logo
À New York, Jessica Alba ressuscite son personnage de femme invisible dans un ensemble cyan

À New York, Jessica Alba ressuscite son personnage de femme invisible dans un ensemble cyan

Le Figaro5 days ago
L'actrice de 44 ans, qui interprétait la superhéroïne Susan Storm vingt ans plus tôt dans Les 4 Fantastiques, de Tim Story, a adressé plus d'un clin d'œil à ce rôle, le 11 août à New York.
Venons-nous d'assister au retour en chair et en os du personnage de Susan Storm, cette super-héroïne évoluant dans l'univers Marvel ? Pas celle interprétée par l'actrice Vanessa Kirby en ce moment à l'affiche du film Les 4 Fantastiques : Premiers pas avec Pedro Pascal, mais la version de 2005 incarnée sur grand écran par Jessica Alba. En effet, ce 11 août à New York, tandis qu'elle se rendait sur le plateau de l'émission CBS Mornings pour promouvoir son émission sur la rénovation de logements, «Roku Honest Renovations», qu'elle coanime avec sa meilleure amie Lizzy Mathis, l'actrice américaine de 44 ans a été photographiée par des paparazzis dans le quartier de Tribeca, le corps sculpté dans une tenue comme importée du vestiaire de «Madame Invisible».
Jessica Alba en Willy Chavarria dans le quartier de Tribeca. (New York, le 11 août 2025.)
TheStewartofNY / GC Images
Un look «secrétaire chic»
Jessica Alba a en effet arboré un chemisier à col XXL boutonné jusqu'au cou, caractérisé par des épaules strictes et des manches courtes franchement coupées, assorti à une jupe crayon serrée à la taille. Le tout dans un sensuel cuir cyan brillant, qui évoque à la fois le vestiaire «secrétaire chic» ainsi que la combinaison de superhéroïne de son personnage de Susan Storm, interprété vingt ans plus tôt. Le designer américain Willy Chavarria, étoile montante de la mode, est à l'origine de cette création sexy et élégante, tirée de sa collection printemps-été 2026, dévoilée à Paris le 27 juin dernier, en pleine Fashion Week masculine.
Publicité
Un look que la vedette du film Honey (2003) a décidé de rehausser d'une paire d'escarpins blancs pointus, de boucles d'oreilles dorées, d'un sac de la même teinte que son ensemble et d'une paire de lunettes de soleil noires rectangulaires. Calquée sur la tendance officewear (vêtements de bureau, en français) - très en vogue dans les années 2000 et plus que jamais de retour cette année -, cette silhouette avait largement de quoi faire d'elle, le temps d'un instant, la femme invisible la plus visible au monde.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Quentin Tarantino a une très bonne raison de ne pas réaliser la suite de « Once Upon a Time in Hollywood »
Quentin Tarantino a une très bonne raison de ne pas réaliser la suite de « Once Upon a Time in Hollywood »

Le HuffPost France

time4 hours ago

  • Le HuffPost France

Quentin Tarantino a une très bonne raison de ne pas réaliser la suite de « Once Upon a Time in Hollywood »

CINÉMA - En avril dernier, le réalisateur Quentin Tarantino annonçait à la surprise générale qu'une suite de son dernier film, Once Upon a Time in Hollywood, était en chantier. Qu'elle serait produite par Netflix. Avec Brad Pitt dans le rôle principal. Mais que ce ne serait pas lui qui serait en charge du projet, mais un certain David Fincher. Une accumulation d'informations particulièrement inattendues pour les fans du cinéaste derrière Jackie Brown et Kill Bill. Il était donc temps que Quentin Tarantino de s'expliquer. Ce qu'il a finalement fait dans le podcast The Church of Tarantino, publié ce vendredi 15 août. Pour le réalisateur américain, dont le 10e film se fait toujours attendre depuis l'annulation de The Movie Critic, la première des explications est justement liée à ce compteur de dix films qu'il ne souhaite absolument pas dépasser. Refusant que son dernier projet ne soit une suite, il a donc préféré confier son scénario à un autre cinéaste. Il explique d'ailleurs pourquoi, non sans une pointe d'humour et d'humilité : « Je pense que David Fincher et moi sommes les deux meilleurs réalisateurs. « Le fait que David Fincher veuille adapter mon travail témoigne d'un sérieux qu'il faut prendre en compte », ajoute-t-il. S'il a choisi de confier son scénario centré sur le personnage de Cliff Booth, incarné par Brad Pitt dans Once Upon a Time in Hollywood, à David Fincher, Quentin Tarantino explique aussi qu'il s'est lassé de cette histoire. Raison pour laquelle il a préféré déléguer la réalisation. « J'adore ce scénario, mais je continue à errer sur le même terrain que j'ai déjà parcouru. Ça ne m'a pas vraiment enthousiasmé », explique-t-il dans ce podcast. Le réalisateur récompensé d'une Palme d'or à Cannes en 1994 pour Pulp Fiction assure toutefois qu'il restera à disposition de Netflix et David Fincher durant la production du film. « Je fais des allers-retours entre ici et Israël, donc je ne serai pas sur le plateau tous les jours. Mais oui, je serai là s'ils ont besoin de moi », assure le cinéaste. Retrouvailles entre Pitt et Fincher Lié à Netflix depuis de nombreuses années désormais, David Fincher était donc le choix logique pour le remplacer. Les séries Mindhunter, House of Cards ou plus récemment les films Mank et The Killer … La longue collaboration entre le réalisateur de Zodiac et le géant du streaming américain semblait donc une évidence pour adapter The Adventures of Cliff Booth à l'écran. Dans le neuvième film de Tarantino, Brad Pitt incarnait ce drôle d'homme de main et accessoirement doublure cascade de l'acteur fictif Rick Dalton (Leonardo DiCaprio). Un personnage plus trouble qu'il n'en avait l'air, puisqu'il était sous-entendu dans le film qu'il était suspecté d'avoir tué sa femme. Une histoire qui sera sans doute creusée dans le projet porté par David Fincher, qui retrouvera Brad Pitt pour la première fois depuis L'Étrange Histoire de Benjamin Button, tourné ensemble en 2008. De son côté, Quentin Tarantino semble toujours tâtonner concernant son ultime projet au cinéma et ne s'en cache pas après l'abandon du projet intitulé The Movie Critic:

Emma Heming se souvient de ses sorties en talons avec son mari Bruce Willis, jamais complexé par leur différence de taille
Emma Heming se souvient de ses sorties en talons avec son mari Bruce Willis, jamais complexé par leur différence de taille

Le Figaro

time4 hours ago

  • Le Figaro

Emma Heming se souvient de ses sorties en talons avec son mari Bruce Willis, jamais complexé par leur différence de taille

Sur son compte Instagram, l'épouse de Bruce Willis s'est souvenue avec émotion de leurs virées nocturnes à l'époque où l'acteur ne souffrait pas encore de démence. L'acteur ne voyait alors aucun problème à ce qu'elle le dépasse de plusieurs centimètres avec en talons. Son quotidien auprès de Bruce Willis a beau avoir radicalement changé, ses souvenirs, eux, sont restés intacts. Cette semaine, Emma Heming, qui partage la vie de l'acteur depuis près de vingt ans, s'est rappelée dans ses stories Instagram des moments où son mari et elle pouvaient encore sortir ensemble de leur villa californienne pour un dîner en amoureux ou pour participer des événements plus confidentiels aux côtés d'autres personnalités du cinéma. Une époque désormais révolue, Bruce Willis souffrant depuis plus trois ans d'une démence frontotemporale, une maladie neurodégénérative incurable apparentée à la maladie d'Alzheimer qui l'a contraint de mettre un terme à sa carrière. «Bruce n'est pas comme les autres» Avant son diagnostic, l'acteur star de Pulp Fiction et du Cinquième Élément adorait passer ses soirées aux côtés de son épouse, qui n'hésitait pas à se mettre sur son 31. Maquillage soigné, brushing impeccable, robe scintillante, et escarpins... Emma Heming aimait sortir le grand jeu. Du haut de ses 1m78, auxquels s'ajoutaient cinq à dix centimètres de talons, la top model dépassait souvent son mari d'une bonne tête. Ce dernier n'en a jamais pris ombrage : «Vous savez, ces hommes qui disent qu'ils n'aiment pas que leur partenaire porte des talons pour ne pas paraître plus petits à côté d'elle ? Bruce n'est pas comme eux», a ainsi confié Emma Heming sur Instagram. Une manière pour elle de célébrer les qualités de son époux, et de faire en sorte qu'il ne tombe pas dans l'oubli. À lire aussi «Je suis profondément triste aujourd'hui» : les mots de la femme de Bruce Willis pour la fête des pères Publicité Un livre pour accompagner les aidants Après des années passées sous le feu des projecteurs à enchaîner les cascades dans des films d'action, l'acteur que nous imaginions tous invincible n'a eu d'autre choix que de s'enfermer chez lui. Depuis trois ans, il ne quitte plus sa demeure californienne, où il vit loin des regards avec Emma Heming et leurs deux filles, Mabel Ray Willis, née en 2012, et Evelyn Penn Willis, née en 2014. Selon de récentes informations de The Express Tribune, qui s'appuie sur des documents de 2023 et 2024, Bruce Willis serait devenu muet et souffrirait de certains troubles moteurs liés à sa démence. En septembre prochain, Emma Heming publiera The Unexpected Journey : Finding Strength, Hope, and Yourself on the Caregiving Path (NDLR : Le voyage inattendu : trouver la force, l'espoir et soi-même sur le chemin du rôle d'aidant), un livre dans lequel elle s'appuie sur sa propre expérience pour donner des conseils à celles et ceux vivant l'épreuve «compliquée, déchirante et transformatrice» de la prise en charge d'un proche atteint d'une maladie neurodégénérative. Un projet adoubé par Demi Moore, l'ex-femme de Bruce Willis, restée proche de l'acteur avec qui elle partage trois filles : Rumer, Tallulah et Scout. «Ce livre est une bouée de sauvetage pour ceux qui sont confrontés au monde complexe de la démence, et il représente son cadeau à tous les aidants qui se sont sentis perdus, dépassés ou seuls», a déclaré l'actrice.

« Beetlejuice », « Batman », « Mars attacks ! »… Tim Burton se raconte dans un documentaire
« Beetlejuice », « Batman », « Mars attacks ! »… Tim Burton se raconte dans un documentaire

Le Parisien

time7 hours ago

  • Le Parisien

« Beetlejuice », « Batman », « Mars attacks ! »… Tim Burton se raconte dans un documentaire

« Mes films montrent que j'ai besoin d'une thérapie ! » C'est presque par ces mots que s'ouvre « Tim Burton, un monstre de cinéma », diffusé ce dimanche soir à 22h50 sur Arte. Monté à partir d'images et de vidéos d'archives de la télé américaine, ce documentaire retrace la vie du génie américain, dont la deuxième saison de sa série « Mercredi » cartonne actuellement sur Netflix. Pour cela, la réalisatrice, Sophie Peyrard, a cherché « tout ce qu'il pouvait raconter sur lui, pour en sortir un portrait, à travers sa filmographie et ses interviews. » Le film déroule sa vie depuis son enfance à l'inauguration de son étoile il y a un an, sur le sol de la Walk of fame, à Hollywood. On voit Tim Burton entouré de Michael Keaton (« Batman »), de sa compagne Monica Belluci, et de l'actrice Winona Ryder qui le remercie, 36 ans après son rôle dans « Beetlejuice », de l'avoir aidée à s'assumer « contre le conformisme ». De l'humour macabre à la poésie, de la dépression à la joie enfantine… Le sourire de ce jour honorifique, on le retrouve sur toutes les interviews du documentaire, tout comme la décontraction légendaire de l'artiste, son humilité, restant égal à lui-même quelle que soit la période, ses cheveux plus ou moins ébouriffés. Tim Burton, ici avec Jack Nicholson et Michael Keanton sur le tournage de «Batman», en 1989. Photo : Warner Bros De l'humour macabre à la poésie, de la dépression à la joie enfantine, le programme balaie le talent protéiforme du cinéaste, qui aura 67 ans le 25 août. On le voit gamin aux côtés de ses parents, un cadre familial semble-t-il tranquille. Il se raconte, dans une séquence rare, face à une journaliste australienne, comme gamin timide, rêveur, trouvant le dessin comme moyen de communication. Vite catalogué comme « bizarre », à force de représenter des monstres, d'adorer les films d'horreur et de jouer dans les cimetières. « Je ne me sentais pas différent, mais à force qu'on me le répète, j'en ai été convaincu », raconte-t-il. On (re) découvre l'importance vitale du dessin pour lui Autre séquence peu connue, dans les coulisses des studios Walt Disney. Tim Burton a alors 19 ans, il a été embauché avant même l'obtention de son diplôme de l'école d'art des Studios Disney. Il est debout, souriant mais pas très à l'aise, dans un petit bureau, aux côtés de Rick Heinrichs, qui deviendra chef décorateur et directeur artistique, et travaillera sur plusieurs films du cinéaste. Tim Burton sur le tournage de «Vincent» (1982), un film qui raconte l'histoire d'un petit garçon qui se met dans la peau d'un acteur de films d'horreur. Photo : Walt Disney Aux studios Disney, le génie étouffe à dessiner le trop conventionnel « Rox et Rouky ». Face au refus de sortir en salle son premier film, « Frankenweenie », trop éloigné de la cible enfants, c'est le divorce prématuré. Avant les retrouvailles que l'on sait (« Alice au pays des merveilles » en 2010, ou « Dumbo » en 2019). Tim Burton se raconte sans fard, on (re)découvre l'importance vitale du dessin pour lui. Il montre à une journaliste un petit bonhomme aux abois qui crie « help », tracé sur un carnet. « C'était moi avant l'inauguration de l'exposition que le Moma (Musée d'art moderne) me consacrait. » Il vit ses échecs comme des expériences, analyse sa vie avec distance, humour. Il déverse dans son univers ses tourments d'enfance, les doutes de l'âge adulte, au travers d'antihéros mélancoliques, de monstres incompris… Sa magistrale filmographie se décrypte ici comme un autoportrait. À commencer par « Vincent » (1982), l'histoire d'un petit garçon qui se met dans la peau d'un acteur de films d'horreur. Un hommage à Vincent Price (1911-1993), célèbre comédien du cinéma fantastique que Tim Burton adore. Le personnage qui le reflète le plus intimement est sans doute « Edward aux mains d'argent » (1990) alter ego aux yeux tristes dessiné dans ses carnets depuis son adolescence. Le cinéaste se régale dans sa vie hors cadre, se fiche des convenances, bouscule les limites de la bienséance, assume son originalité. Avec un succès planétaire.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store