
Trump ordonne le déploiement de la Garde nationale à Washington
Publié aujourd'hui à 18h24
Selon Donald Trump, la ville de Washington est «envahie par des gangs violents».
AFP
Donald Trump a annoncé lundi placer le maintien de l'ordre dans la capitale Washington sous le contrôle des autorités fédérales, ainsi que le déploiement de militaires de la Garde nationale, des mesures exceptionnelles pour cette ville qu'il dit «envahie par des gangs violents».
Alors que les statistiques officielles montrent une baisse de la criminalité violente à Washington, le président américain a déclaré invoquer une mesure qui l'autorise à prendre le contrôle de la police de cette ville au statut particulier aux États-Unis.
«C'est devenu une situation d'anarchie complète et totale, et nous allons nous débarrasser des bidonvilles», a affirmé Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison-Blanche, après avoir sommé les sans-abri de Washington de partir «loin» de la ville dans une publication la veille sur sa plateforme Truth Social. Une initiative pas seulement à Washington
Le président républicain a aussi promis que son initiative ne s'arrêterait pas à Washington, où il a décrété un état d'urgence.
«Ça va aller plus loin. Nous commençons de manière très forte à (Washington) et nous allons nettoyer ça bien rapidement», a-t-il déclaré.
Donald Trump a aussi dit déployer la Garde nationale, un corps de militaires de réserve, «afin de rétablir la loi, l'ordre, et la sécurité publique».
Il avait déjà mobilisé en juin la Garde nationale en Californie, contre l'avis du gouverneur démocrate, Gavin Newsom, affirmant vouloir ainsi rétablir l'ordre à Los Angeles après des manifestations contre des arrestations d'immigrés par la police fédérale de l'immigration (ICE).
À l'inverse des 50 États américains, la Municipalité de Washington opère dans le cadre d'une relation particulière avec l'État fédéral qui limite son autonomie.
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Ou bien peut-être: nous pouvons conclure un accord», a dit Trump. Mercredi, il a déclaré vouloir organiser une rencontre entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et lui-même «presque immédiatement» en fonction de la teneur de son tête-à-tête et a averti que la Russie ferait face à des «conséquences très graves» si elle n'acceptait pas de mettre fin à la guerre, sans pour autant qu'il ne rentre dans les détails. Si les présidents américains disposent d'une grande latitude en ce qui concerne la politique étrangère, Trump bénéficie d'une marge de manœuvre encore plus grande que celle de la plupart de ses prédécesseurs. Il s'est affranchi du pouvoir du Congrès, dont les présidents américains doivent traditionnellement tenir compte. Même si une majorité d'élus républicains demeurent favorables à l'aide à l'Ukraine, ils se sont abstenus de critiquer les ouvertures faites à la Russie. Le sénateur républicain de Caroline du Sud Lindsey Graham, auteur d'un projet de sanctions massives contre les importateurs de pétrole russe pour forcer Poutine à négocier, n'a pas poussé plus loin son texte. «J'ai toute confiance dans le président pour aller rencontrer Poutine en position de force, a-t-il commenté sur son compte X. Il est temps de mettre fin à cette guerre de manière honorable… Je suis convaincu que le président Trump obtiendra un accord favorable pour tous.» Une guerre absurde Trump a aussi écarté les experts, conseillers, militaires ou diplomates, spécialistes de la Russie, qui l'entouraient au cours de son premier mandat et avaient à plusieurs reprises dissuadé Trump de prendre des décisions qu'ils estimaient contraires aux intérêts américains. James Mattis, son secrétaire à la Défense, son premier secrétaire d'État, Rex Tillerson, ou son successeur, Mike Pompeo, ou encore le conseiller à la Sécurité nationale John Bolton, qui mettaient Trump en garde contre les menées de Poutine, ne sont plus là. Marco Rubio, qui occupe à la fois le poste de secrétaire d'État et de conseiller à la Sécurité nationale, lui-même ancien faucon, et qui aurait pu jouer ce rôle, a mis en sourdine ses positions. Les experts du Conseil de sécurité nationale ont été purgés. Et, surtout, Trump n'accorde aucune confiance à ses diplomates ou à ses agences de renseignement. Les négociations avec la Russie ont été menées depuis le début par Steve Witkoff, ami personnel de Trump, et lui aussi issu du monde de l'immobilier. Sans expérience de la diplomatie, Witkoff a rencontré à plusieurs reprises Poutine sans être entouré par les professionnels du Pentagone ou du Département d'État, qui ont été effarés de l'entendre reprendre à son compte des arguments du Kremlin ou bien oublier les noms des cinq provinces ukrainiennes occupées ou revendiquées par Moscou. Trump a enfin semé le doute dans l'opinion américaine. Relativement simple comparée à d'autres crises internationales, l'invasion de l'Ukraine par la Russie est présentée par Trump comme une guerre absurde, une tuerie dont les deux camps sont les victimes, et dont la principale responsabilité revient à l'imprudence de Joe Biden et aux provocations de Zelensky. «Je m'entends bien avec Zelensky. Mais, vous savez, je ne suis pas d'accord avec ce qu'il a fait», a remarqué Trump après que le président ukrainien a refusé par avance de céder son territoire. Le courant incarné par le vice-président JD Vance, le fils de Trump Don Junior, et le podcaster Tucker Carlson avance toutes sortes d'arguments pour justifier l'abandon de l'Ukraine par les États-Unis et l'imposition d'une paix carthaginoise à Kiev. Ils se réclament de ce qu'ils appellent le «réalisme», reprenant les arguments de l'historien John Mearsheimer: l'Ukraine ne peut pas gagner la guerre, sa défense est donc inutile, et l'aide américaine un coûteux gâchis. Ils invoquent parfois aussi le pacifisme: il est temps d'arrêter un massacre dépourvu de sens, et qui risque d'entraîner une escalade nucléaire avec la Russie. D'autres enfin justifient l'abandon de l'Ukraine pour se focaliser sur la rivalité avec la Chine, comme si la guerre se déroulait dans un autre espace-temps. Débarrassé des contre-pouvoirs Mais Trump ne dépend pas non plus de cette mouvance isolationniste, à laquelle il a déjà imposé ses vues en décidant de rejoindre Israël dans sa campagne aérienne contre l'Iran en juin dernier. Trump avait alors fait taire les critiques, expliquant qu'il était le seul habilité à interpréter la doctrine America First, puisqu'il l'avait lui-même créée. Débarrassé des contre-pouvoirs qui entravent ou paralysent régulièrement les décisions des présidents américains, affranchis des avis contradictoires des experts, des rivalités entre les militaires et les diplomates, sans opposition parlementaire, entre des démocrates déboussolés et inaudibles et des Républicains soumis, Trump est libre de traiter comme il l'entend avec Vladimir Poutine. Mais ces atouts s'accompagnent de plusieurs faiblesses. Le peu d'intérêt de Trump pour le détail des dossiers, son goût pour les solutions simples le rendent vulnérable aux manipulations et aux distorsions, face à un Vladimir Poutine qui connaît intimement le terrain comme les enjeux. Trump est aussi impatient. Désireux d'en finir avec une guerre à laquelle il a promis de mettre fin, ignorant les racines d'un conflit ancien et existentiel pour les belligérants, il se prive de l'une des armes essentielles de la diplomatie en recherchant un accord à tout prix. Le président américain, qui lorgne le Prix Nobel de la paix, accordé de façon peu justifiée à Obama dès son élection, veut parvenir à un cessez-le-feu, qui lui permettrait de proclamer une victoire diplomatique. La personnalisation extrême de la diplomatie trumpienne lui fait confondre ses inclinations personnelles avec les intérêts de son pays. Son aversion pour Zelensky, qui remonte au coup de téléphone qui lui a valu sa première destitution en 2019, ainsi que son inclination pour Poutine, seul dirigeant qu'il ne critique quasi jamais et dont il semble constamment rechercher l'approbation, introduit une variable inconnue. Un partage du territoire ukrainien, inacceptable pour l'Ukraine et pour l'Europe, mais qui aurait pour effet de faire apparaître aux yeux de Trump Zelensky comme la source du blocage, serait une victoire pour Poutine. Trump a fait d'avance taire les critiques: «Les médias sont très injustes à propos de ma rencontre avec Poutine», a-t-il écrit mercredi sur son réseau Truth Social. «Ils citent des incapables qui se sont fait licencier et des gens vraiment stupides, comme John Bolton, qui vient de déclarer que, même si la rencontre a lieu sur le sol américain, «Poutine a déjà gagné.» Si j'obtenais la libération de Moscou et de Leningrad dans le cadre de l'accord avec la Russie, les fake news diraient que j'ai conclu un mauvais accord! Mais cela n'a pas d'importance, car nous gagnons sur tous les fronts!!!» a dit Trump, utilisant le nom donné par les Soviétiques à Saint-Pétersbourg. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. 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24 Heures
4 hours ago
- 24 Heures
Méditerranée: Naufrage de migrants à Lampedusa: les recherches continuent
De nombreuses personnes sont encore portées disparues après le naufrage meurtrier d'un bateau de migrants au large de Lampedusa. Publié aujourd'hui à 01h57 Mis à jour il y a 5 minutes Des migrants montent dans un véhicule de la Croix-Rouge après avoir débarqué à Lampedusa, sauvés de leur bateau coulé en mer Méditerranée. AFP Les recherches se sont poursuivies jeudi pour tenter de retrouver des migrants ou les corps de nombreuses personnes encore portées disparues après un naufrage qui a fait au moins 27 morts au large de Lampedusa. Sur la petite île italienne, dans le cimetière où sont conservés les corps de certaines victimes, deux femmes sont venues déposer des fleurs. «Le moins qu'on puisse faire, c'est venir dire une prière pour ces gens qui cherchaient une vie meilleure, ils n'ont rien fait et ont trouvé la mort», dit l'une d'elles, Donata, interrogée par l'AFP, et qui a refusé de donner son nom de famille. Parmi les corps de 23 des victimes inspectés pour être identifiés, les autorités ont dénombré 13 hommes, 7 femmes et trois mineurs, y compris une nouveau-née. Les gardes-côtes ont étendu le périmètre de leurs recherches, qui dureront jusqu'à dimanche. Le porte-parole de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), Flavio di Giacomo, avait fait état mercredi sur X d'«environ 95 personnes parties de Libye sur deux bateaux» mais l'agence de presse italienne Ansa mentionne entre 100 et 110 personnes. Il pourrait donc y avoir jusqu'à 23 disparus. Veillée aux flambeaux Ces migrants seraient partis des alentours de Tripoli à l'aube mercredi, mais après que l'un des deux bateaux «a pris l'eau», les passagers «ont grimpé sur l'autre, qui a chaviré sous la charge», a expliqué Flavio di Giacomo. Pendant la soirée, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées pour une veillée aux flambeaux au sanctuaire de la Madonna di porto Salvo, en hommage aux migrants qui ont perdu la vie mercredi. «Les arrivées de migrants continuent (…) nos bras sont toujours ouverts mais quand ces morts surviennent, cela nous fait trop mal», dit à l'AFP Angela, une habitante de Lampedusa qui a participé à la veillée. Sur une vidéo diffusée jeudi soir par les gardes-côtes italiens, on voit un bateau des secouristes lancer une bouée à de jeunes migrants dans les vagues et qui s'y agrippent désespérément. Les survivants, eux, sont au nombre de 60, dont 21 mineurs, ont indiqué des responsables de la Croix-Rouge et du centre d'accueil des migrants sur Lampedusa. Somaliens et Égyptiens Le directeur du centre, Imad Dalil, a précisé que 58 des rescapés sont «en bonne santé» tandis que deux autres ont été évacués par hélicoptère en Sicile pour y être soignés. La majorité d'entre eux sont Somaliens, et quelques-uns Égyptiens. Parmi eux, une Somalienne a perdu son fils et son mari, selon un témoignage recueilli par le journal Il Corriere della Sera. «J'avais mon fils dans les bras et mon mari à mes côtés. Je ne sais pas comment, nous nous sommes retrouvés à l'eau. Les vagues les ont tous deux emportés», a-t-elle raconté. Les personnes qui tentent de rejoindre l'Italie par Lampedusa, située à seulement 145 km des côtes nord-africaines, font souvent la traversée à bord de bateaux surchargés ou en mauvais état. La route maritime du centre de la Méditerranée est la plus dangereuse du monde pour les migrants, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). Plus de 700 morts en 2025 «Plus de 700 réfugiés et migrants sont morts en 2025 en Méditerranée centrale», a déploré sur X le chef du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi. Malgré les naufrages meurtriers, les embarcations continuent d'arriver jour après jour: quatre autres ainsi été interceptées au large de Lampedusa dans la nuit de mercredi à jeudi, et jeudi soir quarante personnes débarquaient au port de Lampedusa. D'après la Croix-Rouge, elles étaient parties de Libye et originaires d'Égypte, Pakistan et Bangladesh. Le centre d'accueil abrite actuellement 240 migrants, selon son directeur Imad Dalil. Le gouvernement d'extrême droite de Giorgia Meloni, arrivé au pouvoir en octobre 2022 en promettant d'enrayer les arrivées de migrants, a passé des accords avec des pays d'Afrique du Nord, leur apportant des financements et des formations contre une aide pour lutter contre le départ d'embarcations vers l'Italie. D'après le ministère italien de l'Intérieur, plus de 38'500 personnes sont arrivées en Italie cette année par voie maritime. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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États-Unis: 800 gardes nationaux arrivés pour «nettoyer» Washington
Malgré une baisse de la criminalité violente, Donald Trump a mobilisé la Garde nationale pour combattre des «gangs violents» dans la capitale. Publié aujourd'hui à 22h26 Mis à jour il y a 1 minute Un membre de la Garde nationale américaine passe devant des véhicules militaires sur le National Mall à Washington, le 14 août 2025. AFP Les 800 gardes nationaux mobilisés par Donald Trump pour «nettoyer» Washington, selon les termes du président américain, sont dans la capitale américaine, a indiqué jeudi le Pentagone. «A ce stade, les 800 membres de la Garde nationale ont été mobilisés (…) et ils trouvent désormais ici, dans notre capitale», a déclaré à des journalistes Kingsley Wilson, porte-parole du ministère de la Défense. Ils «aideront la police de Washington et ses partenaires fédéraux chargés de l'ordre public à assurer la sécurité des monuments, à effectuer des patrouilles de sécurité dans les quartiers, à protéger les installations et les agents fédéraux « et à contrôler la circulation, a-t-elle ajouté. Ces militaires de réserve «resteront sur place jusqu'à ce que l'ordre public soit rétabli dans la ville, comme décidé par le président» Donald Trump. «Gangs violents» Le président américain a annoncé lundi placer le maintien de l'ordre à Washington sous le contrôle de son administration et déployer la Garde nationale. Des mesures exceptionnelles pour cette ville qu'il dit «envahie par des gangs violents» et qu'il veut «nettoyer». Les statistiques officielles montrent pourtant une baisse de la criminalité violente dans la capitale. Donald Trump avait déjà mobilisé en juin la Garde nationale en Californie, contre l'avis du gouverneur démocrate Gavin Newsom, affirmant vouloir ainsi rétablir l'ordre à Los Angeles après des manifestations contre des arrestations musclées d'immigrés par la police fédérale de l'immigration (ICE). A l'inverse des 50 Etats américains, la municipalité de Washington opère dans le cadre d'une relation particulière avec l'Etat fédéral qui limite son autonomie. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.