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La France demande que la presse «puisse accéder à Gaza pour montrer ce qu'il s'y passe», déclare Jean-Noël Barrot

La France demande que la presse «puisse accéder à Gaza pour montrer ce qu'il s'y passe», déclare Jean-Noël Barrot

Le Figaro15 hours ago
«Nous avons l'espoir de pouvoir faire sortir quelques collaborateurs de journalistes dans les prochaines semaines», a annoncé le ministre.
La France demande que «la presse libre et indépendante puisse accéder à Gaza pour montrer» ce qu'il se passe dans le territoire en danger de famine après 21 mois de guerre, a déclaré mardi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.
«Nous avons l'espoir de pouvoir faire sortir quelques collaborateurs de journalistes dans les prochaines semaines», a ajouté le ministre sur France Inter, interrogé sur le cas de plusieurs collaborateurs de l'AFP sur place qui se trouvent dans «une situation effroyable» selon la direction de l'agence.
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timean hour ago

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La ministre de la Culture sera jugée pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire Renault. Le procès pourrait se tenir après les municipales prévues en mars 2026. Alors que Rachida Dati a été renvoyée ce mardi en correctionnelle pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire Renault, son avenir politique est-il assombri ? Si le procès pourrait se tenir après les élections municipales prévues en mars 2026, la perspective d'une telle échéance risque en tout cas de peser sur les épaules sur la maire du 7e arrondissement de la capitale qui ne fait pas mystère de ses ambitions sur l'Hôtel de ville de Paris. À lire aussi Retailleau, Dati, Barnier : une réunion de conciliation avant la commission fatidique du 28 juillet est-elle possible ? Quoi qu'il en soit, la ministre peut déjà compter sur le soutien de l'exécutif. Tandis qu'Emmanuel Macron a confirmé le maintien de sa ministre de la Culture au gouvernement par la voix de son entourage, le garde des Sceaux Gérald Darmanin a dit sur TF1 souhaiter «ardemment qu'elle soit maire de Paris», tout en saluant une «grande femme politique».

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timean hour ago

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Auprès de Valeurs actuelles, le ministre de l'Intérieur a redit que sa présence dans la coalition gouvernementale «n'est pas une adhésion au macronisme», mais est plutôt animée par son refus que «la gauche mélenchonisée» accède «au pouvoir». À nouveau de la friture sur la ligne au sein de la coalition gouvernementale. En décrétant dans l'hebdomadaire Valeurs Actuelles la fin du macronisme «avec Emmanuel Macron», le patron des Républicains et ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a hérissé mardi tout le camp présidentiel. Pour lui, ce phénomène est en fin de parcours parce qu'elle «n'est ni un mouvement politique, ni une idéologie : il repose essentiellement sur un homme». «Je ne crois pas au 'en même temps'», postulat d'Emmanuel Macron qui revendique d'être à la fois de droite et de gauche, «car il alimente l'impuissance», ajoute le président de LR. Le ministre, qui doit rencontrer jeudi à l'Élysée le président de la République, redit que sa présence dans la coalition gouvernementale de la droite et du centre «n'est pas une adhésion au macronisme», mais est animée par «l'intérêt général» et son refus que «la gauche mélenchonisée (accède) au pouvoir». Au nom d'une «droite utile, mais pas docile», il explique participer au gouvernement de François Bayrou non pas «pour faire de la figuration» mais «pour peser de tout le poids de (ses) convictions de droite». À lire aussi Bruno Retailleau au Figaro : «Sur l'Algérie, la diplomatie des bons sentiments a échoué» Publicité La France insoumise (LFI) est «la pire menace politique» par rapport au Rassemblement national, estime le ministre qui se rapproche souvent des propositions régaliennes du RN. Il appelle par conséquent à «assumer un cordon sanitaire» aux élections municipales de mars 2026 contre le mouvement de Jean-Luc Mélenchon et estime que la droite devra être «au cœur d'un bataillon de choc le plus élargi possible». «Nous ne pourrons pas gagner seuls», affirme-t-il sans dire s'il veut s'allier avec le RN. Emmanuel Macron avait rappelé à l'ordre François Bayrou mais aussi Bruno Retailleau début juillet quand ce dernier s'était prononcé pour la fin des aides aux énergies renouvelables, provoquant la colère de sa collègue Renaissance de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. Les ministres «doivent s'occuper des politiques qu'ils conduisent», avait affirmé le chef de l'État, en appelant le premier ministre à «discipliner la parole» de son gouvernement. Une recommandation qui pas vraiment entendue mardi soir, au regard de la levée de boucliers suscitée. Borne, Bergé... Le camp présidentiel serre les rangs La ministre Renaissance de l'Éducation Élisabeth Borne a accusé en retour le patron de la place Beauvau, sur le réseau X, de «tenter de diviser le socle commun» et ainsi d'«affaiblir les remparts contre les extrêmes». «Agir ensemble exige du respect mutuel», a ajouté l'ex-première ministre, en affirmant que le macronisme était «une idéologie ET un parti politique». Agnès Pannier-Runacher est elle aussi montée au créneau pour défendre «le macronisme», «choix de l'action face au populisme, du rassemblement face à la division. C'est ce qui a tenu le pays debout pendant les crises», a-t-elle insisté. Le parti Renaissance a jugé sur le même réseau social «inacceptables» les propos de Bruno Retailleau pourtant ministre d'un «gouvernement de coalition», ce qui confère aux yeux du mouvement «une responsabilité particulièrement lourde qui ne tolère ni les provocations, ni les petits calculs politiques». «Le temps passé à diviser et à déclencher ces polémiques est du temps perdu pour l'action au service des Français», insiste le mouvement présidentiel. «Le macronisme ne s'arrêtera pas. Ni aujourd'hui, ni dans 2 ans, ni après. (...) Personne ne l'effacera. Et il nous appartient de le porter et revendiquer avec Renaissance», a réagi aussi Aurore Bergé, ministre de l'Égalité entre les hommes et les femmes. «Le macronisme est un projet politique dans lequel se sont reconnus et se reconnaissent encore de nombreux Français. Le manque de respect n'est pas la meilleure manière de bâtir un projet rassembleur pour le pays», s'est insurgé également le ministre de l'Industrie Marc Ferracci, un proche du chef de l'État.

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