
Les récoltes de fruits et de légumes frais pour garnir votre table
Quels sont les produits québécois et canadiens à prix réduit dans les supermarchés cette semaine ?
Fruits et légumes
Maxi remporte la palme des meilleurs rabais cette semaine :
Les pêches jaunes Délices du marché, récoltées au Canada, se vendent 3,75 $ le panier de 3 L ;
Pour vos sandwichs et vos salades, les tomates sur vigne du Canada sont offertes à 1 $ les 454 g, soit 2,20 $ le kilo ;
Les radis en bottes et les oignons verts du Québec sont offerts à 1 $ ;
En cocktail rafraîchissant ou en collation dans votre lunch, les mini-concombres Délices du marché, récoltés au Canada, se vendent 2 $ ;
Si vous avez envie d'un hot-dog moutarde-chou, le chou vert du Québec est offert à 0,75 $ les 454 g, soit 1,65 $ le kilo ;
Pour ajouter du croquant à vos plats, le céleri du Québec est vendu 2 $ ;
En papillote sur le barbecue ou pour faire un baba ghanouj maison, les haricots verts ou jaunes ainsi que les aubergines, tous du Québec, se trouvent à 2 $ les 454 g, soit 4,41 $ le kilo.
Super C suit de près :
La chopine de bleuets du Canada se vend 1,47 $ ;
Un bon ajout à une salade de pâtes, le brocoli en couronne, en provenance du Québec, se trouve à 0,97 $ ;
Rôti, le chou-fleur du Québec sera un incontournable pour votre table : 1,67 $ ;
Pour une salade de fruits, le gros cantaloup du Québec est à 1,97 $.
Les fraises du Québec, en panier de 750 ml, se trouvent à 2,96 $ chez Metro.
Le maïs en épi deux couleurs est offert à 10 pour 3 $ chez IGA.
Viande et volaille
En sandwich, en quesadilla ou pour ajouter à votre riz, le poulet du Canada, en emballage de deux, se vend 2 $ les 454 g, soit 4,41 $ le kilo, chez Provigo.
Condiments
Pour l'apéro, avec des craquelins ou des croustilles de pain pita, le houmous et les trempettes Fontaine Santé, préparés au Québec, en format de 250 g et 260 g, se trouvent à 2,94 $ chez Walmart.
Produits laitiers
Le yogourt grec Riviera, en pot de 750 g, se trouve à 4,99 $ chez Adonis.
Un choix varié de beurre Sélection, en format 454 g, se vend 4,88 $ chez Metro.

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La Presse
3 hours ago
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Guilbault évoque l'idée de « réduire » la SAAQ
(Québec) Geneviève Guilbault a évoqué l'idée de « réduire » la taille de la SAAQ et de procéder à des « optimisations » au moment où l'organisme public croule sous les déficits et la mauvaise presse. La ministre des Transports a annoncé vendredi la mise en place d'une « cellule de restructuration » de la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ). Il s'agit du dernier coup de volant de la ministre – après les nominations d'une nouvelle présidente et d'une nouvelle PDG – pour redresser l'organisme en déroute. « Rien n'est exclu », a précisé la ministre à propos des changements qui attendent la SAAQ. Il y a clairement un ménage à faire à la SAAQ. Geneviève Guilbault, ministre des Transports Le comité formé de trois experts dits indépendants devra formuler une série de recommandations – en parallèle de celles de la Commission Gallant – pour transformer de fond en comble l'organisme. Il doit commencer le travail à la fin de l'été, intégrer les conclusions de la commission Gallant attendues en décembre et livrer ses propres recommandations au maximum deux mois plus tard, soit en février 2026. « Je ne veux pas qu'on arrive avec le dépôt du commissaire Gallant qui porte sur un certain volet, et qu'on se dise 'mais qu'en est-il du reste de la SAAQ ?'. Est-ce qu'il n'y a pas lieu de faire des changements plus en profondeur ? », a expliqué Geneviève Guilbault. « Peut-être réduire la taille de la SAAQ ? Ils sont 4813 actuellement », a lancé la ministre, qui a ajouté que l'organisme avait au 31 décembre dernier 492 millions de dollars de déficit. Le comité devra donc évaluer la situation financière de la SAAQ « et nous proposer des mesures d'optimisation pour résorber le déficit et retourner à l'équilibre budgétaire ». Rappelons que la commission Gallant s'intéresse au virage numérique de la SAAQ, qui a coûté près de 500 millions de plus que prévu. Les trois membres de la « cellule de restructuration » sont Linda Gosselin, André Legault et Pierre Rodrigue.


La Presse
3 hours ago
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« Il y a clairement un ménage à faire à la SAAQ », affirme Guilbault
« Il y a clairement un ménage à faire à la SAAQ », affirme Guilbault (Québec) Geneviève Guilbault a évoqué l'idée de « réduire » la taille de la SAAQ et de procéder à des « optimisations » au moment où l'organisme public croule sous les déficits et la mauvaise presse. La ministre des Transports a annoncé vendredi la mise en place d'une « cellule de restructuration » de la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ). Il s'agit du dernier coup de volant de la ministre – après les nominations d'une nouvelle présidente et d'une nouvelle PDG – pour redresser l'organisme en déroute. « Rien n'est exclu », a précisé la ministre à propos des changements qui attendent la SAAQ. Il y a clairement un ménage à faire à la SAAQ. Geneviève Guilbault, ministre des Transports Le comité formé de trois experts dits indépendants devra formuler une série de recommandations – en parallèle de celles de la Commission Gallant – pour transformer de fond en comble l'organisme. Il doit commencer le travail à la fin de l'été, intégrer les conclusions de la commission Gallant attendues en décembre et livrer ses propres recommandations au maximum deux mois plus tard, soit en février 2026. « Je ne veux pas qu'on arrive avec le dépôt du commissaire Gallant qui porte sur un certain volet, et qu'on se dise 'mais qu'en est-il du reste de la SAAQ ?'. Est-ce qu'il n'y a pas lieu de faire des changements plus en profondeur ? », a expliqué Geneviève Guilbault. « Peut-être réduire la taille de la SAAQ ? Ils sont 4813 actuellement », a lancé la ministre, qui a ajouté que l'organisme avait au 31 décembre dernier 492 millions de dollars de déficit. Le comité devra donc évaluer la situation financière de la SAAQ « et nous proposer des mesures d'optimisation pour résorber le déficit et retourner à l'équilibre budgétaire ». Rappelons que la commission Gallant s'intéresse au virage numérique de la SAAQ, qui a coûté près de 500 millions de plus que prévu. Les trois membres de la « cellule de restructuration » sont Linda Gosselin, André Legault et Pierre Rodrigue.


La Presse
4 hours ago
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Les droits de douane grimpent à 20,1 %, plus haute moyenne depuis les années 1910
En hausse par rapport au niveau théorique de fin juin (17,3 %), le taux théorique des droits de douane intègre les nouvelles taxes entrées en vigueur jeudi, une augmentation de certains droits de douane visant le Canada, le Brésil et le cuivre raffiné, ainsi que les accords commerciaux avec l'UE, le Japon et la Corée du Sud. Les droits de douane grimpent à 20,1 %, plus haute moyenne depuis les années 1910 (Paris) Les droits de douane appliqués par les États-Unis s'élèvent en moyenne à 20,1 % après l'entrée en vigueur de nouvelles taxes pour des dizaines de pays jeudi, selon le calcul actualisé vendredi de l'OMC et du FMI, soit leur plus haut niveau depuis le début des années 1910, hormis quelques semaines de 2025. Luca MATTEUCCI Agence France-Presse Ce taux théorique, calculé par l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et le Fonds monétaire international (FMI) à partir des annonces commerciales, se base sur les volumes des échanges constants et était de seulement 2,4 % lors de l'investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2025. L'annonce, le 2 avril, de droits de douane tous azimuts et les surenchères successives visant les principaux partenaires commerciaux des États-Unis, Chine en tête, avaient brièvement fait bondir le taux moyen à 24,8 % en mai, ont calculé l'OMC et le FMI – du jamais vu depuis 1904, selon les données de la Commission du commerce international des États-Unis. Dans les années 1930, le taux, calculé en divisant le montant des taxes par le montant des importations, était monté à près de 20 %. Le taux actualisé vendredi par le « Tariff Tracker » l'OMC et le FMI applique les taux annoncés par produit aux volumes des échanges commerciaux de 2024. En hausse par rapport au niveau théorique de fin juin (17,3 %), il intègre les nouvelles taxes entrées en vigueur jeudi, une augmentation de certains droits de douane visant le Canada, le Brésil et le cuivre raffiné, ainsi que les accords commerciaux avec l'UE, le Japon et la Corée du Sud. Le calcul de l'OMC et du FMI ne prend pas en compte tous les effets des droits de douane sur les échanges commerciaux : les entreprises peuvent par exemple anticiper ou retarder des livraisons pour tenter d'échapper aux surtaxes, et les habitudes de consommation peuvent évoluer. Selon le centre de recherche Budget Lab de l'université de Yale, le taux devrait converger vers 17,7 % une fois changements de consommation et effets secondaires pris en compte – et ce, sans d'autres annonces choc de Donald Trump. Les droits de douane effectivement perçus, payés par les importateurs au gouvernement américain puis répercutés ou non jusqu'au client américain, restaient en juin en dessous de ces taux. Hausse des revenus américains Au premier semestre, le Trésor américain a collecté un montant net de 87 milliards de dollars de droits de douane, soit plus que le total de l'année 2024, selon les données du département des Finances, qui montrent une hausse spectaculaire depuis avril 2025. Les dernières estimations officielles des droits encaissés pour chaque type de produits importés datent également de juin. Elles sont publiées par le bureau du recensement (Census). Rapportés à la valeur des importations, ces chiffres permettent de déterminer quel pays et quel produit est effectivement le plus taxé. Le taux effectif réel pour juin tout produit et partenaire commercial confondu était de 9,1 %, selon les calculs de l'AFP à partir des données du Census Bureau. La Chine figure largement en tête du classement, avec 40,3 % de taxes sur les importations en juin. Côté produits, les « ouvrages en fonte, fer ou acier » étaient la catégorie la plus taxée, à 39,8 %, contre 6,1 % en janvier. La Chine, qui a exporté pour plus de 5 milliards de dollars de ces produits vers les États-Unis, est la plus touchée par cette envolée. Viande brésilienne (33,9 %), aluminium canadien (33,6 %), vêtements d'Indonésie (29,6 %) et du Vietnam (29,4 %) ainsi que les voitures japonaises (27,4 %) comptent parmi les importations affichant les taux effectifs les plus élevés en juin. Les droits de douane ne représentent qu'une partie des outils dont disposent les pays pour protéger leur marché et leurs producteurs nationaux. Quotas d'importation, normes, ou exigences de contenu local peuvent, dans certains cas, avoir un impact important sur les échanges. Cette politique tarifaire a par ailleurs aussi un coût économique. Selon une étude du Yale Budget Lab, la croissance réelle du PIB américain en 2025 et 2026 sera inférieure de 0,5 point de pourcentage chaque année en raison des nouveaux droits de douane.