
En Bourse, jouez la reprise du logement neuf, 2 valeurs compliquées à fuir, tout savoir sur les Bourses d'Afrique... Consultez La lettre des placements du 16 juillet
L'édition du mercredi 16 juillet de La lettre des placements, l'hebdomadaire de conseils boursiers du Figaro, vient de paraître. Découvrez le sommaire de ce numéro et consultez le PDF de La lettre.
Chers lecteurs, chers abonnés,
Diversement apprécié : nombreux sont les analystes financiers qui goûtent peu le projet de budget de l'État pour 2026 présenté ce mardi par François Bayrou. Dans l'éditorial de ce numéro, Emmanuel Gentilhomme, rédacteur en chef de La lettre, recense quelques-uns de leurs avis : ils n'ont pas leur langue dans la poche !
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Bruno Cavalier, économiste principal d'Oddo BHF, est radical : « du mousseux tiède, pas du champagne » ! Ce projet « aboutira à augmenter la durée de travail de 18 minutes et 22 secondes par semaine et à réduire les effectifs de la fonction publique de 0,05%. Waouh ! », raille le spécialiste. Et que doivent en penser les particuliers qui investissent sur les marchés ? Doivent-ils avoir à l'esprit les leçons du passé et être en mode « Souviens-toi l'été dernier » ? Éléments de réponse dans l'éditorial, en Une.
Un dossier à renforcer, deux à liquider
Encore du mouvement cette semaine sur la centaine de valeurs suivies par la rédaction…
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Le Figaro
41 minutes ago
- Le Figaro
Recyclage des vêtements : les élus locaux appellent les fabricants à «assumer leurs responsabilités»
Maires, élus des métropoles, des régions et des intercommunalités appellent mercredi les entreprises qui vendent des vêtements à financer le recyclage et la collecte des vêtements à hauteur des besoins de la filière de recyclage, actuellement en crise. Depuis l'été dernier, la France, bonne élève au niveau européen et mondial en matière de valorisation des déchets textiles, voit sa filière menacée par la concurrence des vêtements d'ultra fast fashion venus d'Asie, avec pour première conséquence visible la fermeture de nombreuses bornes de collecte de vêtements et de chaussures. Publicité Dans leur communiqué, également signé par le Cercle national du recyclage, les associations de collectivités «soutiennent Le Relais dans ses demandes vis-à-vis de l'éco-organisme Refashion» et appellent les vendeurs de vêtements à «assumer leurs responsabilités». La semaine dernière, le réseau d'entreprises de tri de textiles usagés Le Relais a déversé des tonnes de vêtements devant plusieurs grandes enseignes (Decathlon, Okaïdi, Kiabi...) et interrompu la collecte sur ses bornes pour demander davantage de soutien pour la filière. 270.000 tonnes de déchets textiles par an Selon le principe du «pollueur payeur», qui rend les fabricants et distributeurs responsables de la fin de vie de leurs produits, une contribution est prélevée sur chaque article vendu pour financer la collecte et à la valorisation. Refashion, l'organisme qui collecte ces contributions, reverse ensuite aux acteurs de la filière du tri des vêtements une contribution qui s'élève jusqu'ici à 156 euros la tonne. Après l'action menée par Le Relais, le ministère de la Transition écologique a annoncé un soutien de 49 millions d'euros, versé par l'éco-organisme Refashion en 2025 aux acteurs du tri de textiles, portant montant de la contribution à 223 euros la tonne. Le Relais demandait une revalorisation à 304 euros par tonne de vêtements triés. À lire aussi Petits créateurs, grandes copies : quand Shein, Temu ou AliExpress s'inspirent un peu trop des marques françaises Les élus locaux «prennent acte» des annonces du ministère de la Transition écologique, mais réclament «des mesures financières conséquentes» qui «devront être débloquées par Refashion afin d'assurer un fonctionnement durable de la filière». Chaque année, environ 270.000 tonnes de déchets textiles sont collectées en France et «60% des produits triés» sont revendus en fripe, dont 90% à l'étranger, selon le rapport 2023 de Refashion.


Le Figaro
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- Le Figaro
La biotech Abivax s'envole de plus de 385% à la Bourse de Paris après des résultats positifs d'essais cliniques
Le bond de son cours intervient après l'annonce de résultats positifs de deux essais cliniques avancés dans la maladie chronique de l'intestin. Abivax s'envole. L'action de l'entreprise de biotechnologie spécialisée dans le développement de traitements de maladies inflammatoires chroniques, bondissait de plus de 385% mercredi matin à la Bourse de Paris après l'annonce de résultats positifs de deux essais cliniques avancés dans la maladie chronique de l'intestin. Après avoir été suspendue environ deux heures depuis l'ouverture, l'action s'envolait de 385,40% à 43,20 euros vers 11h10 à la Bourse de Paris, dans un marché en hausse de 1,23%. L'évaluation du médicament expérimental Obefazimod, dans la rectocolite hémorragique modérée à sévère, a montré une «rémission» des symptômes de la maladie, selon un communiqué d'Abivax, cotée à Paris et New York. Publicité Plus d'informations à venir...


Le Figaro
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- Le Figaro
Amende réduite pour l'ex-Crédit Suisse (groupe UBS) dans un litige avec l'UE
Le Tribunal de l'UE a confirmé mercredi l'infraction à la libre concurrence reprochée au Crédit Suisse, désormais intégré au groupe bancaire UBS, pour des pratiques remontant à 2011-2012, mais a réduit le montant de l'amende infligée par Bruxelles. Cette amende est ramenée de 83,2 millions d'euros à 28,9 millions, précise dans un communiqué la juridiction établie à Luxembourg, qui pointe du doigt un mauvais mode de calcul de la Commission européenne. Toutefois, le tribunal «confirme la participation de Crédit Suisse à une entente dans le secteur des opérations de change au comptant», est-il souligné. La maison mère UBS, qui avait saisi la justice de l'UE pour faire annuler les sanctions, est déboutée sur le fond. Les moyens qu'elle a invoqués pour contester la décision de la Commission européenne «ne sont pas fondés», tranche le tribunal. UBS a la possibilité de former un pourvoi limité aux questions de droit. Publicité Calcul «erroné» Dans une enquête à plusieurs volets, la Commission européenne avait infligé fin 2021 un total de plus de 344 millions d'euros d'amendes à cinq banques reconnues coupables d'entente sur le marché des opérations de change, entre mai 2011 et juillet 2012. Il s'agissait à l'époque de Crédit Suisse, UBS (les deux étaient des entités distinctes) et des trois établissements britanniques Barclays, HSBC et Royal Bank of Scotland (désormais NatWest). Cette enquête a révélé que des traders chargés des opérations de change au comptant sur certaines devises, agissant au nom des banques sanctionnées et censées être en concurrence, se coordonnaient en fait dans leurs stratégies de négociation. Leurs échanges intervenaient sur des forums de discussion professionnels. Parmi les cinq banques, Crédit Suisse avait été la seule à refuser de coopérer à l'enquête, rappelle le tribunal. La banque s'était vue infliger une amende dans une décision distincte, sans bénéficier des réductions prévues par les procédures de clémence. En définitive, le calcul initial fixant l'amende à 83,2 millions d'euros était «erroné», selon le tribunal. Il estime que la Commission aurait dû se référer aux données produites par le Crédit Suisse sur la valeur des ventes résultant de l'entente anticoncurrentielle.