logo
Lot-et-Garonne : un homme meurt poignardé à Villeneuve-sur-Lot

Lot-et-Garonne : un homme meurt poignardé à Villeneuve-sur-Lot

Le Parisien4 days ago
Une bagarre mortelle à
Villeneuve-sur-Lot
(Lot-et-Garonne). Un homme est mort des suites de ses blessures par arme blanche, après une
rixe
dans le centre-ville ce jeudi 3 juillet, en fin d'après-midi. Une personne a également été blessée, a appris l'AFP auprès de sources concordantes.
La rixe a opposé plusieurs protagonistes, selon une source policière, qui n'a pas donné de précisions sur le motif de cette bagarre.
Une source proche de l'enquête évoque un affrontement entre quatre hommes. Selon elle, la personne blessée, qui a été hospitalisée, accompagnait la victime, un homme d'une trentaine d'années.
Le parquet n'était pas joignable dans l'immédiat.
L'enquête a été confiée à la direction de la criminalité organisée et spécialisée, l'ex-police judiciaire.
Cet homicide survient un peu plus de deux mois et demi après la mort par arme à feu d'un jeune homme de 20 ans dans le cadre d'un contentieux entre bandes dans cette sous-préfecture d'un peu plus de 20 000 habitants.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Aube : un médecin mis en examen pour agressions sexuelles et outrage sexiste
Aube : un médecin mis en examen pour agressions sexuelles et outrage sexiste

Le Figaro

time8 minutes ago

  • Le Figaro

Aube : un médecin mis en examen pour agressions sexuelles et outrage sexiste

Un médecin de Romilly-sur-Seine (Aube) a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire pour agressions sexuelles et outrage sexiste après une enquête «qui a d'ores et déjà permis l'identification de 20 victimes», a indiqué le parquet de Troyes lundi. Le parquet a ouvert mercredi une information judiciaire «pour des faits d'agressions sexuelles par personne abusant de l'autorité conférée par ses fonctions, agression sexuelle sur mineur de plus de 15 ans et outrage sexiste par personne abusant de l'autorité conférée par ses fonctions», écrit la procureure adjointe de Troyes, Charlène Mahot, dans un communiqué. Publicité L'enquête, menée depuis avril 2025 par la brigade de gendarmerie de Romilly-sur-Seine, «a d'ores et déjà permis l'identification de 20 victimes», indique Charlène Mahot. Le mis en cause est «un médecin généraliste libéral exerçant à Romilly-sur-Seine, âgé de 47 ans», précise-t-elle. Elle indique que le médecin a été «mis en examen à l'issue de sa première comparution devant le juge d'instruction et placé sous contrôle judiciaire avec notamment l'interdiction d'exercer toute activité de médecine.» La magistrate ajoute que «le Conseil de l'Ordre des Médecins (l'a) suspendu de ses fonctions» et qu'une «procédure disciplinaire est en cours».

Comment le sentiment de déclassement des cadres nourrit le vote RN
Comment le sentiment de déclassement des cadres nourrit le vote RN

Le Figaro

time17 minutes ago

  • Le Figaro

Comment le sentiment de déclassement des cadres nourrit le vote RN

Réservé aux abonnés RÉCIT - En l'espace de cinq ans, entre 2019 et 2024, le RN est passé de 13 % à 20 % des voix chez les cadres. Une partie de cette catégorie socioprofessionnelle désormais fourre-tout et sans privilège majeur a été progressivement gagnée par l'angoisse du déclassement. En avril 2024, Julien*, 28 ans, a transféré un sondage à ses collègues, agrémenté d'un commentaire du type « vous avez vu ? ». Personne ne l'avait vu. L'étude Ifop présentait le Rassemblement national en tête des intentions de vote chez les cadres aux élections européennes, une première historique. Dans l'open space du siège parisien de cette banque où il officie au financement de projets d'énergie renouvelable, les réactions ont oscillé entre « déni mi-amusé » et « indignation ». « Ensuite, un maccarthysme potache a commencé en essayant de savoir qui au bureau votait RN. » Quelques-uns ont regardé leurs chaussures. Le verdict des urnes a scellé la tendance. En cinq ans, entre 2019 et 2024, le RN est passé de 13 % à 20 % des voix chez les cadres aux européennes, il a atteint 21 % aux élections législatives 2024 (Ipsos). À la présidentielle 2017, 10 % des cadres avaient choisi Marine Le Pen, 10,8 % son père en 2002. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Pourquoi des cadres, qu'ils croyaient ancrés dans…

Attaque à la prison de Condé-sur-Sarthe : Michaël Chiolo condamné à la plus lourde peine possible
Attaque à la prison de Condé-sur-Sarthe : Michaël Chiolo condamné à la plus lourde peine possible

Le HuffPost France

timean hour ago

  • Le HuffPost France

Attaque à la prison de Condé-sur-Sarthe : Michaël Chiolo condamné à la plus lourde peine possible

JUSTICE - Deux surveillants de la prison d'Alençon-Condé-sur-Sarthe dans l'Orne avaient été grièvement blessés en mars 2019 par un détenu du nom de Michaël Chiolo. Le Mosellan de 33 ans, ex-sympathisant néonazi, jugé par la Cour d'assises spéciale de Paris ce lundi 7 juillet, a été condamné à la réclusion criminelle avec perpétuité incompressible, la plus lourde peine prévue par le code pénal. À ce jour, seuls deux hommes exécutent une peine de perpétuité incompressible en France : Salah Abdeslam, l'un des auteurs des attentats du 13 novembre 2015 qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), et Brahim Aouissaoui, l'auteur de l'attentat de la basilique de Nice, qui avait fait trois morts, le 29 octobre 2020. La cour d'assises spéciale a par ailleurs acquitté un des accusés poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste et prononcé une peine de réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de 30 ans, contre Abdelaziz Fahd, jugé coupable de complicité de tentative d'assassinat. Acte revendiqué Tout au long de son procès, Michaël Chiolo, jugé pour tentative d'assassinat et qui revendique pleinement son acte par haine du système carcéral, n'a cessé d'en rajouter dans la provocation. Il a ainsi affirmé « approuver de A à Z » les exactions de l'État islamique. Invité à prendre la parole avant que la cour se retire pour délibérer, Michaël Chiolo a choisi le silence après « les excellentes plaidoiries de (ses) avocats ». « Je vous demande d'abandonner cette abominable substitution à la peine de mort qu'est la perpétuité incompressible », avait plaidé vendredi l'un de ses avocats, Romain Ruiz. « M. Chiolo est un défi pour la justice antiterroriste », avait souligné l'avocat en demandant à la cour si elle entendait juger son client « comme un criminel ou comme un ennemi ». « Je vous demande de ne pas condamner Michaël Chiolo à la mort lente », avait-il dit. Le 5 mars 2019, Michaël Chiolo et sa compagne Hanane Aboulhana, qui lui rendait visite, avaient grièvement blessé deux surveillants avec deux couteaux en céramique dans l'enceinte de la prison. Le couple s'était ensuite retranché pendant près de dix heures dans l'unité de vie familiale de l'établissement pénitentiaire. Après plusieurs tentatives de négociation, les forces d'intervention de la police avaient lancé l'assaut, blessant Michaël Chiolo et tuant Hanane Aboulhana, 34 ans.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store