Un retour très controversé dans le staff de Jannik Sinner
Umberto Ferrara (au centre) avait été renvoyé par Jannik Sinner il y a un an.
IMAGO/ABACAPRESS
Un an après l'avoir licencié, Jannik Sinner annonce réengager Umberto Ferrara avec effet immédiat. Le préparateur physique du N° 1 mondial avait été au centre de l'affaire de dopage de son protégé.
Pour rappel, Jannik Sinner a été suspendu trois mois, entre février et mai, pour un contrôle positif au clostébol, une substance interdite. Le quadruple vainqueur en Grand Chelem avait été suspendu «en vertu de sa responsabilité par rapport à son entourage». Car ce spray avait été conseillé par Umberto Ferrara à Giacomo Naldi, le physio de Sinner, pour soigner une coupure. Lui aussi avait alors été licencié.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Ferrara avait rejeté la faute
Dans un entretien accordé à « La Gazzetta dello Sport », Ferrara avait rejeté la faute sur le physiothérapeute: «J'utilise ce spray depuis des années pour une pathologie chronique. En le conseillant, j'ai été très clair, je lui ai communiqué la nature du produit, et la nécessité qu'il ne devait en aucun cas entrer en contact avec Jannik.»
Dans son communiqué, Sinner se réjouit de retrouver un homme qui «a eu un rôle important dans le développement de sa carrière». Le préparateur physique avait rejoint l'équipe de l'Italien en 2022. En sa compagnie, Sinner a notamment remporté deux Open d'Australie, un US Open, et atteint la place de N° 1 mondial.
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Pourquoi c'est déjà LE match de l'année pour Servette?
Le président Hervé Broch détaille l'importance d'une rencontre qui peut offrir mercredi soir (21 h) un automne européen aux Grenat. Publié aujourd'hui à 08h09 La tribune nord sera fermée mercredi soir (sanction de l'UEFA pour des fumigènes la saison passée). Mais il y a des places dans d'autres secteurs et Servette a besoin de ses supporters. BASTIEN GALLAY/GALLAYPHOTO En bref: Habité d'un bonheur en gestation, Servette est à mi-chemin entre cette joie à venir et la crainte de son espoir déçu. Délicatesse de l'instant: à Plzen, la victoire du courage qui a autorisé le rêve; au Stade de Genève, ce mercredi (21 h), la responsabilité du réel. Un monde ou l'autre. L'Europe en automne, ou la désillusion. Oh, bien sûr, il y aura encore au moins deux occasions en cas de revers. Mais ce choc-là, ce Servette – Plzen , est déjà le match de l'année. 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Trois fois l'argent et une fois le bronze pour la Suisse au tir
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