logo
Comme Gelson en 2010, quelle Suissesses va se muer en héroïne de l'Euro 2025?

Comme Gelson en 2010, quelle Suissesses va se muer en héroïne de l'Euro 2025?

24 Heures6 days ago
Accueil | Sports | Euro 2025 |
Le Valaisan avait marqué un but resté inoubliable face aux Espagnols lors du Mondial 2010. Quelle Suissesse pourrait l'imiter ce vendredi? Il a sa petite idée. Publié aujourd'hui à 07h57
L'Espagne est devenue championne du monde en 2010. En commençant son tournoi par une défaite restée célèbre en Suisse, à cause d'un but de Gelson Fernandes (à dr.).
imago sportfotodienst
La sélectionneuse Pia Sundhage elle-même a invoqué celui que l'on appelle le « miracle de Durban » devant ses joueuses. Ou plutôt, elle a demandé à son bras droit Johan Djourou de le faire. Ce jour de 2010 où la Suisse a battu l'Espagne en Coupe du monde a beau appartenir au décor du football masculin, il représente un événement de l'histoire sportive nationale.
Les footballeuses suisses pourraient enfin à leur tour trouver une place dans la mémoire collective en cas d'exploit vendredi en quarts de l'Euro. En attendant, les références aux moments de gloire passés renvoient souvent à «ils». Le 16 juin 2010 en est un.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
Il correspond à merveille à ce que les Suissesses vont trouver au Wankdorf. Une Espagne au-dessus du lot, en maîtrise quasi permanente du ballon, qui ne devrait laisser que de très rares brèches.
En Afrique du Sud, l'une d'elles est restée célèbre. Eren Derdiyok en bulldozer pour percer plein centre, un improbable salto, des contres favorables dans tous les sens, puis Gelson Fernandes pour pousser le ballon au fond en deux temps. Smilla Vallotto ou Nadine Riesen pour créer l'exploit?
Puisqu'il est permis de rêver, il est aussi permis de jouer à un jeu risqué. Qui, parmi les Suissesses, pourrait se mettre dans la peau du personnage et recréer la scène de Durban?
«Si on avait demandé à n'importe qui avant le match de 2010 qui avait le profil pour marquer contre l'Espagne , personne n'aurait donné mon nom», lance Gelson Fernandes. «Alors je considère qu'elles ont toutes le profil!»
On peut tout de même tenter de dégager deux favorites. Aussi décomplexée sur un terrain que devant les caméras, la Genevoise Smilla Vallotto possède l'énergie et le grain de folie pour se transformer en une héroïne inattendue. L'envie et l'intelligence de jeu de Nadine Riesen en font aussi une candidate sérieuse. Ça tombe bien, c'est en unissant leurs forces que Derdiyok et Fernandes avaient fait tomber l'Espagne.
«On me parle encore très souvent de ce but, glisse le Valaisan. Pratiquement à chaque coup dès lors que je rencontre quelqu'un pour la première fois, en fait.» Il est des buts qui changent des vies. Ceux inscrits vendredi soir face à l'Espagne pourraient être de ceux-là.
D'autres articles sur l'équipe de Suisse à l'Euro Newsletter
«Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition.
Autres newsletters
Florian Vaney est journaliste au sein de la rédaction sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Formé dans la presse régionale, il suit de près le football suisse, des divisions «des talus» à la Super League. Il s'intéresse aux événements du terrain, mais plus encore aux histoires – belles et moins belles – qui naissent autour. Plus d'infos
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Lausanne va souffrir dans la chaleur de Skopje
Lausanne va souffrir dans la chaleur de Skopje

24 Heures

time10 hours ago

  • 24 Heures

Lausanne va souffrir dans la chaleur de Skopje

Match aller ce jeudi – Lausanne va souffrir dans la chaleur de Skopje Le LS et Peter Zeidler ont pris leurs marques mercredi au stade national de Skopje, où le FK Vardar les attend jeudi soir. Ugo Imsand-Curty - Skopje Gaoussou Diakité (à droite, lors du dernier match amical du LS) sera l'un des principaux atouts de Peter Zeidler. Anangan Vallipuram/Lausanne-Sport Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : L'équipe lausannoise va affronter le FK Vardar dans une chaleur dépassant les 35 degrés. Peter Zeidler s'attend à un match technique contre une équipe offensive. La pelouse du stade Toše-Proeski pourrait poser problème après un match récent. Les ultras du FK Vardar ont provoqué un classement à haut risque sécuritaire de la rencontre. Même si le soleil a fini sa journée de travail à Skopje, la chaleur est partie pour faire de longues heures supplémentaires. Plus de 35 degrés ce mercredi soir, au moment où les joueurs du Lausanne-Sport découvrent le stade national Toše-Proeski. Voyage sans histoire pour le Lausanne-Sport Une immense enceinte de béton, garnie de plus de 33'000 places, qui accueillera jeudi le match aller du 2e tour de qualifications de Ligue Conférence, le troisième échelon européen. Le LS y défiera le FK Vardar pour son retour sur la scène continentale, quinze ans après les exploits d'une équipe alors en Challenge League. «Le vol a été agréable et tout a été bien organisé, s'est réjoui Peter Zeidler lors de la conférence de presse d'avant-match. Nous sommes impressionnés par le stade. Malgré la piste d'athlétisme, c'est un beau stade de football.» Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Les Vaudois sont arrivés vers midi en Macédoine du Nord sur un vol privé, affrété spécialement pour l'occasion depuis Payerne. Alvyn Sanches, indisponible jusqu'à la fin octobre au mieux, est le seul absent de marque. Les jeunes Fofana, Abdallah et Bruchez ont été laissés à la maison par Peter Zeidler, qui s'apprête à vivre sa première en tant qu'entraîneur du Lausanne-Sport. «Je m'attends à une équipe de Vardar qui joue au football, c'est ce qui me plaît. Avec des latéraux offensifs et des joueurs techniques. On peut s'attendre à un beau match», s'est projeté l'Allemand de 62 ans mercredi soir. Peter Zeidler privé d'un atout Seule ombre au tableau, l'absence d'Enzo Kana Biyik. Le jeune talent prêté par Manchester United est resté en Suisse. «Il a reçu un coup à l'entraînement et n'a pas pu voyager. Il va passer des examens en Suisse pour connaître la gravité de sa blessure», a commenté Luca Mossi, responsable presse du Lausanne-Sport. La pelouse du Toše-Proeski risque de ne pas être simple jeudi soir. La faute à la canicule bien sûr, mais aussi à un autre match européen disputé sur ce même terrain mardi soir: le match aller du 2e tour de qualifications pour la Ligue des champions entre le FK Shkëndija et le Steaua Bucarest. Le champion de Macédoine a remporté cette première manche (1-0). Un contexte chaud à Skopje Son grand rival – le FK Vardar, vainqueur de la coupe nationale – espère lui disputer la Ligue Conférence. Ce qui serait plus qu'un lot de consolation pour le club le plus titré du pays. «C'est un grand défi qui nous attend, a déclaré l'entraîneur Goce Sedloski mercredi soir. J'attends que mes joueurs donnent tout, aussi dans l'optique du match retour.» L'ancien défenseur international (100 sélections avec la Macédoine) compte bien passer un second tour dans ces qualifications, après avoir passé l'obstacle de La Fiorita, club de Saint-Marin, sans encombre (5-2 score cumulé). Vardar avait remporté le match aller 3-0 à domicile. Une rencontre marquée par quelques débordements de ses ultras (pétards, fumigènes sur la pelouse et banderole anti-Union européenne). Suffisant pour que la rencontre contre le LS jeudi soit classée à haut risque sécuritaire par l'UEFA. Place au championnat pour le Lausanne-Sport dimanche Ce début de saison s'annonce animé pour les Lausannois, qui vivront encore la reprise de la Super League à domicile dimanche contre Winterthour (16 h), avant de recevoir leur adversaire macédonien le 31 juillet pour le match retour. En espérant avoir réalisé une bonne opération ce jeudi au match aller. À Skopje, le Lausanne-Sport est prêt à suer. Ugo Imsand est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Ce trentenaire lausannois couvre en particulier le football suisse et international depuis une douzaine d'années. Il réalise aussi des articles plus magazine sur le sport en général et ses liens étroits avec le reste de la société. Plus d'infos @UgoCurty Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Découvrez le centre de formation de Bienne qui forme les futures stars du foot suisse
Découvrez le centre de formation de Bienne qui forme les futures stars du foot suisse

24 Heures

time12 hours ago

  • 24 Heures

Découvrez le centre de formation de Bienne qui forme les futures stars du foot suisse

Accueil | Sports | Euro 2025 | À Bienne, au cœur de la Tissot Arena, des filles de 12 à 15 ans s'entraînent toute la semaine dans le but de rejoindre l'élite du football suisse. Reportage dans le centre de formation de l'ASF. Fanette Fabrizio , Publié aujourd'hui à 20h05 Au centre national de Bienne, 21 jeunes talents s'entraînent en espérant un jour vivre de leur sport. ASF En bref: Par la fenêtre du bus qui mène au centre de formation de l'Association suisse de football, on aperçoit des affiches imposantes ornant la halle principale de Swiss Tennis. La médaille d'or de Marc Rosset à Barcelone, celle de Federer et Wawrinka à Pékin, de Belinda Bencic à Tokyo, sans oublier Martina Hingis et Timea Bacsinszky, argentées à Rio. Le nom de la route arpentée? «Allée Roger-Federer». Au bout de la rue, la moderne Tissot Arena, antre du FC Bienne et théâtre du récent exploit du club de Première Ligue en demi-finales de la Coupe de Suisse contre YB. Ici, à Bienne, tout respire le sport. Quatre entraînements par semaine au pied de la Tissot Arena Si dans le bar du centre sportif les décorations rappellent davantage les hockeyeurs du HC Bienne, à peine les portes arrière du centre poussées et après quelques escaliers en colimaçon, d'autres posters. De foot, cette fois-ci. Ramona Bachmann , Coumba Sow , Lia Wälti. Elles sont là, encadrées sur les murs, pour inspirer celles qui, toute la semaine durant, s'entraînent dur pour rejoindre leurs idoles «chez les grandes» qui ont soulevé les foules lors de l' Euro 2025 . À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Car ici, à Bienne, siège du centre de formation de l'ASF, des jeunes filles de 12 à 15 ans – de la 9e à la 11e HarmoS – s'entraînent du lundi au vendredi durant l'année scolaire. «Toute la semaine, on vit dans une famille d'accueil, ici à Bienne. On va à l'école le matin, on mange ici à midi, avant d'aller nous entraîner. On mange de nouveau ici le soir, avant de rentrer dans nos familles d'accueil. Le vendredi, après les cours, on rentre chez nous, pour voir nos familles. Le week-end, on joue dans nos clubs respectifs», détaille Elynn Raymond, 15 ans et joueuse du Team Bas-Valais. En plus de cadres avec les photos de joueuses de l'équipe A, un «Wall of Fame» décore la salle où les jeunes joueuses font leurs devoirs dans la Tissot Arena. DR Un mode de vie qui peut paraître intense pour des adolescentes. «Au début, c'était dur d'être loin de ma famille et de mes amis pendant la semaine, mais je m'y suis faite assez rapidement», raconte Kenissa Blaser, 15 ans. Dans les couloirs de la Tissot Arena, ces jeunes joueuses vivent au plus proche des conditions des professionnelles. Dans le vestiaire, les 26 casiers alignés contiennent tous les essentiels – du gel douche aux claquettes, en passant par les deux paires de crampons pour certaines joueuses. Durant l'entraînement, le sérieux règne. Conservation de balle, communication limpide, (très) peu d'erreurs techniques, entourées d'un staff aux petits soins. Sans oublier la possibilité de passer par la case soin, avec des physios à disposition des joueuses. Un manque d'infrastructures pour le football féminin Né à Huttwil au début des années 2000, ce centre de formation a déménagé à Bienne en 2017. Selon le directeur du centre, David Meister, la cité seelandaise a sonné comme une évidence. «Il s'agit d'une ville plus centrale et bilingue, ce qui est très important. De plus, être proche de Macolin est un véritable atout puisque l'on travaille beaucoup avec le centre national de sport. Ici, les jeunes filles apprennent la technique du jeu, mais aussi le mode de vie des pros: nutrition, attitude et récupération.» Pour aider ces footballeuses en herbe, quatre entraîneurs – deux hommes et deux femmes –, tous professionnels, se relaient durant la semaine. Tous les frais sont pris en charge par l'Association suisse de football, aidée par des financements européens de l'UEFA, qui soutient le projet. Les joueuses ne doivent payer que le séjour dans les familles d'accueil. «Avec Servette qui investit beaucoup et Lausanne qui a de beaux projets, le foot féminin en Romandie va se développer», pronostique David Meister, responsable du centre national. ASF D'ailleurs, le centre est exclusivement réservé aux jeunes filles, ce depuis son ouverture en 2004. «Ce choix s'explique par le fait qu'en général, dans leur club, les filles n'ont pas la possibilité de bénéficier d'infrastructures solides, à l'inverse des garçons», expose David Meister. Et, de manière générale, les clubs masculins ont tous un centre de formation qui leur est propre. Chaque année, ce sont environ dix nouvelles adolescentes qui sont sélectionnées. «Elles représentent les meilleurs espoirs du football féminin suisse», appuie le responsable. À Bienne, les Romandes se font une place Au total, la volée est composée de six joueuses romandes et de quinze suisses alémaniques. Une tendance qui devrait bientôt changer, selon le directeur du centre. «Le football féminin a une plus grande histoire en Suisse allemande. Mais avec Servette qui investit beaucoup et Lausanne qui a de beaux projets, le foot féminin en Romandie va se développer», pronostique David Meister. Ce centre de formation de l'ASF est donc un moyen pour les jeunes joueuses suisses de se développer, en aspirant à une carrière professionnelle. «La majorité des joueuses jouera en première division suisse», espère Dominik Erb, responsable communication du football féminin à l'ASF. Ce centre est même le seul moyen d'y parvenir, selon David Meister. Mais les clubs ne l'entendent pas forcément de cette oreille et rechignent parfois à l'idée de laisser partir leurs joyaux. «Parfois, les clubs ont l'impression d'avoir les mêmes infrastructures, alors ils ne comprennent pas pourquoi les filles devraient s'entraîner ailleurs la semaine», confie le responsable du centre. Il affirme toutefois que les rapports entre les clubs et l'ASF sont bons et constituent même un élément primordial. Et de rappeler qu'ils ont un projet commun: aider les jeunes joueuses à devenir professionnelles. À lire sur l'Euro 2025 et le football féminin Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Un richissime club de football saoudien en match amical contre le FC Aarau
Un richissime club de football saoudien en match amical contre le FC Aarau

24 Heures

time15 hours ago

  • 24 Heures

Un richissime club de football saoudien en match amical contre le FC Aarau

Le FC Aarau, pensionnaire de Challenge League, affrontera Al-Hilal au Brügglifeld le 10 août prochain. Publié aujourd'hui à 17h18 Kalidou Koulibaly et Rúben Neves fouleront la pelouse du Brügglifeld le 10 août à l'occasion d'un match amical. IMAGO/Straffon Images Théo Hernandez, Rúben Neves, Sergej Milinkovic-Savic, Simone Inzaghi et un effectif avec une valeur estimée à près de 200 millions d'euros. C'est un autre monde du football qui se déplacera sur le romantique terrain du Brügglifeld d'Aarau le 10 août prochain, pour y affronter le dauphin du dernier championnat de Challenge League. «C'est une agence allemande avec laquelle nous collaborons qui nous a contactés pour organiser un minitournoi avec l'Hellas Vérone et Al-Hilal», a expliqué le directeur général du FC Aarau, Sandro Burki, à « Watson« . Avant que le club italien ne se désiste, ne laissant que les deux en lice. Avec l'assurance que les meilleurs joueurs du club saoudien seront présents, et joueront. Pas d'indemnité pour Aarau, mais des questions éthiques Le directeur général a également communiqué au média qu'aucune indemnité ne devrait être payée par son club, ce dernier ayant été invité par cette agence allemande. Sandro Burki annonce d'ailleurs ne pas vouloir capitaliser sur la venue d'Al-Hilal. Les billets seront vendus aux prix normaux, à savoir 5 francs pour les places debout, 15 francs pour les places assises. Il faut dire que, pour l'instant, la présence de l'équipe de Simone Inzaghi, mastodonte du football saoudien et récent tombeur de Manchester City en Coupe du monde des clubs , ne fait pas d'émule. Au contraire. D'un côté, un club local, évoluant dans un stade mythique, possédant plus de 1000 actionnaires, de l'autre, un club intimement lié à l'État et au fonds public d'investissement saoudiens, dotés d'une puissance économique illimitée. Forcément, ça questionne. Le FC Aarau en est conscient. «Al-Hilal n'est pas un club partenaire, simplement un adversaire pour un match amical. Mais bien sûr, nous savions que cette thématique politique allait surgir, a déclaré Sandro Burki auprès de «Watson». Nous ne voulons pas embellir le sportswashing . Ce type d'argent est présent partout dans le football. Où trace-t-on la limite? D'autres adversaires ont des sponsors discutables, même en Suisse.» DAVANTAGE SUR LE FOOT SUISSE Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store