros. Diaz sort d'une solide saison avec Troyes, puisqu'il a disputé l'intégralité des rencontres de Ligue 2 et de Coupe la saison dernière (soit 39 fois 90 minutes). Le défenseur central, sous contrat jusqu'en 2029 dans l'Aube, va découvrir la Ligue 1 pour la première fois sous les couleurs du club breton.
L'Équipe
24 minutes ago
- L'Équipe
En vidéo, le doublé en huit minutes de Cole Palmer (Chelsea) contre le PSG en finale de la Coupe du monde des clubs
Cole Palmer a inscrit un doublé en huit minutes (22e, 30e) pour Chelsea dimanche en finale de la Coupe du monde des clubs face au Paris-Saint-Germain. Après un premier but inscrit en position de hors-jeu, Cole Palmer a récidivé. Et même à deux reprises. Dans un premier temps, à la 22e minute de jeu, Robert Sanchez, le portier espagnol de Chelsea, a d'abord trouvé, sur un dégagement, la tête de Nuno Mendes. Mais bousculé, le piston gauche parisien a perdu un duel à l'épaule avec Malo Gusto. L'ancien défenseur de l'Olympique Lyonnais en a profité pour servir dans la surface Cole Palmer, qui a parfaitement ouvert son pied gauche pour tromper Gianluigi Donnarumma et ouvrir la marque. Huit minutes plus tard, Cole Palmer a profité d'une belle passe en profondeur de Levi Colwill, toujours sur le côté droit, pour se projeter vers l'avant, contrôler, feinter la défense parisienne et frapper de la même manière que sur son premier but pour doubler la mise à la demi-heure de jeu.
