
Mam Jaiteh rejoint Dubaï, nouvelle équipe d'Euroligue, pour les deux prochaines saisons
Dubaï, nouveau membre de l'Euroligue, continue de densifier son effectif. Après les arrivées de la star du Real Madrid Dzanan Musa ou encore du Serbe Aleksa Avramovic, le club émirati a annoncé ce lundi la signature de Mam Jaiteh. L'intérieur français, qui était en fin de contrat avec Monaco, rejoint Dubaï pour les deux prochaines saisons.
Jaiteh (30 ans) sort de deux saisons à Bologne (2021-2023), où il a notamment remporté l'Eurocoupe et été élu MVP de la compétition, et deux autres avec Monaco (2023-2025). Sur le Rocher, il a notamment livré un exercice 2024-2025 à 7,5 points et 4 rebonds de moyenne en 15 minutes par match en Euroligue. Souvent sur le banc avec la Roca Team, il pourrait avoir un rôle plus conséquent au sein d'une équipe en pleine construction qui voudra frapper fort pour ses premiers pas dans la compétition.
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L'Équipe
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« Une des meilleures nouvelles qui sont arrivées au jeu ces derniers temps » : entre l'esport et les échecs, un mariage qui arrange tout le monde
La tenue d'un tournoi d'échecs en marge de l'Esports World Cup, à compter de ce mardi, acte un nouveau rapprochement entre le noble jeu et le sport électronique. Deux disciplines qui se tournent autour depuis des années et ont tout pour s'entendre. Sur le planning de l'Esports World Cup, la ligne du programme saute aux yeux, calée entre une compétition de Call of Duty et d'Overwatch. Du 29 juillet au 1er août, le festival saoudien de gaming, aux moyens pharaoniques, sera le cadre d'un tournoi... d'échecs. D'une ampleur rare, même, puisque le gratin sera de la partie, de Magnus Carlsen, meilleur joueur de l'histoire, à Hikaru Nakamura et Fabiano Caruana, ses plus proches poursuivants au classement mondial, pour se partager le cash prize de 1,5 M$. Tout le monde voulait en être : l'occasion était trop belle pour célébrer le mariage lucratif entre le noble jeu et le sport électronique, qui se rapprochent, presque irrémédiablement, depuis des années. Dans le calendrier échiquéen, l'EWC supplante les finales du Champions Chess Tour, un circuit créé en 2020 par Carlsen en personne. Mais dans son nouvel écrin, au coeur d'un été d'esport, le tournoi devrait avoir un tout autre éclat et, surtout, toucher un nouveau public. À Riyad, les échecs seront en effet traités comme n'importe quel autre jeu : les matches se feront sur support électronique - en l'occurrence des tablettes -, devant du public et les performances des joueurs aux tournois rapporteront des points à leurs organisations respectives pour la très lucrative compétition par clubs. Des clubs pour les stars C'est d'ailleurs la grande nouveauté amenée par l'EWC : la plupart des top joueurs ont été signés par des clubs emblématiques de l'esport, dont ils porteront les couleurs sur la compétition. « Je pense que c'était une des meilleures nouvelles qui sont arrivées au jeu d'échecs ces derniers temps, s'enthousiasme Maxime Vachier-Lagrave, actuel 19e joueur mondial, ancien n° 2, recruté en février par Team Vitality, l'une des plus grosses écuries françaises. C'est hyper motivant de représenter un club, parce que c'est quelque chose que je ne connaissais pas, ça motive pour donner le meilleur de soi-même. » « Aller sur les échecs, ça nous a semblé être une évidence, révèle Nicolas Maurer, président de Team Vitality, qui compte bien sur son nouveau poulain pour lui rapporter des points précieux dans la compétition par clubs. C'est de la compétition qui a une vraie connexion avec ce que nous, on fait au quotidien. » En 2022, Vitality avait déjà envisagé de recruter « MVL », lorsque premier site mondial d'échecs, planchait sur une ligue entre clubs d'esport, qui se serait étendue sur plusieurs mois. Un projet finalement avorté, mais qui prouve que les prises de contact entre les deux mondes commencent à dater. Plus récemment, en 2023, les échecs faisaient d'ailleurs partie des jeux sélectionnés par le Comité International Olympique pour faire partie de l'Olympic Esports Week à Singapour. Deux « sports cérébraux » Ces rapprochements apparaissent logiques, tant l'esport et les échecs - souvent rangés dans la même catégorie des « sports cérébraux - se ressemblent dans la pratique du haut niveau et le volume d'entraînement, surtout au vu de la place grandissante prise par les ordinateurs dans l'entraînement sur 64 cases. « Je pense qu'on a les mêmes remarques lorsqu'on est associés au sport : on nous dit qu'il n'y a pas la dépense physique qui nous permet d'être classifié en tant que tel, restitue Maurer. Mais quand on prend du recul, c'est de la compétition de haut niveau. La préparation, tout ce qui va nous permettre d'accéder à la performance ressemble beaucoup à ce que nous connaissons. » « Il y a une ressemblance assez simple, c'est qu'un joueur d'esport va passer plusieurs heures à « tryhard » (à s'entraîner et à bosser la théorie) le jeu par jour, complète MVL. Exactement comme aux échecs. » Avec l'esport, l'Arabie saoudite a trouvé son nouvel outil de soft power Les similitudes vont même plus loin sur les parties à cadences rapides, devenues les plus populaires en ligne, du blitz (dix minutes par joueur) au bullet (trois minutes ou moins), voire à l'hyper bullet (30 secondes). « Il faut être hyper vif à la souris, précis, et en même temps, réfléchir à ce que tu fais, expose le grand maître Jules Moussard, récemment signé par le club français Aegis, qui a fait de cette variante sa spécialité. Les mecs qui sont les meilleurs, je ne serais pas surpris que ce soit des monstres aux jeux vidéo, il y a énormément de liens. » Le double champion de France d'échecs, qui participera au tournoi de la dernière chance pour obtenir l'une des quatre places restantes à l'EWC à partir de ce jeudi, sait de quoi il parle : pendant son adolescence, il passait énormément de temps sur Starcraft et League of Legends, deux jeux phares de l'esport, où il est passé proche d'une carrière semi-pro. Si la pratique des deux disciplines se rapproche, logiquement, leur public aussi. Ces dernières années, les contenus liés aux échecs ont fleuri sur Twitch, plateforme initialement très liée au gaming. Parmi les plus gros vidéastes de France, Inoxtag (Inès Benazzouz, 9,2 M d'abonnés sur Youtube) a dernièrement organisé des tournois d'échecs entre influenceurs. Commentés par son coach, le maître international Julien Song, ses parties ont réalisé des audiences impressionnantes. 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Au point d'être aujourd'hui en guerre froide avec la FIDE, la fédération internationale. L'EWC lui offre, comme à tous ses concurrents, de nouvelles perspectives hors de ce giron trop classique. « Avoir un circuit esport qui se met en place, ça permet aussi aux joueurs d'échecs d'établir un rapport de force un peu plus étroit avec les instances dirigeantes, acquiesce Vachier-Lagrave. Maintenant, on a d'autres options, donc on a plus à être les pantins, en quelque sorte, des organisations internationales. » Pour que ce contrepoids continue à exister, le rapprochement à court terme avec l'esport va devoir durer dans le temps, voire prendre de l'ampleur. Ce qui n'est pas gagné d'avance, puisque pour l'heure, la liste des compétitions impliquant des clubs se limite à la simple EWC. Pour qu'un circuit sur l'année se développe, il faudra donc que la FIDE elle-même, ou un autre organisateur soit moteur dans sa création. 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