« Le requin a failli détruire Spielberg » : un documentaire raconte les coulisses des « Dents de la mer »

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Le Figaro

an hour ago

• Le Figaro

Depuis quand les chaussettes blanches ne sont-elles plus ringardes?

Réservé aux abonnés Portées avec des mocassins en cuir, elles divisent mais sont pourtant le comble du chic preppy incarné par Paul Newman et Dean Martin dans les années 1950, et récemment remis au goût du jour par Paul Mescal ou Harry Styles. Récemment, un homme de notre entourage nous posait une question de style - ce qui, en dépit de notre spécialité professionnelle, n'arrive pas tous les jours. « Peut-on porter des chaussettes blanches avec des mocassins et un short ? », nous demandait Bruno, pour qui le mi-bas immaculé est plutôt « connoté sport ». La question ne tombe évidemment pas de nulle part : ces derniers temps, que ce soit sur les réseaux sociaux, au premier rang des défilés, dans les rues de Londres, New York ou Paris, on ne compte plus les garçons branchés chaussés ainsi. La teinte bat même des records de vente chez le spécialiste Mes Chaussettes Rouges, une tendance encore plus marquée en été. Même les célébrités, qu'il s'agisse de Paul Mescal, d'Harry Styles ou de Tyler The Creator, ont adopté le modèle blanc, avec un soulier de ville, donc, mais aussi une basket. Un choix qui, il y a quelques années de cela, aurait pu donner envie aux élégants de s'arracher les cheveux… La faute, sans doute…

Le HuffPost France

2 hours ago

• Le HuffPost France

Le super-chien Krypto présent dans « Superman » fait exploser les recherches pour les adoptions

CINÉMA - Super-Toutou a fait des ravages. Dans le nouveau film de James Gunn, une mascotte surpuissante habillée d'une cape rouge vient en aide à Superman. Ce chien produit en images de synthèse s'appelle Krypto et il chipe parfois même la vedette à David Corenswet, Rachel Brosnahan ou Nicholas Hoult grâce à son caractère chaotique et imprévisible. Le super-chien a tellement plu au public que l'application de dressage canin Woofz a relevé un intérêt massif pour l'adoption. En analysant les recherches Google après la sortie du film, ils ont remarqué que la phrase « adopt a dog near me » (« adopter un chien près de chez moi » en français) a connu une hausse de 513 %. La recherche « rescue dog adoption near me » (« adoption chien de refuge près de chez moi ») a quant à elle augmenté de 163 % d'après eux. Et la recherche plus spécifique « adopt a schnauzer » (« adopter un schnauzer ») a grimpé de 299 %. Krypto semblant être un croisement entre un schnauzer et un terrier. Krypto existe dans la vraie vie Sur X, James Gunn n'a pas caché sa fierté face à ce phénomène : « Ce film a été une véritable avalanche de bénédictions pour moi : celui-ci est peut-être le plus grand ». Par ailleurs, Warner Bros, qui est derrière la superproduction avait lancé une campagne d'adoption juste avant la sortie du film. Le studio couvrait notamment les frais d'adoption des animaux issus de certains refuges de l'association Best Friends Animal Society. Pour créer Krypto, le réalisateur s'est inspiré de son propre chien. « Quand j'ai adopté Ozu, je commençais à écrire le scénario de Superman. Ozu était un chien tellement terrible, tellement incontrôlable que je me suis dit : 'Et s'il avait des superpouvoirs ? On serait fichus' », a-t-il expliqué à People en juin. Dans un post Instagram publié en octobre 2024, James Gunn a raconté qu'Ozu « a même mangé (son) ordinateur ». Le chien du réalisateur a fait plus qu'inspirer son maître pour l'écriture du scénario. C'est lui qui a servi de modèle physique pour Krypto. « On a capturé le corps d'Ozu en changeant simplement la couleur. Nous avons également utilisé les centaines de vidéos qui montrent Ozu en train de jouer, de se battre ou de mordre mes pieds pour fabriquer les actions de Krypto à l'écran », a précisé James Gunn au média américain. Un comportement qu'on retrouve facilement dans le film.

Le Figaro

3 hours ago

• Le Figaro

Jazz à Juan : Gregory Porter, une voix dans la pinède

Réservé aux abonnés CRITIQUE - Le crooner américain a charmé le public avec un concert souvent éclatant, rappelant qu'il est une des plus belles voix actuelles dans un registre à mi-chemin entre jazz et soul music. La nuit est déjà tombée alors que les musiciens de Gregory Porter prennent place derrière leurs instruments. Piano, orgue, contrebasse, saxophone et batterie commencent à vibrer d'un grondement sourd lorsque Gregory Porter apparaît. Coiffé de son éternelle casquette, en costume clair très chic, le quinquagénaire entonne une de ses plus belles compositions. 1960 What ? déchire la tranquillité de la pinède. Cette chanson, très forte, figurait sur Water, premier album solo de l'artiste, en 2010. Avec ses manières de protest-song, elle est la signature du chanteur. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Il y revient sur les soubresauts politiques de sixties : émeutes de l'été 1967 à Detroit (« Motor city is burning »), assassinat de Martin Luther King (« He was the only one to fall down »). Une entrée en matière tonitruante pour le chanteur, qui rappelle qu'il n'est pas uniquement le disciple de Nat King Cole. Si son dernier album en date était un disque de Noël, Gregory Porter n'est pas seulement un interprète…