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Stephen Curry termine 5e de l'American Century Celebrity Golf Championship, tournoi de golf entre célébrités

Stephen Curry termine 5e de l'American Century Celebrity Golf Championship, tournoi de golf entre célébrités

L'Équipea day ago
Grand amateur de golf, le meneur des Golden State Warriors Stephen Curry a terminé cinquième, dimanche, de l'American Century Celebrity Golf Championship, un tournoi de golf entre célébrités qu'il avait remporté en 2023.
Stephen Curry s'est contenté de la cinquième place de l'American Century Celebrity Golf Championship, tournoi de golf des célébrités. Grand amateur de golf, le meneur des Golden State Warriors - encouragé notamment par son coéquipier Jimmy Butler - a longtemps été en course pour le titre, mais a vu ses espoirs de victoire s'envoler au 18e trou sur un double bogey.
Vainqueur du tournoi en 2023, édition où il avait notamment réalisé un fabuleux trou en un, Curry (37 ans) est le sportif en activité le mieux classé. D'autres joueurs NBA y participaient comme Austin Reaves (13e), le champion NBA 2025 Alex Caruso (17e) ou encore Kyle Lowry (38e). La famille Curry était également présente en nombre, le père Dell (27e) et le frère Seth (30e) ayant aussi participé. Le tournoi a été remporté par Joe Pavelski, ancien joueur de hockey en NHL.
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L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

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Deux ans après son entrée fracassante dans le monde professionnel, Ludvig Äberg fait partie des cadors du golf mondial. Solide membre du top 10, le Suédois de 24 ans croit en ses chances avant le début du British Open et ce malgré deux cuts ratés au PGA Championship et à l'US Open. Deux ans après son entrée fracassante dans le monde professionnel, Ludvig Äberg fait partie des cadors du golf mondial. Solide membre du top 10 (il est 9e cette semaine après avoir été 4e il y a un an), le Suédois de 24 ans aborde son deuxième British enrichi par l'expérience de l'an dernier, quand la tempête de Troon avait emporté son swing et ses certitudes. Et même s'il reste sur deux cuts ratés en Majeur, au PGA Championship et à l'US Open, le cyborg au sourire carnassier croit en ses chances d'ouvrir son compteur en Grand Chelem, comme il l'a confié lors d'une table ronde organisée par son sponsor Mercedes-Benz. Le British Open « Je me sens mieux préparé » « L'an dernier, je me souviens que c'était difficile, que nous avions dû faire face à des défis naturels compliqués, avec beaucoup de vent. Mais je me souviens aussi à quel point c'était cool. J'adore l'aspect historique de ce jeu, c'est ce qui m'excite le plus. Ce tournoi existe depuis 1860, et j'ai vraiment ressenti cela l'an dernier. J'aurais aimé jouer un peu mieux, mais cette fois-ci, je me sens mieux préparé. J'ai grandi en jouant dans le sud de la Suède où il y a beaucoup de vent, pas forcément sur des links (parcours sablonneux en bord de mer) comme celui-ci, mais j'ai toujours aimé jouer le British Boys, le British Amateur plusieurs fois, le Lytham Trophy et Fairhaven aussi. J'ai donc eu ma part d'expériences sur ce type de parcours que j'apprécie parce que c'est très différent. Il y a beaucoup plus d'adaptation, de créativité et c'est un endroit sympa pour jouer au golf. Je pense être un peu mieux préparé que l'an dernier aux conditions. La pluie et le vent sont des facteurs que j'ai un peu sous-estimés l'an passé. Je n'avais pas abordé le tournoi en pensant que ce serait aussi important et j'ai été un peu pris au dépourvu. Cette année, je sais par expérience que c'est un gros problème et j'aurai cet état d'esprit d'acceptation, quelle que soit la situation. » Sa saison jusqu'à présent « J'ai beaucoup appris sur mon jeu et sur moi-même » « Cette année, j'ai beaucoup appris sur mon jeu et sur moi-même, sur ce qui me convient et sur ce qui ne me convient pas. J'ai vu de bonnes choses la semaine dernière en Écosse (il s'y est classé 8e), de bonnes choses sur lesquelles je peux m'appuyer et j'ai hâte de prendre le départ jeudi. Mais si je pouvais le faire d'un coup de baguette magique, je changerais probablement pas mal de choses dans ma saison jusqu'à présent. Non pas parce que mon jeu fer a été mauvais ou mon driving, ou mon wedging ou mon putting : je pense que j'ai été un peu déséquilibré dans toutes les parties de mon jeu. Je changerais donc ma façon de m'entraîner et de me préparer à ces événements, je serais plus efficace dans mes entraînements à la maison et un peu plus affûté quand le tournoi arrive. Il est possible aussi que les attentes après mes débuts réussis sur le Tour aient été difficiles à gérer. J'ai toujours eu l'idée que cela faisait partie du jeu et du fait d'être un athlète évoluant à un très haut niveau. C'est la même chose dans tous les sports, au football, au tennis ou dans n'importe quelle profession : si vous avez de bons résultats, l'attention sera beaucoup plus grande. Et je considère que j'ai beaucoup de chance d'être dans cette situation après mes deux premières années en tant que professionnel. J'attends donc beaucoup de moi aussi et il en sera toujours ainsi. » Gagner un Majeur « Avoir des objectifs, ça facilite les choses » « Il est évident qu'il faut tout mettre en place en quatre jours de tournoi, mais j'ai l'impression que les expériences que j'ai vécues en Majeurs, comme dans les autres tournois, au cours des vingt-quatre derniers mois, m'ont fait prendre conscience que je pouvais y arriver. Que j'avais les capacités et les outils pour remporter un Grand Chelem. Dans un tournoi comme celui-ci, la motivation pour gagner et être performant est à son maximum. Tous les joueurs qui sont là ont le même état d'esprit. Comme je l'ai déjà dit, j'aime l'histoire. Lorgner un trophée sur lequel sont gravés tous ces grands noms du jeu, qui remontent aux années 1970, 60, 50, c'est ce qui m'enthousiasme. Il est important d'avoir des objectifs. Ça facilite les choses de savoir ce que l'on veut atteindre et comment y parvenir. Mais il est difficile de dire ''hé, je veux gagner tel ou tel tournoi'' parce que je suis plus un gars qui s'appuie sur le processus. Si je fais telle chose, à l'entraînement ou dans ma préparation, cela me donnera une chance d'y arriver. Lorsque je suis passé professionnel en juin 2023, je me souviens que tout ce que je voulais, c'était entrer dans le top 50 mondial, car cela signifiait que je pourrais jouer tous les Majeurs l'année suivante. Une fois que j'y suis parvenu, je voulais gagner un tournoi, puis un grand tournoi, et participer à la Ryder Cup, ce que j'ai réussi à faire. » La Ryder Cup « Je ne veux plus jamais manquer une édition » « C'est l'année de la Ryder Cup (du 26 au 28 septembre à Bethpage) et tous les Européens que je connais veulent faire partie de cette équipe. J'ai vécu une expérience formidable il y a deux ans (à Rome) et après ça, je ne veux plus jamais manquer une édition. La chose la plus importante que j'ai retirée de cette semaine a été d'apprendre à connaître un peu plus mes coéquipiers. La plupart d'entre eux, les McIlroy, Rahm ou Rose, je ne les avais vus jouer qu'à la télé et je ne leur avais jamais parlé. C'était donc à la fois très cool, mais j'étais aussi très nerveux à l'idée d'être rookie. Heureusement que j'ai pu gagner en Suisse (Omega Masters, début septembre 2023) juste avant. Égoïstement, c'était vraiment bien d'avoir au moins une victoire professionnelle à mon actif et d'avoir été choisi en même temps. Mais comme tout débutant, je me demandais si j'allais être assez bon. Mardi dernier, nous avons eu un petit dîner décontracté en Écosse avec Luke Donald (le capitaine européen), et l'accueil du public américain (dans la banlieue de New York) a été un sujet de conversation. Qu'on le veuille ou non, ce sera un facteur, et ce sera différent de tout autre tournoi classique. Luke a beaucoup d'expérience dans ce domaine et il sera un excellent capitaine pour aider les membres de l'équipe à embrasser la situation au lieu d'essayer de la fuir. » Ses parties en Ecosse avec Martin Couvra « Il a certainement une belle carrière devant lui » « J'ai trouvé qu'il avait bien joué la semaine dernière quand nous avons partagé les deux premiers tours de l'Open d'Écosse. Je me souviens de lui quand il était encore amateur, nous avons souvent joué ensemble en Europe et en Afrique du Sud. Ses cheveux un peu longs sortaient de sa casquette (rires). Il a réussi de belles choses jusqu'à présent, évidemment en gagnant sur le Challenge Tour en tant qu'amateur, puis en obtenant sa carte pour le DP World Tour où il a gagné en Turquie (en mai). Il peut vraiment jouer du bon golf. J'ai pu voir la façon dont il contrôlait le vol de la balle dans le vent, dont il faisait rouler la balle sur les greens de manière très efficace. Il a certainement une belle carrière devant lui. Pour qu'il continue à bien jouer, il faut qu'il reste ce petit enfant, ce gars qui veut vraiment apprendre des autres et s'amuser sur un parcours, c'est très important. C'est sympa de voir de jeunes Européens monter en puissance comme lui. » Sa passion pour le foot « Steven Gerrard était le héros de mon enfance » « Je jouais moi-même au football quand j'étais gamin et Steven Gerrard était le grand héros de mon enfance. Je l'aimais en tant que joueur, mais aussi comme capitaine du Liverpool Football Club dont je suis toujours supporter. Ce qu'il s'est passé il y a deux semaines (les décès de Diogo Jota et de son frère, tués dans un accident de voiture) est absolument terrible. J'ai été vraiment bouleversé et triste quand j'ai appris la nouvelle, pour la famille et pour le club. Le Paris-Saint-Germain nous a éliminés en Ligue des champions, et même s'ils ont été battus en finale de la Coupe du monde des clubs, ça reste la meilleure équipe d'Europe. Après Liverpool... (Rires.) »

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time5 hours ago

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Pour qui jouera Joel Embiid ? Cette question était sur toutes les lèvres en amont des Jeux olympiques de Paris 2024 . D'origine camerounaise, la star des Philadelphia 76ers avait obtenu les nationalités françaises et américaines en 2022 et devait faire un choix. Il a finalement opté pour la Team USA . Une décision qui, contre toute attente, n'a pas fait grincer les dents côté français. Dans une interview accordée à Basketnews lors du sommet B8 à Vilnius le 8 juillet dernier, Vincent Collet, sélectionneur de l'équipe de France de 2009 à 2024 , a confié sans détour : « J'étais heureux qu'Embiid ne vienne pas l'année dernière ». Une déclaration assumée et justifiée par la richesse déjà présente dans la raquette tricolore, avec Victor Wembanyama , Rudy Gobert, Vincent Poirier, Alexandre Sarr ou encore Mathias Lessort. Avant d'insister sur l'absence de besoin de recourir à la naturalisation pour renforcer une équipe nationale. En choisissant de porter les couleurs de l'équipe américaine, Joel Embiid s'est attiré les foudres du public français , qui l'a hué tout le long des Jeux olympiques. Mais rien n'a semblé l'atteindre : l'intérieur star a décroché l'or olympique avec Team USA face aux Bleus, battus 87-98 en finale .

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