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Après le pic d'ozone à Genève, le dispositif Stick'Air sera levé jeudi

Après le pic d'ozone à Genève, le dispositif Stick'Air sera levé jeudi

24 Heuresa day ago
Les niveaux d'ozone ont baissé. Le dispositif autorisant ou non les véhicules à circuler dans le centre du canton ne sera pas appliqué jeudi, annonce le Canton. Publié aujourd'hui à 19h00
Le panneau d'interdiction de circuler, à l'exception des catégories autorisées. Il devrait disparaître des rues jeudi. KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi
Il n'y aura pas de bouchons liés à la mise en place du dispositif antipollution sur les routes genevoises jeudi matin. Le Canton a annoncé mercredi en fin de journée que le dispositif allait être levé dès mercredi soir, 22 heures, de même que la limitation à 80 km/h sur l'autoroute de contournement. La gratuité des transports publics ne sera pas reconduite au terme des services de nuit.
La décision a été prise à la suite du constat que la qualité de l'air, après plusieurs jours de fortes concentrations d'ozone, connaît une amélioration. «Après avoir atteint localement mercredi le niveau de 223 µg/m3, l'ozone ne présente plus actuellement de concentrations dépassant le seuil de 180 µg/m³ associé au déclenchement de mesures antismog à Genève pour ce polluant. De plus, les prévisions météorologiques ne laissent pas anticiper à court terme des conditions susceptibles d'entraîner une péjoration de la qualité de l'air», indique le Département du territoire.
Il précise encore que le dispositif antismog genevois pourra être reconduit à l'avenir en cas de hausse prévue ou confirmée des concentrations de polluants atmosphériques. Tout un chacun peut être informé à l'avance de l'activation de la circulation différenciée par le biais d'une alerte sur son smartphone au moyen de l'appli Air2G2. Il est aussi possible de s'abonner au système d'alerte Stick'AIR par e-mail, tout comme l'ont fait déjà plus de 10'000 personnes qui ont ainsi pu être informées de l'évolution de la situation et des mesures appliquées à Genève.
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Cathy Macherel est journaliste à la Tribune de Genève depuis 2010. Elle collabore à plusieurs rubriques, locale, Week-end et gère certains suppléments. Elle s'occupe notamment d'aménagement du territoire et affiche une prédilection pour les enquêtes et les approches magazine. Plus d'infos
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La voix suisse à l'Unesco – «On défend d'autant mieux ce que l'on connaît et apprécie» Benedikt Wechsler, futur ambassadeur de la Suisse à l'Unesco, parcourt actuellement le pays. Ce mercredi, il s'est arrêté au cœur des vignobles de Lavaux. Julie Collet Grandvaux, le 13 août 2025. Benedikt Wechsler, futur ambassadeur de la Suisse à l'Unesco, en visite dans les vignobles de Lavaux. Yvain Genevay/Tamedia Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Avant d'entrer en fonction à l'Unesco le 1 er septembre, l'ambassadeur Benedikt Wechsler sillonne la Suisse. septembre, l'ambassadeur Benedikt Wechsler sillonne la Suisse. Le diplomate visite huit sites patrimoniaux pour mieux comprendre les enjeux locaux. La Suisse brigue un siège au Comité du Patrimoine mondial pour 2025-2029. L'éducation et les nouvelles technologies seront prioritaires dans sa mission à Paris. Avant de prendre ses fonctions d'ambassadeur de Suisse à l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) à Paris le 1er septembre, Benedikt Wechsler sillonne les routes du pays, de Saint-Gall à Genève, à bord de sa Microlino, une minuscule voiture électrique d'un rouge pétant. Un road trip insolite qui lui permet de s'imprégner des paysages et du patrimoine helvétiques, qu'il aura pour mission de défendre sur la scène internationale. Ce mercredi 13 août, il faisait halte en Lavaux, accueilli par l'Association Lavaux Patrimoine mondial (LPm). Un programme riche, marqué entre autres par une dégustation au Clos de la République avec le vigneron-encaveur Xavier Fonjallaz, la visite du Musée de la Confrérie des Vignerons et une balade à la Villa «Le Lac», conçue par Le Corbusier. Quel a été votre parcours avant cette nomination? J'ai suivi le parcours classique d'un diplomate. J'ai occupé plusieurs postes à New York auprès de l'ONU, à Bruxelles auprès de l'Union européenne, puis comme ambassadeur au Danemark et comme consul général à San Francisco. Par la suite, j'ai été chef de division pour la numérisation dans la politique étrangère. Le Conseil fédéral m'a aujourd'hui nommé délégué permanent de la Suisse auprès de l'Unesco et de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF). Pour un Suisse alémanique, c'est un grand honneur. Pourquoi avoir choisi d'entreprendre un tour de Suisse des sites de l'Unesco? On défend d'autant mieux ce que l'on connaît et apprécie et, pour cela, il faut l'avoir vu de ses propres yeux, touché de ses mains et peut-être même goûté. De plus, les entretiens sur le terrain sont très enrichissants pour moi, car ils permettent de comprendre les besoins des gens, leurs visions et leurs perspectives, tout en prenant le temps d'échanger. 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