
Loïs Boisson s'offre son premier titre, la nouvelle flottille a mis le cap vers Gaza, violences à Limoges... Les 5 infos du week-end
Cette pétition citoyenne s'oppose à la loi prévoyant la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes. Elle a atteint le niveau record de plus d'un million de signature dimanche.
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Le Figaro
6 minutes ago
- Le Figaro
Trump assure n'avoir «jamais» été informé de la présence de son nom dans le dossier Epstein
Donald Trump a assuré vendredi 25 juillet qu'il n'avait «jamais été informé» de la présence de son nom dans les documents judiciaires ayant conduit à l'inculpation du riche financier Jeffrey Epstein pour trafic sexuel de mineures en 2019. «Je n'ai jamais, jamais été informé», a répondu le président américain, que cette affaire empoisonne depuis plusieurs jours, interrogé par des journalistes à sa descente d'avion à son arrivée en Écosse.


Le Parisien
6 minutes ago
- Le Parisien
« Nous vous exhortons à franchir ce pas » : un tiers des députés britanniques appellent Keir Starmer à reconnaître l'État palestinien
Des parlementaires britanniques mettent la pression. Un tiers des députés ont appelé vendredi le Premier ministre Keir Starmer à reconnaître l'État de Palestine, une démarche à laquelle s'est engagé jeudi le président français Emmanuel Macron . Deux cent vingt-et-un députés, issus de neuf partis politiques représentés à la Chambre des communes qui compte 650 membres, ont signé une lettre en ce sens adressée au chef du gouvernement travailliste et à son ministre des Affaires étrangères David Lammy. « Nous vous écrivons avant la conférence des Nations unies coprésidée par la France et l'Arabie saoudite les 28 et 29 juillet à New York, afin de faire part de notre soutien à la reconnaissance par le Royaume-Uni d'un État palestinien » à l'occasion de cette conférence, indique la missive. « Bien que nous soyons conscients que le Royaume-Uni n'a pas le pouvoir de créer une Palestine libre et indépendante, la reconnaissance du Royaume-Uni aurait un impact significatif en raison de nos liens historiques et de notre statut de membre (permanent) du Conseil de sécurité des Nations unies. Nous vous exhortons donc à franchir ce pas », poursuit la lettre. L'initiative a été lancée par la députée travailliste Sarah Champion, présidente de la commission parlementaire chargée du Développement international, et a recueilli les signatures d'élus issus notamment du Labour, du parti conservateur, des libéraux-démocrates, des Verts, du parti indépendantiste écossais SNP, mais aussi d'indépendants. Emmanuel Macron a annoncé jeudi que la France allait reconnaître l'État de Palestine lors de l'Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York, une décision décriée par Israël et les États-Unis . Keir Starmer a réaffirmé vendredi que la reconnaissance d'un État palestinien « doit être une des étapes » vers une « paix durable » dans la région, dans un communiqué publié en parallèle d'une déclaration conjointe entre Paris, Londres et Berlin sur la situation à Gaza. « Je suis catégorique. Mais (cette reconnaissance) doit s'inscrire dans un plan plus global », a-t-il ajouté. La France coprésidera en septembre avec l'Arabie saoudite une conférence internationale au niveau des chefs d'État et de gouvernement visant à relancer la solution dite « à deux États », palestinien et israélien. Cette conférence, initialement prévue en juin, avait été reportée à la dernière minute en raison de la guerre entre Israël et l'Iran. Dans l'intervalle, une réunion au niveau ministériel se tiendra les 28 et 29 juillet à New York.


Le Parisien
36 minutes ago
- Le Parisien
« Une mesure forte » : le préfet des Bouches-du-Rhône veut expulser des délinquants de leurs logements sociaux
C'est une mesure rare, rendue possible par la récente loi contre le narcotrafic adoptée en juin dernier. Le préfet des Bouches-du-Rhône, Georges-François Leclerc, a annoncé ce vendredi avoir enclenché dix procédures d'expulsion visant des locataires de logements sociaux impliqués dans des affaires de délinquance. Dans un communiqué, le représentant de l'État précise que les personnes ciblées vivent à Marseille et dans des communes situées autour de l'étang de Berre. Elles sont accusées d'avoir « gravement troublé l'ordre public » dans leur quartier, notamment par des faits de trafic de drogue, de menaces ou de violences à l'encontre des forces de l'ordre, ou encore de rodéos urbains à répétition. « L'immense majorité a été condamnée, voire incarcérée », indique la préfecture. Les procédures sont engagées auprès de plusieurs bailleurs sociaux du département. Elles s'appuient sur la loi du 13 juin 2025, qui autorise désormais l'expulsion de locataires dont les comportements « dégradent les conditions de vie des autres habitants ». Cette initiative s'inscrit dans une volonté affichée du gouvernement de lutter plus sévèrement contre les trafics de drogue et leurs effets dans les quartiers populaires. « Il s'agit d'une mesure forte, en réponse à des actes qui empoisonnent la vie des habitants respectueux des règles », insiste Georges-François Leclerc. Les expulsions, si elles sont validées par les juges, pourraient intervenir dans les prochains mois. Elles sont toutefois susceptibles de recours, notamment devant les juridictions administratives.