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Le crash impressionnant d'Isack Hadjar, qui détruit sa Racing Bulls au  GP de Grande-Bretagne

Le crash impressionnant d'Isack Hadjar, qui détruit sa Racing Bulls au GP de Grande-Bretagne

L'Équipe06-07-2025
Isack Hadjar a été contraint à l'abandon après avoir détruit une importante partie de sa monoplace au 19e tour du Grand Prix de Grande-Bretagne, ce dimanche. La pluie et l'humidité de la piste lui ont fait perdre le contrôle de sa Racing Bulls.
La pluie a eu raison de la course d'Isack Hadjar. Le Français est parti au crash au 19e tour du Grand Prix de Grande-Bretagne, ce dimanche à Silverstone. Alors que la voiture de sécurité venait de quitter la piste et que le pilote de Racing Bulls figurait en 16e position, il a failli harponner la monoplace d'Andrea Kimi Antonelli, positionnée un rang devant lui, avant de finir dans le mur.
« Je vais bien », a lâché Hadjar à la radio, après avoir dézingué sa voiture à l'entrée de Copse. S'il a pu s'en extraire, des débris jonchaient la piste et deux roues de l'engin étaient désaxées du reste de la Formule 1, ce qui a entraîné le retour de la voiture de sécurité. « Je ne l'ai pas vu, il a surgi de nulle part », a ajouté le protégé de Red Bull, alors que les monoplaces soulèvent des nuages d'eau sur le circuit de Silverstone, réduisant considérablement la visibilité des pilotes. C'est le deuxième abandon du pilote francilien depuis ses débuts en catégorie reine.
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Le peloton du Tour de France est passé lundi sur le circuit de Charade, réputé pour être l'un des plus spectaculaires dans les années 1960 et 1970. Adossé au Puy de Dôme, il a accueilli les Grands Prix de France de Formule 1 et de moto. La Grande Boucle s'offre un petit tour à grande vitesse, ce lundi lors de la 10e étape entre Ennezat et Le Mont-Dore Puy de Sancy. À un peu moins de 100 km de l'arrivée, les coureurs sont passés sur le circuit de Charade, construit à flanc de montagne, où se sont disputés quatre Grands Prix de Formule 1 entre 1965 et 1972. Le Grand Prix de France de moto s'y est aussi déroulé entre 1959 et 1974, avec une interruption entre 1967 et 1972. Le circuit de Charade est surtout tristement célèbre pour avoir causé la fin de la carrière de pilote d'Helmut Marko, aujourd'hui dirigeant de l'écurie Red Bull. En 1972, alors que l'Allemand est en sixième position du Grand Prix de France, une pierre projetée par la voiture qui le devance le blesse et lui fait perdre un oeil. C'est la dernière fois que la Formule 1 est venue sur le circuit auvergnat. Seules quelques compétitions nationales ou régionales ont encore lieu sur le circuit, principalement utilisé pour des évènements historiques. Le conseil départemental du Puy-de-Dôme a lancé en 2021 une rénovation du circuit pour accueillir des compétitions de rallycross électrique.

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Quatrième d'un Grand Prix marqué par de nombreuses chutes, le Français ne s'est pas réjoui de son résultat. Le surplace de Yamaha nourrit plutôt sa réflexion sur l'avenir. En revenant au garage Yamaha à l'issue du Grand Prix d'Allemagne, Fabio Quartararo n'a montré aucun signe de bonheur. Une moue en débriefant rapidement la course avec Diego Gubellini, son chef mécanicien, et puis c'est tout. Une journée comme une autre dans les rangs du constructeur japonais, qui n'a toujours pas gagné la moindre course de MotoGP depuis trois ans. En franchissant la ligne d'arrivée en quatrième position, dimanche au Sachsenring, le Français (26 ans) a pourtant signé son deuxième meilleur dimanche de la saison, après sa deuxième place à Jerez fin avril. En Andalousie, Quartararo rayonnait. Le résultat semblait annoncer une renaissance, au lendemain d'une pole-position fracassante. Mais cette fois, il n'annonce rien. C'est son auteur qui le dit : « Quatre pilotes sont tombés devant nous, ce n'est pas un résultat vraiment réaliste. » Même s'il a fini plus haut qu'il n'avait commencé (6e sur la grille après le forfait de Franco Morbidelli), le champion du monde 2021 a pris 18 secondes dans la vue par Marc Marquez, l'inévitable vainqueur. Surtout, il n'a jamais eu l'impression d'avoir quelque chose à jouer. Il faisait des tours. Il roulait. Point. « Je ne me suis pas senti bien depuis le premier tour jusqu'au dernier, c'est pour ça que je ne suis pas content. On n'est capables de se battre contre personne. » « On fait des réunions chaque samedi, chaque dimanche, on répète toujours les mêmes choses, c'est fatigant » Fabio Quartararo En cet été qui aurait dû confirmer les progrès du printemps dans le tour rapide, Quartararo ne respire pas la joie. Il exhale plutôt l'agacement, qui se retrouve dans chacune de ses interventions médiatiques ou presque. Il a l'impression d'être à fond, de tout donner à chaque virage, mais la machine ne le lui rend pas. Alors il s'énerve, ne se cache même pas, et son équipe en prend pour son grade en direct à la télévision : « On fait des réunions chaque samedi, chaque dimanche, on répète toujours les mêmes choses, c'est fatigant. » Si Quartararo se lâche, c'est parce qu'il a pris conscience du temps qui passe. Il a resigné chez Yamaha l'année dernière en s'appuyant sur l'assurance que le constructeur mettrait les moyens pour revenir au sommet et lui permettre de conquérir un deuxième titre de champion du monde. Les moyens sont là, mais le sommet est encore loin, et le Français est bien obligé d'y penser : peut-être qu'il n'arrivera jamais. Il a donc commencé à réfléchir à l'après. Rien de concret, car il lui reste un an et demi de contrat et il n'a pas l'intention de partir au milieu du gué, comme Jorge Martin vient de tenter de le faire chez Aprilia. Le Niçois ne discute avec aucune autre équipe, mais le moment ne va pas tarder non plus. En 2027 arriveront un nouveau règlement technique, un nouveau manufacturier pour les pneus (Pirelli à la place de Michelin), et les constructeurs aussi vont devoir se positionner sur les pilotes. Pour Quartararo, l'enjeu est de scruter les moindres gains de Yamaha ces prochaines semaines. Qu'ils viennent de la moto actuelle, équipée de l'historique moteur 4 cylindres en ligne, ou des suivantes, mises au point à partir de l'architecture V4. Si rien ne bouge, il se penchera sérieusement sur d'autres pistes pour son futur. Des petites phrases illustrant sa réflexion Comme pour montrer que la réflexion existe, le pilote a lâché au Sachsenring plusieurs petites phrases montrant qu'il est prêt à s'imaginer ailleurs que sous les couleurs du constructeur qui l'a lancé en MotoGP en 2019. « Je pense que les autres marques connaissent un petit peu mon potentiel », a-t-il souligné. Parmi les pistes envisageables, il a parlé d'« équipe officielle » plutôt que satellite, tout en se disant conscient que toutes les portes ne seront pas forcément ouvertes : « Il va falloir prendre en compte où sont les pilotes les mieux placés et essayer de comprendre un peu. » À ce stade, une chose se comprend déjà : à chaque Grand Prix, Yamaha met désormais en jeu ses chances de conserver son meilleur pilote au-delà de 2026. À lire aussi Quartararo, l'ascenseur émotionnel Des investisseurs issus de la F1 bientôt actionnaires de Tech3 ? Imperturbable et indépassable, Marquez est intouchable Quartararo : «Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai doublé quelqu'un»

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Si Fabio Quartararo (Yamaha) a réussi à prendre la 4e place du Grand Prix d'Allemagne, dimanche, il n'était pas du tout satisfait de sa course et de la performance de sa moto. Fabio Quartararo (Yamaha), 4e du Grand Prix d'Allemagne : « Je n'avais aucune sensation sur la moto, du premier au dernier tour. C'est frustrant, je n'arrive pas à prendre de plaisir. On travaille, mais il n'y a aucun résultat concret. C'est très difficile. On n'a aucune adhérence, on voit les autres partir, on essaie de pousser un peu plus. Mais les pneus s'usent énormément, donc on ne peut pas trop tirer dessus. Et on perd une demi-seconde au tour, c'est assez bizarre. Il manque de tout, plein de petites choses font que la différence est énorme à la fin de la course. Sur un tour, on est très rapide, mais sur la longueur d'une course, on est très lent. On n'arrive pas à trouver de la constance. On fait des briefings chaque samedi, chaque dimanche, on répète toujours les mêmes choses, c'est fatigant. On n'arrive pas à trouver ce petit plus. C'est à eux (son équipe) de faire le job aussi. »

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