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« Le défi, c'est le multi-usage » : et si vous alliez récupérer vos colis ou faire du coworking à l'église ?

« Le défi, c'est le multi-usage » : et si vous alliez récupérer vos colis ou faire du coworking à l'église ?

Le Parisien2 days ago
Les chiffres sont clairs. La situation est tendue.
Le Maine-et-Loire
compte 176 communes, et 406 églises. Les plus petites municipalités, qui possèdent un seul édifice, comme les communes nouvelles, nées de la fusion de plusieurs entités, qui héritent de nombreux bâtiments, font face à des problèmes budgétaires. Que faire ? Démolir ? Restaurer ? Reconvertir ?
Le guide
Propositions pour l'avenir du patrimoine religieux
, publié le 20 juin par la préfecture, apporte des réponses innovantes. Une initiative inédite en France.
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Guerre en Ukraine : Donald Trump dément avoir encouragé Volodymyr Zelensky à cibler Moscou
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Le Parisien

time16 minutes ago

  • Le Parisien

Guerre en Ukraine : Donald Trump dément avoir encouragé Volodymyr Zelensky à cibler Moscou

Donald Trump a-t-il encouragé Volodymyr Zelensky à frapper Moscou ? Alors que le Financial Times l'affirme, le locataire de la Maison-Blanche s'inscrit en faux. « Non, il ne devrait pas cibler Moscou », a-t-il répondu devant la presse, ce mardi, ajoutant que Washington ne fournirait pas à Kiev de missiles à longue portée. Le journal américain assurait mardi que Trump, lors d'un appel téléphonique le 4 juillet, aurait demandé : « Volodymyr, pouvez-vous frapper Moscou ? Pouvez-vous aussi frapper Saint-Pétersbourg ? ». Ce à quoi son homologue ukrainien aurait répondu : « Absolument. Nous le pouvons si vous nous donnez les armes. » Si le président américain dément donc cette affirmation, il a tout de même donné des gages à Kiev ces dernières heures. Lundi, il s'est engagé à fournir des équipements militaires supplémentaires à l'Ukraine et a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à son offensive dans ce pays, déclenchée en février 2022, sous peine de sanctions sévères. En réaction au plan américain, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé que « cette décision prise à Washington, dans les pays de l'Otan et directement à Bruxelles sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix mais comme un signal pour la poursuite de la guerre ». Depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier, Donald Trump a essayé de pousser Moscou et Kiev à mettre fin au conflit, notamment en se rapprochant de Vladimir Poutine dont il se dit désormais « déçu ». Désormais, il se montre offensif à l'égard de la Russie : sans accord d'ici à 50 jours, les États-Unis mettront en place des « droits de douane secondaires », c'est-à-dire contre les alliés de Moscou, a-t-il averti. Donald Trump a par ailleurs annoncé lundi que des équipements militaires « d'une valeur de plusieurs milliards de dollars », en particulier des systèmes de défense antiaérienne Patriot , seraient envoyés à l'Ukraine. Ce matériel sera acheté par les membres européens de l'Otan . Mark Rutte, secrétaire général de l'organisation, a précisé que l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Canada, la Norvège, la Suède et le Danemark feraient partie des acheteurs. Les décisions américaines en faveur de l'Ukraine interviennent alors que les attaques aériennes russes se sont aussi intensifiées ces dernières semaines. Dans la nuit de mardi à mercredi, des attaques russes ont fait au moins 11 blessés en Ukraine, ont rapporté les autorités des différentes régions touchées. La veille, trois personnes ont été tuées dans l'est de l'Ukraine et le ministère russe de la Défense a revendiqué la prise de deux villages dans la région de Donetsk (est).

Les premiers détenus pour narcotrafic ont été informés de leur transfert pour la prison de haute sécurité
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Les premiers détenus pour narcotrafic ont été informés de leur transfert pour la prison de haute sécurité

Réservé aux abonnés INFO LE FIGARO - D'ici au 31 juillet, les cent plus dangereux trafiquants de drogue rejoindront l'établissement de Vendin le Vieil. En temps et en heure. Selon nos informations, les premières dizaines de détenus pour narcotrafic ont été averties, au cours de ces dernières heures, que le ministre de la justice Gérald Darmanin envisageait leur transfert à Vendin Le Vieil, première prison haute sécurité qui doit abriter les plus dangereux délinquants de la criminalité organisée. Ces premières notifications délivrées par les chefs d'établissement, ouvrent une période de 72 heures avant un débat contradictoire en présence de leurs avocats, qui se tiendra au sein des détentions. Les détenus peuvent alors faire valoir leurs arguments pour s'opposer à cette disposition. Après la confirmation par la signature du Garde des sceaux, le transfert est immédiatement exécutoire. C'est donc dans le courant de la semaine prochaine que devraient avoir lieu les premiers mouvements. Recours à la visioconférence Ces notifications concernent des individus incarcérés dans la France entière. Parmi la centaine qui a vocation à rejoindre cet établissement, un cinquième est…

Parcoursup: La France insoumise dépose une proposition de loi pour supprimer la plateforme
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time16 minutes ago

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Parcoursup: La France insoumise dépose une proposition de loi pour supprimer la plateforme

Un monde sans Parcoursup... C'est le rêve de la France insoumise (LFI), dont les députés ont déposé une proposition de loi ce 11 juillet pour supprimer purement et simplement la plateforme d'orientation. Une date éloquente, puisque la phase d'admission principale de Parcoursup avait pris fin la veille, le 10 juillet 2025. Ce positionnement n'est pas nouveau pour le parti fondé par Jean-Luc Mélenchon. LFI s'est toujours opposé à Parcoursup depuis son lancement il y a sept ans par Jean-Michel Blanquer, alors ministre de l'Éducation nationale. À l'époque, le jeune Louis Boyard, aujourd'hui député LFI, était déjà engagé dans la bataille comme syndicaliste étudiant. Pour les élus LFI, la plateforme d'orientation accentuerait la sélection et la pression scolaire. Ils reprochent aussi à Parcoursup son manque de lisibilité, avec plus de 21.000 formations disponibles en 2025 et son opacité dans les modalités de recrutement. Pour rappel, si aucun algorithme n'est proposé par Parcoursup pour trier les candidatures, les formations elles-mêmes peuvent tout à fait recourir à ce genre d'outils. Supprimer toute forme de sélection Dans l'exposé des motifs, les signataires pointent du doigt «un projet politique de fabrication élitiste de l'enseignement supérieur» et un «tri social» destiné «à fermer les portes de l'université aux classes populaires». Mais quelle alternative pour remplacer la plateforme ? Eh bien aucun. Les députés d'extrême gauche proposent en réalité l'abolition pure et simple de la sélection dans l'enseignement supérieur. «Toute forme de sélection à l'entrée en premier cycle dans ces établissements est supprimée», indique l'article premier de la proposition de loi. Ces derniers mois, Parcoursup a été critiqué à plusieurs reprises par le premier ministre lui-même. Lors de son discours de politique générale, François Bayrou avait affirmé que l'orientation précoce était «une erreur» et Parcoursup «une question». Trois mois plus tard, il avait répété être «très interrogatif sur Parcoursup», estimant que «l'orientation précoce» est «la plupart du temps une orientation sociale». Mais le ministre de l'enseignement supérieur Philippe Baptiste avait ensuite évoqué des évolutions possibles, mais fermé la porte à une abrogation. De maigres chances d'aboutir Aussi la mesure n'a pour l'heure guère de chances d'aboutir. Selon toute vraisemblance, elle devrait être débattue lors de la prochaine niche parlementaire prévue pour le parti à l'automne prochain. Mais compte tenu des déclarations du gouvernement, le socle commun ne devrait pas la soutenir. Quant au Rassemblement national, s'il est critique vis-à-vis du dispositif, il ne souhaite pas sa disparition. La réforme de Parcoursup a déjà fait l'objet d'autres tentatives venues de la gauche par le passé. Les députés communistes, notamment, avaient déposé un texte en octobre 2022 visant à «atténuer les inégalités d'accès à l'enseignement supérieur générées» par la plateforme. Mais le texte n'avait jamais été examiné par les députés.

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