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Football - Euro (F) - Angleterre : Williamson : « On savait que l'on pouvait faire bien mieux »

Football - Euro (F) - Angleterre : Williamson : « On savait que l'on pouvait faire bien mieux »

L'Équipe13 hours ago
Leah Williamson estime que l'équipe d'Angleterre a su tirer le meilleur d'elle-même lors de la large victoire face aux Pays-Bas (4-0) mercredi. La défaite face aux Bleues (2-1) samedi dernier pour la première journée a été digérée.
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Igargantuesque : Swiatek, un chef-d'oeuvre pour compléter un Grand Chelem sur toutes les surfaces
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L'Équipe

time36 minutes ago

  • L'Équipe

Igargantuesque : Swiatek, un chef-d'oeuvre pour compléter un Grand Chelem sur toutes les surfaces

Sans pitié pour une Amanda Anisimova fantomatique, Iga Swiatek a remporté samedi son sixième Grand Chelem en six finales disputées sans perdre un jeu. À seulement 24 ans, la Polonaise a déjà gagné sur toutes les surfaces. Grande lectrice convaincue, capable d'engloutir roman sur roman en un rien de temps, Iga Swiatek n'est jamais bien loin d'un livre. Pour sa quinzaine londonienne, la Polonaise avait glissé dans sa valise une fiction d'Elena Ferrante, histoire de passer le temps, de s'évader, d'aiguiser son imagination. Mais elle devrait rapidement penser à troquer la lecture pour l'écriture et se lancer dans le fantastique. Car tout ce qu'elle lira désormais lui paraîtra bien fade, ce qui s'est joué sur le Centre Court samedi après-midi en finale de Wimbledon face à Amanda Anisimova dépassant sans l'ombre d'un doute toutes les fictions possibles, même les plus tordues. 6-0, 6-0 en cinquante-sept minutes : personne n'aurait osé écrire un truc pareil. Ça faisait déjà beaucoup, mais il fallait une sacrée dose de folie supplémentaire pour penser ne serait-ce qu'une seconde que c'est sur le gazon britannique, surface sur laquelle on lui promettait une allergie chronique, que Swiatek mettrait fin à une année de disette, sans le moindre trophée, dans une période où l'ancienne numéro 1 mondiale, 24 ans, aura douté comme jamais. « Je ne m'attendais pas à ce sacre, mon équipe y croyait plus que moi » Iga Swiatek Prise dans le tourbillon d'un contrôle antidopage positif à la trimétazidine en août 2024, pour lequel elle a toujours plaidé son innocence et prouvé une contamination via un autre médicament (la mélatonine), qui lui aura valu un mois de suspension en novembre, la Polonaise a traversé de longs mois de tempête sous cette casquette qu'elle ne quitte jamais. Il y avait donc un peu de tout ça dans cette chute en arrière, presque au ralenti, une fois l'ultime banderille définitivement plantée en plein coeur d'une Anisimova inanimée du premier au dernier point. Un revers gagnant pour mettre un terme à un spectacle tragique, qui inspirait aussi et surtout confusion, gêne et compassion pour l'Américaine de 23 ans, l'expression « passée à côté de sa finale » étant bien faible pour qualifier la décomposition de la 12e joueuse mondiale. Dans un silence de cathédrale, le public du Temple n'a jamais su où se mettre, et les cinquante-sept minutes étaient presque trop longues tant l'agonie d'Anisimova sautait aux yeux. Totalement déréglée au service (26 % de points gagnés derrière sa première balle), prise de vitesse dès le moindre échange et incapable de répondre à l'agressivité de Swiatek, le poids d'une première finale en Grand Chelem s'est très rapidement révélé être bien trop grand pour celle qui n'était que l'ombre de la joueuse si puissante, jeudi, pour faire tomber la numéro 1 mondiale Aryna Sabalenka en demi-finales (6-4, 4-6, 6-4). Et alors que certains plaident pour l'instauration d'une finale au meilleur des cinq manches chez les femmes, il aurait pu y en avoir cinq, dix ou même trente-cinq, l'issue aurait été la même. À l'évidence, Swiatek a donc remporté une finale qu'Anisimova a perdue toute seule avant même d'entrer sur le court. Mais le cadeau s'arrête là. Pour le reste, la Polonaise n'aura pas volé ce sixième titre en Grand Chelem en six finales disputées, elle qui avait déjà collé un cinglant 6-2, 6-0 à la Suissesse Belinda Bencic en demi-finales, ne lâchant finalement qu'un petit set au deuxième tour face à l'Américaine Caty McNally dans sa conquête. Pour arrondir le tout, elle entre avec cette 100e victoire en Majeur dans le cercle des vainqueures sur les trois surfaces, complétant une collection qui ne cesse de prendre de l'épaisseur et qui comptait déjà quatre sacres sur la terre battue de Roland-Garros et un sur le dur de l'US Open. Dans une cérémonie protocolaire touchante, qui a vu Anisimova fendre l'armure, submergée par des vagues de larmes incontrôlables, Swiatek a eu l'élégance de ne pas trop s'étendre, mettant rapidement fin au supplice de l'Américaine. Mais la Polonaise a eu le temps d'évoquer ce sacre dont elle n'a « jamais rêvé », qui semblait inaccessible. « Ça semblait trop loin pour moi. Je commence à être expérimentée maintenant, mais je ne m'attendais pas à celui-là, mon équipe y croyait plus que moi, on a eu des hauts et des bas, mais on a montré que ça pouvait marcher. » Alors que son association avec le coach belge Wim Fissette, débutée en octobre dernier, a d'abord été marquée par les désillusions et une saison sur terre battue bien trop éloignée de ses standards, la Polonaise a vu les résultats payer quand elle s'y attendait le moins, ses changements au service ayant été particulièrement flagrants sur la quinzaine. Comble de l'histoire, c'est donc sa défaite en demi-finales de Roland-Garros (face à Sabalenka 7-6, 4-6, 6-0) qui a eu le mérite de lui laisser le temps, pour une fois, de se préparer pour le gazon, avec une finale à Bad Homburg libératrice juste avant d'arriver à Londres. Et d'en repartir deux semaines plus tard avec une fiction de plus dans ses valises. 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L'équipe alignée dimanche soir par Luis Enrique pour affronter Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs (21 heures) ne devrait pas changer par rapport à celle qui a éliminé le Real Madrid en demi-finales, mercredi. À deux jours près, la saison 2024-2025 du Paris-Saint-Germain aura duré un an. Débutée le 15 juillet dernier avec la reprise de l'entraînement au Campus PSG, elle va s'achever tout à l'heure, autour de 17 ou 18 heures à New York (23 heures ou minuit en France), à l'issue de la finale de la Coupe du monde des clubs. Après la victoire en Ligue des champions (5-0 en finale face à l'Inter Milan, le 31 mai), un nouveau titre viendrait parachever un bilan exceptionnel pour les Parisiens. « Je pense que l'on est conscient de l'importance de ce match. On sait qu'il s'agit d'une opportunité en or pour nous, c'est une compétition qui n'a lieu que tous les quatre ans. Depuis le premier jour ici, le coach nous le dit : dans quatre ans, on ne sait pas où l'on sera ni si on pourra à nouveau y participer, a insisté le capitaine Marquinhos, vendredi. On s'est mis ça en tête depuis le premier jour. Maintenant qu'on est arrivés jusque-là, cette finale a une valeur importante. Ce serait une saison parfaite, très dure à reproduire. Cela nous tient à coeur de remporter ce titre. » La seule incertitude concerne Barcola Les Parisiens se sont entraînés une dernière fois à l'université Rutgers samedi matin. Aucun bobo n'a été officiellement communiqué. Pour cette dernière danse de la saison, Luis Enrique devrait reconduire le onze qui a largement dominé le Real Madrid mercredi, en demi-finales (4-0). S'il doit y avoir une incertitude, elle porte sur Bradley Barcola. Remplaçant il y a quatre jours, l'ancien Lyonnais devrait l'être à nouveau aujourd'hui ; sinon, il sera probablement en balance avec Désiré Doué. Outre les deux suspendus Willian Pacho et Lucas Hernandez, déjà partis en vacances, seul Presnel Kimpembe manque à l'appel. Le défenseur, victime d'un coup au début du séjour à Atlanta, suit un programme spécifique. Ousmane Dembélé, de retour comme titulaire mercredi et très précieux dans le succès de son équipe, sera aligné au coup d'envoi, sauf pépin d'ici-là.

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time37 minutes ago

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Grâce à un essai inscrit par Jack van Poortvliet à la 79e minute et aucun point concédé en seconde période, l'Angleterre a dominé l'Argentine pour la seconde fois consécutive (17-22). La climatisation a bien été installée samedi après-midi au stade San Juan del Bicentenario. Après une première mi-temps animée, marquée par deux essais de part et d'autre - dont le dernier signé Santiago Carreras dans les arrêts de jeu -, le match a basculé dans un affrontement tactique en seconde période. Seuls trois points ont été inscrits, sur une pénalité de George Ford à la 53e minute. Ensuite, plus rien. Les deux équipes sont restées à égalité, incapables de faire évoluer le score après cette pénalité. Mais en toute fin de rencontre, Jack van Poortvliet a délivré l'Angleterre avec un essai en coin, scellant ainsi une précieuse victoire face aux Pumas (17-22). Il s'agit du deuxième succès des Anglais en Argentine lors de cette tournée, après un succès plus net sept jours plus tôt (12-35). Les Argentins tenteront de se relancer face à l'Uruguay une semaine plus tard, en vue de préparer le Rugby Championship. Quant à l'Angleterre, elle achèvera sa tournée américaine par un match contre les États-Unis le 20 juillet, à minuit (heure française).

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